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samedi 9 octobre 2021

Le Tanzanien Abdulrazak Gurnah, prix Nobel de littérature 2021


Sa biographie
Né sur l'île de Zanzibar, Gurnah doit fuir son pays quand il a 18 ans car il appartient à la communauté persécutée de Zanzibariens d'origine arabe. Il part pour la Grande-Bretagne, et y devient étudiant, en 1968.
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Son livre : "Adieu Zanzibar"

Extrait :

... Il est venu s’écrouler aux pieds d’Hassalani le marchand, qui revenait juste de la mosquée. Il a mis tout le quartier en émoi, la guérisseuse est arrivée, puis le rebouteux. Personne ne savait d’où il venait, mais, comme il avait la peau blanche, et que nous sommes à Zanzibar, en 1899, on l’appela l’Européen, « mzunga », corps sans nom. Son nom est Martin Pearce. Dépouillé dans le désert par ses guides, cet écrivain anglais doit la vie à la famille d’Hassalani. Et, même si le consul britannique qui l’héberge ensuite n’en voit pas l’utilité, il tient à retourner chez ces gens modestes pour les remercier. Dans la maison qui l’a vu renaître, le regard de Pearce croise celui de Rehana. Et tout est bouleversé. À partir de cet amour naissant entre la sœur d’un boutiquier indigène et l’intellectuel britannique, deux mondes se mêlent qui n’auraient jamais dû se croiser. Trois générations plus tard, au même endroit, Jehana, la petite fille de ce couple resté scandaleux dans la mémoire de Zanzibar, vit une passion impossible avec l’aîné d’une famille modèle… lire sur Le Point.fr


A écouter sur France Culture
L'annonce du prix Nobel de littérature 2021 a, une fois de plus, déjoué tous les pronostics... même les vôtres ! C'est le romancier tanzanien Abdelrazak Gurnah qui a remporté hier le prix 2021. Une distinction qui, selon les mots de l'Académie suédoise, vient récompenser une prose traitant avec " empathie et sans compromis des effets du colonialisme et du destin des réfugiés pris entre les cultures et les continents". Toute son oeuvre, riche de nombreuses nouvelles et d'une dizaine de romans - dont trois seulement sont à ce jour traduits en français - est traversée par le thème de l'exil. Le continent africain reste encore l'un des parents pauvres de ce prix, puisqu'il a fallu attendre 1986 pour voir nobélisé Wole Soyinka, écrivain nigérian de langue anglaise. Depuis, seuls l'Égyptien arabophone Naguib Mahfouz, puis les Sud-Africains anglophones Nadine Gordimer et J. M. Coetzee, ont été lauréats, respectivement en 1988, 1991 et 2003

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