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lundi 17 juin 2013

Alerte au scandale de faux médicaments envahissant la RDC : l’OCC et la DGDA mis en cause !

Digital Congo 
15/06/2013

Une enquête internationale révèle que la RDC est au sommet des pays qui battent le record mondial de l’invasion de faux médicaments en provenance surtout de certains pays asiatiques nommément cités. De quoi mettre en cause les services nationaux censés veiller à ces néfastes importations, en l’occurrence l’OCC et la DGDA 

La République Démocratique du Congo est l’une des victimes frappées par le scandale des médicaments qui ne soignent pas et qui tuent. Selon l’Organisation Mondiale des Douanes (OMD), cites par la RFI, les saisies les plus importantes en volume ont été faites notamment au Congo-Kinshasa et au Togo. L’Office Congolais de Contrôle (OCC), censé représenter l’œil du pays et l’Office Congolais de Douanes et Accises (DGDA) qui gère la douane en RDC méritent ainsi d’être interpellés. Car, une bonne partie des 550 millions de doses des médicaments illicites de ces produits potentiellement dangereux voire mortels venant de l’Asie de l’Est, du Sud et du Moyen-Orient étaient déjà entrés en RDC. Comment peut-on l’expliquer ? 


L’évaluation de ces médicaments-poison saisis est de 275 millions de dollars. Ces faux médicaments sont: Des faux antibiotiques, de faux antipaludéens, de faux antidouleurs et faux anti-inflammatoires ; des médicaments utilisés contre rhyper-tension artérielle et le diabète, et des compléments alimentaires illicites. 

N’eut été l’opération biyela « mot zoulou signifiant » encerclement, qui a permis d’intercepter plus d’un milliard d’articles de contrefaçon dans 23 pays africains depuis le début du mois d’avril, personae ne sait combien ces médicaments auraient semé la mort. 

En tout cas, ce coup de filet réélire l’ampleur du trafic des médicaments et le danger qu’il représente pour la santé des patients au Congo en particulier et en Afrique en général. En une dizaine de jours, l’opération a permis d’intercepter ces médicaments saisis, ce qui donne une idée effrayante du fléau que représente le trafic des médicaments. Le Ministére de la santé a du grain à moudre. 

Du poison dans les pharmacies de Kinshasa 
Kinshasa, la capitale de la RDC était tout en émoi mercredi 12 et jeudi 13 juin. Because ? On court derrière le poison. Oui vous avez bien lu, le poison. Il est dans nos pharmacies déjà, soutiennent les spécialistes des investigations. 

De quoi s’agit-il ? En début de semaine, des informations de bonne source ont fait état de la saisie de 30 tonnes de médicaments avariés par la Police nationale, en étroite collaboration avec l’Interpol qui avait alerté, bien auparavant toute, pour la même circonstance toute l’Afrique centrale. Notre police a été mise a contribution. Et ses éléments ont circulé a travers la ville province, en quête du poison. L’histoire nous dira où et comment ils ont pu mettre la main sur l’objet recherché. 

Dans la commune de Matete en partuculier, où nous avons fait une descente, les officines pharmaceutiques sont restées deux journées fermées. La panique était totale. Des hommes et des femmes de tout age, des prescriptions médicales en main ont fait chacun le tour de tous les sites possibles et imaginables, où ils pouvaient trouver un des produits indiqués par le médecin. Peine perdue. Les vendeurs dans les officines, les plus courageux, qui connaissent bien le pays et ses hommes, vendaient en catimini, la porte et la fenêtre, ni ouverte, ni fermée. Des cas de mort ont certainement été enregistrés ça et là dans les hôpitaux ou autres centres médicaux. Personne ne savait où taper la tête, parmi ceux qui ont des malades en famille. Quand on sait que dans cette commune, la SNEL ne sert ses abonnés que trois ou quatre fois par mois, à la limite cinq fois, comment suivre les communiqués officiels ou les journaux pane et télévisé, pou être fixé sur ce branle-bas. 

La question que l’on se pose à la fin de la deuxième journée est celle de savoir quel est l’ordre qui a été donné ? Et par qui? Va-t-on effectivement retrouver ce poison dans une des pharmacies de Kinshasa ? Si oui, tant mieux ! Dans le cas contraire, que ceux qui ont mobilisé les médias pour (a première opération utilisent les mêmes canaux pour donner l’autre information a notre peuple. Ce peuple qui est resté traumatisé deux jours durant. Malheur a celles des familles qui avaient un membre dans un état grave dans une formation médicale de a place. Ouest ce qui s’est passé pour ces familles là? Comment se sont elles tirées d’affaire dans cet environnement dététére à tout point de vue ? 

Personne ne nous le dira objectivement. Tous les dirigeants ont appris ce qui s’est passé pendant ces deux journées folles. Vont-il continuer à retenir l’information ? L’avenir nous le dira ! 

Avant de boucler le journal, il nous a été donné d’apprendre que ce qui s’est passé mercredi et jeudi à Kinshasa relève d’une campagne menée au niveau de l’Afrique centrale par Interpol, inquiet de l’envahissement des produits avariés dans les grands centres du continent. Dans la plupart de ces pays, les produits pharmaceutiques sont vendus en dehors des normes internationales. Les officines ne sont pas supervisées par un pharmacien attitré. D’où les risques d’intoxicatuon de la population si le gouvernement n’y prend garde. 

B. Kiesse/Le Guide

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