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jeudi 14 février 2013

RDC: trois des rescapés du crash de Kisangani en 2011 se disent abandonnés

RFI 
14/02/2013

Kisangani, 8 juillet 2011.
Après l'accident du Boeing de la compagnie
Hewa Bora, les secouristes à la recherche
des corps des victimes. © AFP 
Un an et demi après la catastrophe aérienne de Kisangani, quelques victimes réclament toujours leur dû. Parmi elles, deux hôtesses de l’air et un mécanicien qui se trouvaient à bord du Boeing 727 d’Hewa Bora qui s’est écrasé à l’atterrissage le 8 juillet 2011, faisant 74 morts.Ces trois employés survivants se disent abandonnés, sans soins et sans salaire.

A l’instant du crash, l’hôtesse Corine Lukano était assise sur son siège à l’arrière de l’appareil. Elle a survécu et s’est sortie de la carlingue enflammée ; brulée au deuxième degré. Sa collègue Patricia Nahesi a également survécu, brûlée, une jambe fracturée. Djany Khondi était mécanicien de maintenance lui aussi brûlé au deuxième degré.



Tous trois se disent lâchés par leur employeur. Comme en témoigne Corinne Lukano : « au début, on a eu des soins aux frais du gouvernement, après la compagnie nous prenait en charge. Maintenant il y a plus de trois mois qu’ils nous ont abandonnés ».

Djany lui aurait voulu reprendre le travail de maintenance des avions, mais « comme j’ai des cicatrices dans les mains, je ne travaille pas bien », dit-il.

Le problème c’est que leur employeur n’existe plus. La compagnie Hewa Bora est morte, Fly Congo qui lui a succédé est en train d’être liquidée. Tout le monde sera licencié, confirme la direction. Mais elle dément avoir cessé de prendre en charge les frais médicaux. L’autre hôtesse survivante, Patricia Nahesi a encore l’espoir d’une indemnisation des assurances : « Pour les passagers, on a appris qu’ils donnent 80 000 dollars, mais pour nous, on ne sait pas ».

Et ça se présente mal. Il y a une indemnisation pour les familles des défunts, mais pas pour les blessés, affirme Vano Kiboko, président du conseil d’administration de Fly Congo : « Il y a maintenant une indemnisation pour les cas de mort, pour les blessés, c’est les soins médicaux ».

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