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mardi 9 août 2016

L’Avenir: «L’opposition radicale s’invite à participer au dialogue»

Radio Okapi 
09/08/2016

Revue de presse kinoise du mardi 9 août 2016

Le député Steve Mbikayi est l'un des opposants favorables 
à la tenue du dialogue politique convoqué par le chef de l'Etat Joseph Kabila. 
Radio Okapi/Ph. John Bompengo  

L’Avenir s’intéresse ce mardi à ces opposants qui sont favorables à la tenue du dialogue politique en RDC. Ils sont prêts à annoncer la tenue du dialogue d’ici mi-août comme précise le groupe de soutien à la facilitation, écrit le journal, taclant au passage une autre partie de l’opposition « chouchoutée par la communauté internationale » qui intensifie ses exigences « dans le seul but de mettre à genou le pouvoir et ainsi, d’obtenir de lui des avantages devant permettre de soutenir les élections à venir ». 
L’Avenir salue ainsi « le courage » de Steve Mbikayi, Justin Bitakwira, Mushi Bonane, Ne Mwana Nsemi et Clément Kanku qui, selon le quotidien, ont défendu en amont le dialogue en vue d’éviter le bain de sang, par l’arbre à palabre. 
Le journal reprend ainsi les arguments de Steve Mbikayi qui soutient l’idée d’une convention politique censée « sauver la Constitution pour qu’elle ne soit pas violée ». L’opposant propose notamment qu’une transition soit conduite par l’opposition en vue de financer les élections.
L’Avenir s’en prend à l’autre frange de l’opposition qui a récusé le facilitateur du dialogue Edem Kodjo. « Cette dernière campe sur sa position de vouloir ne pas voir le Togolais faciliter les assises qui s’annoncent. Une démarche qui ne se justifie que par l’intention inavouée de paralyser le dialogue », écrit le quotidien. 

Au sujet de la récusation du facilitateur du dialogue, La Prospérité reprend les propos de She Okitundu, sénateur et cadre de la majorité, pour qui « la récusation de M. Edem Kodjo est nulle et de nul effet ». Le « Rassemblement », une coalition de l’opposition créée récemment en Belgique a récusé Edem Kodjo, le reprochant d’être proche du pouvoir. She Okitundu dit « voir très mal pourquoi on récuse Kodjo » qui, selon lui, est le produit des réclamations de l’opposition. 

Dans son édito, Forum des As s’intéresse également au dialogue. Le journal doute que ce forum puisse être rapidement convoqué comme le souhaite la communauté internationale. 
Pas sûr que le début effectif des travaux de ce forum dit " de la dernière chance " interviennent l’un de ces quatre matins. Le Facilitateur étant buté à sa propre récusation par le " Rassemblement". 
Pas évident non plus que cette méga plateforme conduite par Etienne Tshisekedi revienne sur sa fatwa contre Edem Kodjo, écrit l’éditorialiste. 
Le journal évoque les risques d’une absence de dialogue. « Sans dialogue et donc sans la garantie d’un accord politique, il y a de forts risques que décembre ait tout d’une échéance-couperet. D’autant qu’à moins de nous cacher derrière nos petits doigts ou de faire l’impasse sur la réalité, la tenue d’élections dans les délais constitutionnels relève maintenant d’une gageure », tranche l’éditorialiste de Forum des As. 

Le même journal revient sur la polémique suscitée par les propos de Joseph Kabila au sujet des élections. Le chef de l’Etat congolais a déclaré la semaine passée en Ouganda que les élections auront lieu après la révision du fichier électoral. Forum des As qui dénonce un « faux procès » déplore la mauvaise foi d’une faction de l’Opposition qui s’en est prise au chef de l’Etat après sa déclaration. 

La déclaration du président Kabila conduit Le Phare à s’interroger sur l’indépendance de la commission électorale. 
Depuis l’atterrissage, dans l’opinion tant nationale qu’internationale, du pavé du Chef de l’Etat décrétant que les élections ne pourraient se tenir qu’après le bouclage de l’enrôlement des électeurs, l’on ne cesse de s’interroger sur l’indépendance et la neutralité de la CENI, écrit le quotidien. 
L’annonce du président de la commission électorale renvoyant les élections au-delà de septembre 2017 renforce les soupçons du journal. 
Le constat de l’heure est que cette institution d’appui à la démocratie s’est réengagée dans la voie du non-respect des délais constitutionnels pour l’organisation des scrutins présidentiel et législatifs, pour lesquels plusieurs études continuent pourtant de démontrer qu’ils sont techniquement et financièrement possibles avant la fin de l’année 2016, conclut Le Phare.

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