03/10/2016
Le ministre de la Justice Alexis Thambwe et sa suite à Genève.
Capture d’écran RTNC
La délégation conduite à Genève par le ministre congolais de la Justice Alexis Thambwe Mwamba a subi un échec cinglant. Le vendredi 30 septembre, le Conseil des droits de l’homme des Nations Unies a pris la décision infamante de placer le "Congo libéré" de "Joseph Kabila" sous surveillance. Une mesure qu’on inflige qu’aux Etats hors-la-loi.
Le regretté défenseur des droits humains Floribert Chebeya Bahizire a dû s’esclaffer dans sa tombe en apprenant cette nouvelle. Trois mois avant son assassinat, le directeur exécutif de "La Voix des Sans Voix" avait bataillé sans succès à Genève pour arracher la désignation d’un "rapporteur spécial" chargé de surveiller l’état des droits l’homme au Congo-Kinshasa. C’était en février 2010.
Au cours d’un point de presse qu’il a animé, dimanche 2 octobre 2016, l’ex-mobutiste André-Alain Atundu, porte-parole de la mouvance kabiliste, accuse cette agence onusienne de partialité.
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