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jeudi 2 janvier 2014

Attaques en RDC: enquêtes au sein des services de renseignement

RFI 
02/01/2014

Des forces de sécurité congolaises devant
 le siège de la télévision nationale à Kinshasa,
 lundi 30 décembre 2013.
REUTERS/Jean Robert N'Kengo
Après les attaques menées lundi 30 décembre contre des sites stratégiques à Kinshasa, Lubumbashi, Kolwezi, des interrogatoires ont lieu au sein des services de renseignements et de sécurité. Ils doivent déterminer si les assaillants ont bénéficié de complicités ou si les forces de sécurité ont fait preuve de négligence.

Trois jours après les attaques à Kinshasa, Lumbumbashi, Kolwezi et Kindu, des enquêtes sont actuellement menées dans les milieux des services de renseignement et de sécurité. Elles doivent permettre de découvrir pourquoi les assaillants, qui se sont réclamés du prophète Mukunkubila, ont agi avec autant de facilité contre des objectifs hautement stratégiques.

Elles ont également pour objectif de comprendre comment la préparation de ces attaques a échappé à la vigilance de ceux qui sont chargés de veiller à la sécurité du pays. Et si elle se vérifiait, la présence parmi les assaillants de personnes appartenant ou ayant appartenu aux forces de l’ordre devrait aider à faire progresser les enquêtes.


Autre question à élucider : y a-t-il un lien entre ces attaques et les activités de Gédéon Kyungu dans le Nord-Katanga et Ferdinand Kazadi Ntanda Imena, le chef du mouvement Kata Katanga, comme l’ont pensé certains. Pour une partie de l’opinion, il est aujourd’hui important de mettre en lumière les vraies revendications des uns et des autres.

Dans ce contexte de tensions, des tirs entre deux groupes de militaires en patrouilles ont semé la panique ce mercredi 1er janvier à Lubumbashi. Un militaire a été tué et trois civils blessés. Les raisons de ces échanges de tirs sont encore inconnues. Le ministre de la Défense évoque cependant la possibilité d’une rixe entre militaires ivres.

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