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dimanche 25 août 2013

RDC: la Monusco demande l'ouverture d'une enquête après la mort de deux manifestants

RFI 
25/08/2013

Une patrouille de la Monusco dans les rues
de Goma, le 11 juillet 2013.
AFP PHOTO/PHIL MOORE
Le front est resté calme ce dimanche matin, au nord de Goma, en RDC, où les affrontements ont repris il y a quelques jours entre les rebelles du M23 et les forces armées congolaises, qui sont désormais appuyées par les forces onusiennes. Après de nouveaux tirs d'obus, samedi, sur Goma, la Monusco affirme avoir pilonné par hélicoptère les positions du M23. La Monusco reste confrontée par ailleurs à la défiance des populations de Goma, qui l'accusent d'inaction. Des manifestations ont eu lieu dans le chef lieu du Nord-Kivu, au cours desquelles deux personnes ont été tuées. La Mission de l'ONU demande aujourd'hui l'ouverture d'une enquête à ce sujet. 

C'est la chute de nouveaux obus, samedi, sur un quartier populaire de Goma, qui a déclenché la colère des habitants de la ville. 


Des habitants exaspérés, qui demandent depuis des mois à la Monusco d'aller combattre la rébellion du M23. Ces civils ne comprennent pas que des obus puissent encore tomber sur la ville, alors que la Mission de l'ONU avait annoncé le mois dernier la mise en place d'une zone de sécurité autour de Goma pour protéger le secteur. Des manifestations ont donc eu lieu samedi et certains cortèges ont pris la direction d'une base de la Monusco. La tension est montée, et la police congolaise est venue disperser la foule. 

Des coups de feu ont éclaté, deux manifestants ont été tués sur le coup. Mais des témoins accusent les casques bleus uruguayens d'avoir tiré sur la foule, alors que les manifestants tentaient de pénétrer dans leur camp. 

« La Monusco a pour mission de protéger les civils, il est inconcevable qu'elle ait pu tirer sur la population de Goma », réplique Charles Bambara, le directeur de l'information publique de la Mission de l'ONU. 

Le patron de la Monusco, Martin Kobler, a demandé l'ouverture d'une enquête conjointe entre Monusco et police congolaise. Il attend désormais la réponse de la partie congolaise pour établir les responsabilités dans cet incident.

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