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mardi 1 septembre 2015

On viole en silence dans les territoires oubliés

Le Monde 
31/08/2015 
Par Hamidou Anne (contributeur Le Monde Afrique)

Des réfugiés du village de Ntamugenga en RDC, en novembre 2008.
Crédits : © Finbarr O'Reilly / Reuters / REUTERS

Dans son poignant film, Congo, un médecin pour sauver les femmes, la jeune réalisatrice sénégalaise, Angèle Diabang, signe un véritable cri du cœur sur la situation des femmes victimes de violences sexuelles au Congo. Mutiler le corps des femmes est devenu un amusement quotidien d’hommes en armes dont on ne sait plus finalement pourquoi ils combattent. 

L’est de la RDC est devenu une zone de non-droit où la barbarie côtoie l’horreur, entre morts, viols et déplacements forcés de populations. Tout a été dit sur le Congo au point que le monde n’a plus le temps ni l’énergie de s’indigner. On arrive à se résigner face à la banalité du mal qui a posé ses valises sur une région devenue un véritable enfer sur terre. 


Ces exactions imputées à l’armée régulière congolaise et à la flopée de groupes armés dans le pays ne sont pas une spécificité de la RDC. Mais devant l’indignation que suscite le viol comme une arme de guerre, on en arrive à oublier ce viol « banal », au coin d’une rue, derrière un arbre. 

La suite sur Le Monde

Lire aussi :


Congo, un médecin pour sauver les femmes - Entretien avec la réalisatrice Angèle Diabang


Angèle Diabang Brener

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