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vendredi 13 septembre 2013

Exploration du pétrole dans les aires protégées : la RDC répond à Global Witness

Radio Okapi 
11/09/2013 

Une plate-forme d'exploitation pétrolière en mer
(Photo droit tiers)
 
La RDC a le droit d’évaluer les richesses géologiques du parc de Virunga. 

Le ministre des hydrocarbures, Crispin Atama Tabe l’a déclaré lundi 9 septembre à Kinshasa en réponse au communiqué de Global Witness du vendredi 7 septembre. 

L’ONG britannique craint que le projet de loi sur les hydrocarbures n’ouvre la porte au forage dans les parcs nationaux. Elle demande aussi aux autorités congolaises d’ouvrir le projet de loi sur les hydrocarbures à une consultation publique. A ce sujet, le ministre des Hydrocarbures a affirmé que le code des hydrocarbures prévoit que l’attribution des blocs pétroliers se fasse suivant un appel d’offres. 


Pour Crispin Atama Tabe, le vrai problème de Global Witness est l’exploration du pétrole dans les zones dites protégées. Et pourtant, il a affirmé que le pays a le droit d’autoriser le forage les aires dites protégées, tout en tenant compte de la protection de l’environnement : 
« L’adhésion de la RDC à l’Unesco ou le fait de confier la gestion du parc des Virunga comme patrimoine mondial n’enlève en rien la souveraineté de la RDC sur cette portion de terre », a-t-il déclaré. 
Le gouvernement congolais affirme gérer ce dossier en toute transparence. Toutes les informations sur les contrats sont d’ailleurs disponibles sur les sites web du ministère des Mines (promines) et des hydrocarbures, assure Crispin Atama. 

Dans un communiqué publié le vendredi dernier, l’ONG britannique Global Witness demandait aux autorités congolaises d’ouvrir le projet de loi sur les hydrocarbures à une consultation publique comme elles l’ont fait avec la révision du code minier. Le projet de loi sur les hydrocarbures devrait être voté par l’Assemblée nationale congolaise lors de sa prochaine session. Par manque de temps, la chambre basse du Parlement congolais n’avait pas pu en débattre en plénière lors de sa dernière session qui s’est conclue le 15 juin.

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