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lundi 10 juillet 2017

FIDH - Mouvement mondial des droits humains.

La FIDH (Fédération internationale des ligues des droits de l’Homme) est une ONG internationale de défense des droits humains. Elle regroupe 184 organisations nationales de défense des droits humains dans 112 pays. Depuis 1922, la FIDH est engagée dans la défense de tous les droits civils, politiques, économiques, sociaux et culturels tels que définis dans la Déclaration universelle des droits de l’Homme.

Pour en savoir plus et vous rendre compte que les droits humains sont bafoués de par le monde, voici leur site

Enquête internationale sur le Kasaï : accord a minima au Conseil des droits de l’homme de l’ONU

COMMUNIQUÉ FIDH ( Mouvement mondial des droits humains)
23/06/2017


(Genève) Par un compromis arraché à la dernière minute, le Conseil des droits de l’homme des Nations Unies a décidé aujourd’hui d’envoyer une équipe d’experts internationaux et régionaux en République Démocratique du Congo. Cette équipe devra établir les faits et circonstances des violations des droits humains perpétrées dans la région des Kasaï depuis août 2016, où les affrontements entre les milices Kamuina Nsapu et les forces gouvernementales auraient déjà fait plus de 3 000 morts.

La suite sur le site de FIDH

lundi 3 octobre 2016

Conseil des Nations Unies des droits de l’Homme : Droits humains : Le "Congo libéré" sous surveillance onusienne

Congo Independant
03/10/2016

Le ministre de la Justice Alexis Thambwe et sa suite à Genève. 
Capture d’écran RTNC 

La délégation conduite à Genève par le ministre congolais de la Justice Alexis Thambwe Mwamba a subi un échec cinglant. Le vendredi 30 septembre, le Conseil des droits de l’homme des Nations Unies a pris la décision infamante de placer le "Congo libéré" de "Joseph Kabila" sous surveillance. Une mesure qu’on inflige qu’aux Etats hors-la-loi. 
Le regretté défenseur des droits humains Floribert Chebeya Bahizire a dû s’esclaffer dans sa tombe en apprenant cette nouvelle. Trois mois avant son assassinat, le directeur exécutif de "La Voix des Sans Voix" avait bataillé sans succès à Genève pour arracher la désignation d’un "rapporteur spécial" chargé de surveiller l’état des droits l’homme au Congo-Kinshasa. C’était en février 2010. 
Au cours d’un point de presse qu’il a animé, dimanche 2 octobre 2016, l’ex-mobutiste André-Alain Atundu, porte-parole de la mouvance kabiliste, accuse cette agence onusienne de partialité.

La suite sur Congo Indépendant

mercredi 13 avril 2016

RDC: 500 000 euros octroyés au bureau des droits de l’homme de l’ONU

Radio Okapi 
12/04/2016

José Maria Aranaz,
 directeur du Bureau conjoint des Nations Unies aux Droits de l’homme (BCNUDH) en RDC 
le 09/12/2015 à Kinshasa lors de la conférence de presse de l’Onu. 
Radio Okapi/Ph. John Bompengo 

Le gouvernement des Pays Bas a accordé au projet du Bureau conjoint des Nations unies aux droits de l’homme (BCNUDH) relatif au processus électoral en RDC une contribution de 500 000 euros. L’ambassadeur des Pays-Bas en RDC, Gérard Michels, et José Maria Aranaz, directeur du BCNUDH, ont signé mardi 12 avril à Kinshasa un protocole d’accord.

La suite sur Radio Okapi

vendredi 29 janvier 2016

Parlement européen : un projet de résolution contre des personnalités politiques de la RDC

Desc-Wondo
29/01/2016

La députée européenne Marie Arena a annoncé le dépôt d’un projet de résolution pour des sanctions ciblées contre des responsables politiques qui ne respectent pas la Constitution. Il sera présenté lors de la session de mars du Parlement européen qui se tiendra à Strasbourg. 


La déclaration a été faite au cours de la conférence-débat « Processus démocratiques en Afrique : cas particulier de la RDC », organisé le 27 janvier à Bruxelles par le forum Lisanga qui regroupe des membres de la diaspora de la RDC. « Au niveau du Parlement européen, en concertation avec la société civile et les interlocuteurs que nous avons aujourd’hui, nous allons présenter une résolution à la session du mois de mars à Strasbourg, qui permet de rappeler que le Parlement européen demande, d’une part, aux services d’actions extérieures qui accompagnent le processus électoral congolais d’être extrêmement vigilant sur la manière dont le pouvoir est en train de mettre en place un soi-disant processus électoral qui est plutôt un glissement. Nous allons également dénoncer des cas de violation de droits de l’homme aujourd’hui en RDC. 

La suite sur Desc-Wondo

vendredi 11 décembre 2015

Invité Afrique : Droits de l’homme en RDC : Lambert Mende répond aux experts de l’ONU

RFI 
11/12/2015 
Par Sonia Rolley

Lambert Mendé.©RFI/Delphine Michaud

L’espace politique s’est réduit au cours des neuf premiers mois de l’année en République démocratique du Congo. C'est la conclusion du rapport du Bureau conjoint des Nations unies aux droits de l’homme. Cent quarante-trois violations constatées à caractère politique, plus de vingt exécutions sommaires, des centaines de détentions arbitraires ont été décomptées. A un an des élections, le Haut-Commissariat aux droits de l’homme, comme la Monusco, appelle les autorités congolaises tout comme les partenaires étrangers de la RDC à étudier les mesures préconisées par ce rapport pour pouvoir assurer la crédibilité du processus électoral à venir. Après un entretien, mercredi, avec le responsable du Bureau conjoint des Nations unies aux droits de l’homme, Jose Maria Aranaz, c'est le ministre de la Communication de la RDC, Lambert Mendé, qui lui répond.

jeudi 10 décembre 2015

Invité Afrique RFI : José Maria Aranaz : en RDC le nombre de violations des droits humains est élevé"

RFI
09/12/2015
Par Sonia Rolley 

Le directeur du Bureau conjoint des 
Nations Unies pour les droits de l’homme, 
José Maria Aranaz (à gauche).
Photo MONUSCO/Abel Kavanagh

Retour sur le dernier rapport du Bureau conjoint des Nations unies pour les droits de l’homme : l’espace politique en République démocratique du Congo se serait réduit au cours des neuf premiers mois de l’année 2015. 143 violations constatées à caractère politique, plus de 20 exécutions sommaires, des centaines de détentions arbitraires. A un an des élections, le Haut-Commissariat aux droits de l’homme, comme la Monusco (Mission de l’Organisation des Nations Unies pour la stabilisation en RD Congo), appelle les autorités congolaises comme les partenaires étrangers de la RDC à étudier les mesures préconisées par ce rapport pour pouvoir assurer la crédibilité du processus électoral. Cette évaluation du niveau de violations des droits de l’homme était une exigence du conseil de sécurité dans sa dernière résolution de mars 2015, la résolution 2211. José Maria Aranaz est le chef du Bureau conjoint aux droits de l’homme du Haut-Commissariat et de la Monusco.

La suite sur RFI

mercredi 18 novembre 2015

Sale temps pour la presse en RDC

Afrikarabia 
17/11/2015


Les attaques contre les médias et les journalistes se multiplient en République démocratique du Congo (RDC). Depuis début novembre, Journaliste en Danger (JED) relève quatre attaques contre des journalistes alors que le climat politique se tend à l’approche des élections de 2016. 

Presse sous pression. L’organisation Journalistes en Danger (JED) dénonce « quatre cas d’attaques flagrantes dirigées contre des journalistes » en République démocratique du Congo (RDC). Un triste record établi en un peu plus de deux semaines. Le 29 octobre, JED dénonce l’arrestation de Mambo Zampe, directeur du journal La Signature, par des inspecteurs du Parquet de Grande Instance de Kinshasa au sujet d’un article sur l’entreprise pétrolière SEP. Le journaliste a été transféré à la prison de Makala. Le 3 novembre, les installations de Radio Liberté, émettant à Lisala au Nord-Ouest de la RDC, ont été attaquées par des agents de la Police nationale congolaise et les locaux scellés. La veille, Radio Liberté avait accordé la parole à deux députés qui avaient critiqué la nomination de commissaires spéciaux par le chef de l’Etat dans les provinces.

La suite sur Afrikarabia

mardi 17 novembre 2015

RDC: les trois opposants des Fonus bientôt présentés à la justice?

RFI 
16/11/2015

Le ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement de la RDC, 
Lambert Mendé, a assuré mi-novembre à RFI que les trois militants des Fonus 
seraient présentés à la justice congolaise. 
AFP PHOTO / JUNIOR D. KANNAH 

En République démocratique du Congo, le gouvernement a promis que les trois militants du parti d'opposition Fonus (Forces novatrices pour l'union et la solidarité) allaient être présentés devant la justice. Selon le porte-parole Lambert Mendé, ils sont accusés d'incitation aux troubles à l'ordre public. Maman Kapinga Mingala, coordinatrice, Jerry Okundji et Paulin Lodi, tous deux membres de la ligue de la jeunesse des Fonus, ont été arrêtés le 5 novembre dernier. 

La suite sur RFI 

mardi 6 octobre 2015

Droits humains : Thambwe s’oppose à la désignation d’un "Expert indépendant"

Congo Independant 
04/10/2015 

Le ministre congolais de la Justice, 
Alexis Thambwe Mwamba 

Participant à une réunion de la Commission des droits de l’Homme des Nations unies à Genève au cours de la semaine dernière, le ministre Alexis Thambwe Mwamba s’est opposé à la désignation d’un Expert indépendant, autrement dit un "rapporteur spécial", des Nations unies chargé de suivre l’état des droits de l’Homme au Congo-Kinshasa. Au motif que les droits humains présenteraient des améliorations. 

A Genève, le ministre de la Justice Alexis Thambwe Mwamba s’est battu comme un beau diable pour faire échec à la désignation d’un "Expert indépendant" chargé de jouer le rôle de "surveillant" des Nations Unies pour les droits de l’Homme au Congo démocratique. 

A l’appui de sa thèse, Thambwe a prétendu que les droits et libertés ont connu des "améliorations". L’objectif est atteint : grâce au vote négatif du groupe des "77", les Nations unies n’enverront pas de rapporteur spécial au Congo de "Joseph Kabila". La délégation congolaise à Genève a, sans doute, sablé du champagne. "Joseph Kabila", mêmement.

Lire la suite sur Congo Indépendant

RD Congo : Les autorités impliquées dans une attaque contre des manifestants

Human Rights Watch 
06/10/2015

Répression accrue à l’encontre des opposants politiques

Fuite de personnes qui participaient à une manifestation politique pacifique 
à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo, 
le 15 septembre 2015, lors d’une violente attaque menée par un groupe 
de voyous spécialement recrutés à cet effet. © 2015 BBC 

(Kinshasa, le 6 octobre 2015) – De hauts responsables des forces de sécurité et du parti au pouvoir en République démocratique du Congo semblent avoir recruté des voyous en vue d’attaquer une manifestation politique pacifique dans la capitale, Kinshasa, a déclaré Human Rights Watch aujourd’hui. 

Le 15 septembre 2015, un groupe de jeunes a violemment attaqué un rassemblement public organisé par des dirigeants de l’opposition politique pour appeler le président Joseph Kabila à quitter ses fonctions à l’issue de ses deux mandats constitutionnellement autorisés en décembre 2016. Armés de gourdins et de bâtons en bois, les assaillants ont frappé les manifestants, répandant la peur et le chaos dans la foule de plusieurs milliers de protestataires. Plus d’une dizaine de manifestants ont été blessés, dont certains ont été piétinés alors qu’ils tentaient de fuir.

La suite sur HRW

Lire aussi : RDC : le pouvoir accusé d’avoir payé des voyous lors d’une manifestation

jeudi 1 octobre 2015

Pygmées et Bantous devant la justice pour génocide et crimes contre l’humanité en RDC

Le Monde 
29/09/2015 
Par Habibou Bangré (contributrice Le Monde Afrique, Kinshasa)

Un jeune Pygmée se tient devant une hutte, le 17 septembre 1999, 
dans la forêt équatoriale gabonaise. 
Crédits : Desirey Minkoh/AFP

Génocide et crimes contre l’humanité. Les charges qui pèsent sur les vingt-trois Bantous et dix Pygmées jugés par la cour d’appel de Lubumbashi depuis la fin d’août sont lourdes. Si lourdes que l’affaire avance difficilement, faute de moyens et de préparation. Mardi 29 septembre, lors de la reprise du procès, les juges ont renvoyé l’audience au 13 octobre pour permettre aux experts de déterminer si deux des prévenus étaient bien mineurs au moment des faits qui leur sont reprochés. En outre, l’un des 11 accusés pygmées est mort de maladie, selon un avocat de la défense. 

La suite sur Le Monde

Lire aussi :
Bientôt une loi pour protéger les Pygmées de RDC ?

lundi 29 juin 2015

Plainte contre gouverneurs : Joseph Kabila dément !

Digital Congo 
29/06/2015

Les observateurs son étonnés de constater que sur une liste d’une trentaine d’accusés, selon l’Afp, on n’ait mis l’accent que sur les quatre gouverneurs de province choisis de façons à servir la cause. 

Une chose est vraie, le Conseiller spécial du Chef de l’Etat en matière de la bonne gouvernance a déposé auprès du Pgr, une suite des dénonciations en l’endroit de quelques cadres et gestionnaires du pays. Le document hautement confidentiel, avait été remis entre les mains du Pgr. Le Conseiller spécial du Chef de l’Etat, partant du fait qu’il s’agissait des accusations à vérifier avant confirmation, et étant donné que les personnes concernées bénéficiaient de la présomption d’innocence, avait clairement dit qu’il n’était pas question de citer des noms. 


mercredi 15 avril 2015

En RDC, les militants du collectif Filimbi toujours en prison

RFI 
15/04/2015

La prison centrale de Malaka, à Kinshasa (archive). 
AFP PHOTO / JUNIOR D. KANNAH 

Cela fait aujourd’hui un mois, jour pour jour, que trois militants de la société civile sont détenus sans que les charges qui pèsent contre eux leur aient été notifiées. Arrêtés à l'issue d'une conférence de presse le 15 mars, avec des activistes burkinabè et sénégalais, ils sont accusés par le gouvernement de fomenter une insurrection armée. 

Le 15 mars dernier, des militants de plusieurs organisations de la société civile congolaise constitutives du mouvement Filimbi (Coup de sifflets en swahili) et des membres du mouvement sénégalais Y en a marre et du mouvement burkinabè du Balai citoyen ont été arrêtés à l’issue d’une conférence de presse. Les militants sénégalais et burkinabè ont par la suite été libérés au bout de quelques jours avant d’être renvoyés dans leur pays d'origine. Mais les Congolais, eux, sont toujours détenus, sans avoir pu rencontrer d'avocat jusqu’à maintenant. 

mercredi 25 février 2015

Invité Afrique : Droits de l’homme en Afrique: le point avec Alioune Tine d’Amnesty International

RFI 
25/02/2015 
par Christophe Boisbouvier

Alioune Tine (d), en 2010.AFP / SEYLLOU

Selon Amnesty International, les prévisions pour cette année 2015 en Afrique ne sont pas très bonnes. Dans son rapport annuel, l’ONG s'attend à « une situation sécuritaire de plus en plus grave » et à « la poursuite des violations de la liberté d'expression ». 

Le Sénégalais Alioune Tine dirige le bureau régional d'Amnesty pour l'Afrique de l'Ouest et du Centre. En ligne de Dakar, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. 

« Il y a eu beaucoup de tensions et de conflits, qui sont les facteurs de violations massives des droits de l’homme et ce sont des nouvelles menaces qui font que des Etats ne sont pas bien préparés et n'ont pas donné des réponses efficaces pour défendre des populations civiles de façon globale. »

jeudi 25 décembre 2014

Le commerce des armes classiques enfin régulé

Le Temps.ch 
24/12/2014 
par Etienne Dubuis 

Les conflits armés au Soudan du Sud font rage. (Reuters) 

Un traité sans précédent, ratifié par 60 Etats, entre en vigueur ce 24 décembre 
L’humanité s’offre cette année un joli cadeau de Noël. Ce 24 décembre entre en vigueur le premier Traité international sur le commerce des armes classiques: un texte qui a pour objectif d’éloigner des dictateurs et autres auteurs d’atteintes aux droits de l’homme «les outils de la répression et de la violence». Le projet paraissait utopique lorsqu’il a été lancé il y a une vingtaine d’années par une poignée de militants. Adopté en avril 2013 sous l’égide de l’ONU, il a été signé depuis par 130 Etats et ratifié par 60. Assez pour devenir réalité. 

jeudi 4 décembre 2014

RDC: l’UE et la France maintiennent leur aide à la police

RFI 
03/12/2014 

La police d’intervention rapide (PIR) à Kinshasa. Radio Okapi/John Bompengo 

L’Union européenne a annoncé, ce mercredi 3 décembre, qu’elle maintenait son aide à la réforme de la police en RDC, en dépit des graves bavures ayant terni l’action des forces de l’ordre à Kinshasa. De son côté, la France maintient elle aussi sa coopération, mais suspend une formation de 30 policiers de maintien de l’ordre qui devait avoir lieu cette semaine, à Kinshasa. 


mercredi 3 décembre 2014

Opération Likofi : les Kinois soutiennent la Police nationale congolaise

Digital Congo 
03/12/2014

Rejetant le rapport de HRW, les habitants de Kinshasa réclament la troisième « opération Likofi ». 

Les Kinois réclament haut et fort l’ « opération Likofi ». Réunis hier mardi 2 décembre pour une marche de solidarité avec la Police nationale congolaise (PNC), les partis politiques, les mouvements associatifs, les membres des ONG… ont vivement critiqué ceux qui soutiennent la criminalité en RDC. Cette mobilisation à l’appel de l’ONGD Dynamique pour la lutte contre la pensée néocoloniale (DLPNC) s’est révélée comme un moyen de donner un signal fort à Human Rights Watch (HRW), auteur d’un dernier rapport incriminant la PNC. 

vendredi 21 novembre 2014

Opération Likofi : «l’essentiel est de sécuriser la population», selon le général Kanyama

Radio Okapi 
21/11/2014

Le général Célestin Kanyama de
la Police Nationale Congolaise (PNC)
le 23/09/2014 à Kinshasa, lors de
la présentation de bandits armés
dans la commune de Bandalungwa.
Radio Okapi/Ph. John Bompengo
Visé dans le rapport de l’ONG américaine Human Right Watch à propos de violations de droits de l’homme qui auraient entachées l’opération contre la criminalité urbaine dénommée Likofi, le chef de la police à Kinshasa, le général Célestin Kanyama, dit ne pas avoir besoin de «se lancer dans une distraction». Refusant de s’étendre sur le sujet, le commissaire provincial de la police à Kinshasa a expliqué que l’essentiel, pour lui, c’est de sécuriser la population kinoise. 

«A ce stade, il n’y a pas de commentaires. Le message de son excellence [le ministre de l’Intérieur, Richard Muyej] était clair. Et nous, comme police, on se met derrière la décision de l’autorité et c’est ce qui va être d’application», a-t-il affirmé. 

Le ministre congolais de l’Intérieur, Richard Muyej, avait qualifié le rapport de Human Rights Watch de «chantage éhonté et d’humiliation contre le gouvernement de la République et le peuple congolais». 

jeudi 20 novembre 2014

Opération Likofi : le rapport de Human Rights Watch, «une diabolisation et un chantage», selon Kinshasa

Radio Okapi 
20/11/2014

Deux jeunes hommes présentés mercredi 19 novembre 
par le ministre de l'Intérieur Richard Muyej comme étant 
des détenus de la prison de Makala alors que, selon lui, 
Human rights watch les présentait comme des victimes 
de disparition forcée lors de l'"opération Likofi". 
Photo Olivier Amisi/Ministère de l'Intérieur 
Le ministre congolais de l’Intérieur, Richard Muyej a qualifié mercredi 19 novembre le rapport de Human Rights Watch documentant au mois 51 meurtres et disparitions forcées imputés à la Police nationale congolaise lors de l’opération Likofi contre les Kulunas de «chantage éhonté et d’humiliation contre le gouvernement de la république et le peuple congolais». L’opération policière Likofi (coup de poing, en Lingala, NDLR) contre le banditisme urbain à Kinshasa a été menée entre novembre 2013 et février 2014. Au cours de celle-ci, de nombreux jeunes ont été abattus de sang-froid par la police non loin de leurs domiciles tandis que d’autres ont été victimes de disparition forcée, indique le rapport de l’ONG Human Rights Watch.