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lundi 19 janvier 2015

La Fabrique des Opposants : Cas de Katumbi et de Kamerhe – Germain Nzinga

Desc Wondo 
19/01/2015
Par Germain Nzinga Makitu



C’est depuis plusieurs semaines qu’on nous rabat les oreilles sur la guéguerre entre Moïse Katumbi et Joseph Kabila. Je vous invite à faire une lecture différente des événements, loin de passions et émotions qui sont les propres de notre peuple en pareille circonstance. J’avance comme hypothèse que les deux supposés antagonistes ne sont jamais entrés en guerre et qu’au contraire tout le ballet diplomatique et politique qui se déroule entre Kinshasa et Lubumbashi est un vaste théâtre qui fait partie du modus operandi rwandais et qui présentement se trouve à l’Acte II suite à une autre mise en scène vécue en 2009 avec Vital Kamerhe. Suivez mon raisonnement… 


  1. Des phénomènes convergents qui ne trompent pas… 

Lorsque le 19 janvier 2009, Joseph Kabila signe unilatéralement des accords avec Paul Kagame autorisant l’entrée officielle des troupes rwandaises sur le territoire congolais sous le prétexte de chasser les FDLR, une réaction de Vital Kamerhe, l’alors président de l’Assemblée nationale, ne se fit pas attendre. Il protesta par la voie des ondes (et non par celle officielle des institutions de l’Etat) contre cette décision dont, à ses dire, ni lui ni la chambre basse n’étaient tenues informées. La tension monta d’un cran jusqu’au mercredi 23 mars 2009 où Vital Kamerhe présenta sa démission devant la plénière de l’Assemblée nationale sans un débat préalable ni un vote de la part des membres de l’assemblée ni non plus un réquisitoire dans lequel il dénoncerait les déviations ou la trahison de son ancien chef. Le discours qu’il tiendra lors de sa démission au parlement sera curieusement plus une apologie de Kabila[1] qu’un déballage qui justifierait leur divorce politique.

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