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mercredi 25 novembre 2015

Pression internationale pour rapatrier en RDC les ex-combattants du M23

Le Monde 
21/11/2015 
Par Habibou Bangré (contributrice, Le Monde Afrique, Kinshasa)

D'anciens rebelles du Mouvement du 23-Mars 
cantonnés dans le camp de Ramwanja, en Ouganda, le 17 décembre 2014.
CRÉDITS : ISAAC KASAMANI/AFP

Les délais sont courts et les enjeux de taille. Mercredi 18 novembre, à Kinshasa, une réunion restreinte de la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs (CIRGL) a décidé d’accélérer et d’achever le rapatriement d’un millier d’anciens rebelles du Mouvement du 23-Mars (M23). Ces combattants du M23, créé en mai 2012 dans la province instable du Nord-Kivu et vaincu en novembre 2013 par l’armée congolaise et les casques bleus, avaient fui l’est de la République démocratique du Congo (RDC) pour se réfugier en Ouganda. 

vendredi 1 mai 2015

RDC : Kinshasa amnistie plus de 350 ex-combattants du M23

Jeune Afrique 
30/04/2015

Des ex-rebelles du M23 au camp
de réfugiés de Ramwanja (Ouganda),
 le 17 décembre 2014.
© Isaac Kasamani/AFP
Le ministre congolais de la Justice a annoncé jeudi une nouvelle vague d'amnistie en RDC. Parmi les bénéficiaires : plus de 350 ex-rebelles du Mouvement du 23-Mars (M23), réfugiés en Ouganda et au Rwanda après leur défaite militaire fin 2013.

Plus d'une année après la promulgation, le 11 février 2014, de la loi d'amnistie, plus 350 membres de l'ancienne rébellion du Mouvement du 23-Mars (M23) ont été amnistiés, le 30 avril, par le gouvernement congolais. 

Selon les arrêtés du ministre de la Justice lus sur la télévision publique, 220 ex-rebelles amnistiés se trouvent en Ouganda, 122 autres au Rwanda, une trentaine sont incarcérés à Kinshasa et quatre sont détenus à Goma, capitale de la province du Nord-Kivu (est), où le M23 était très actif. 

samedi 25 avril 2015

Nouvelle rébellion du M23 en RDC: Bertrand Bisimwa nie

RFI 
25/04/2015

Des membres de l'ex-rébellion du M23 devant le camp de Ramwanja, le 17 décembre. 
AFP PHOTO/ ISAAC KASAMANI 

En République démocratique du Congo, le gouverneur de la province du Nord-Kivu, Julien Paluku, a affirmé jeudi qu'une nouvelle rébellion serait en gestation en Ouganda. Elle serait selon lui, composée d’anciens membres du M23 parmi lesquels le leader du mouvement, Bertrand Bisimwa. Ce dernier dénonce une rumeur infondée. 

Une nouvelle rébellion, « fomentée de l'extérieur », serait en gestation en Ouganda a annoncé jeudi le gouverneur du Nord-Kivu, Julien Paluku, dans le cadre d'une conférence de presse sur l'enlèvement de trois personnels des Nations unies près de Goma

samedi 8 novembre 2014

Neutralisation absolue du M23 : voici la révélation du plan secret de Joseph Kabila !

Digital Congo 
07/11/2014

Comme le président Obama travaillant dans le secret le plus absolu sur le plan de neutralisation du terroriste Ben Laden au Pakistan, le président Joseph Kabila s'est muré dans le secret pour produire    
« Pomme Orange »

Près de 20 mois après le début de la rébellion, d'aucuns se posent la question de savoir comment les FARDC sont elles parvenues à démanteler l'une des grandes rebellions aux soutiens multiples dans la grande région des Grands Lacs. 

En ces moments où les pourparlers de Kampala appartiennent désormais au passé à travers la signature ce jeudi 12/12/2013 à Nairobi de trois déclarations séparées, Voici le plan secret de l’opération montée par le Chef de l’Etat au nom de code « Pomme Orange » qui vient de liquider le M23 

lundi 6 mai 2013

RDC: la rébellion du M23 a un an

RFI 
06/05/2013 

Des rebelles du M23 le 30 novembre 2012. 
REUTERS/James Akena 

Il y a un an naissait une nouvelle rébellion dans l'est de la République démocratique du Congo. Le M23 ou Mouvement du 23 mars, en référence à un accord signé le 23 mars 2009 entre le gouvernement et l'ancêtre du M23, le CNDP (Congrès national pour la défense du peuple). Officiellement, c'est pour protester contre la non application de l'accord par Kinshasa que cette rébellion a vu le jour. 

Avant même le M23, il y a la désertion de Bosco Ntaganda. Le général congolais et ancien chef du CNDP craignait peut-être d'être arrêté et transféré à la Cour pénale internationale. Il décide en tout cas de prendre le maquis avec ses fidèles. Il est petit à petit rejoint par les mécontents de l'accord du 23 mars : des militaires qui se plaignent de ne pas percevoir leurs salaires, leurs équipements, d'être abandonnés par Kinshasa. Recherché par la CPI, Bosco Ntaganda n'est pas la figure la plus présentable pour amorcer une négociation. C'est alors que nait le M23, une nouvelle rébellion avec un chef moins exposé médiatiquement, Sultani Makenga. 

jeudi 18 avril 2013

Le mouvement terroriste M23 et la Monusco cette fois sur pied de guerre frontale !

Digital Congo 
17/04/2013
On a assisté à trop de camouflage d’affrontements des casques bleus de la Monusco contre les groupes armés dont ils se contentaient d’observer les attaques contre les populations congolaises à l’Est. Cette fois que ces forces onusiennes sont instruites de traquer les fieffés coquins terroristes, ceux-ci s’affolent déjà à l’idée d’être les cibles d’attaques frontales 

Il n’est plus l’ombre d’un seul doute que les dirigeants du M23 sombrent dans l’agitation pour tenter de faire obstacle au déploiement de la Brigade offensive de « Monusco. Après avoir saisi l’Afrique du Sud aux fins de la dissuader d’envoyer ses troupes en République démocratique du Congo, le mouvements pseudo-rebelle vient de faire le même appel au président tanzanien. En dépit de la décision du Conseil de sécurité de l’Onu, la bande à Suttani Makenga se croit encore capable de bousculer la donne en menaçant des pays disposant d’armées autrement plus puissantes que ses résidus de rebelles. 

mercredi 20 février 2013

La signature de l’accord-cadre de paix sur la RDC annoncée pour le 24 février prochain

Digital Congo 
19/02/2013

Selon le porte-parole du secrétaire général de l’ONU, Martin Nesirky, « Tous les Présidents invités se sont engagés soit à être là, soit à envoyer un représentant habilité à signer » l’accord censé permettre de pacifier l’Est de la RDC.

La signature d’un accord de paix sur le conflit en RDC pourra intervenir, le 24 février prochain, à Addis-Abeba, apprend-on de source proche des Nations Unies.


mercredi 13 février 2013

Jean-Marie Runiga, président du M23: «Je ne suis pas extrémiste»

RFI 
Par Bruno Minas 
13/02/2013

Jean-Marie Runiga, président
du M23 (G) et Bruno Minas de RFI
.
 Sous le coup de sanctions des Nations unies, interdit de voyager, le président du M23, Jean-Marie Runiga, reste cantonné dans le périmètre du territoire de Rutshuru, occupé par le mouvement rebelle. RFI l’a rencontré dans son fief de Bunagana, à la frontière entre la RDC et l’Ouganda. 

RFI: Quel est votre sentiment sur la façon dont se déroule le dialogue de Kampala entre le M23 et le gouvernement ? 
Jean-Marie Runiga : Nous pensons que le premier point qui a été traité est important - il s’agit du respect de l’accord du 23 mars 2009 avec le CNPD qui est à la base de la guerre que nous connaissons aujourd’hui - mais nous disons que les autres points sont très importants parce que le non respect des accords, comme la guerre, sont la conséquence de la mauvaise gouvernance. Nous pensons qu’il faut parler de la gouvernance, c’est le vrai problème qui se pose en RDC, ainsi que d’avoir un leadership visionnaire et responsable.


mercredi 6 février 2013

Félix Basse : « Il n’y a pas de déploiement des troupes rwandaises le long de la frontière congolaise »

Radio Okapi
06/02/2013

Soldats rwandais et congolais suivent
une escarmouche à la frontière des
deux pays où au moins un militaires
des FARDC a été tué le 5 novembre 2012.
© MONUSCO/Sylvain Liechti
Le porte-parole militaire de la Mission des Nations unies pour la stabilisation en RDC (Monusco), le lieutenant-colonel Félix Prosper Bass, a déclaré que les troupes rwandaises n’étaient pas déployées le long de la frontière de la République démocratique du Congo (RDC), contrairement à ce qu’a prétendu la société civile en début de semaine. Au cours de la conférence hebdomadaire des Nations unies organisée mercredi 6 février à Kinshasa, il a indiqué que seuls des éléments du M23 étaient présents. 
« Nous nous sommes rendus sur le lieu et nous avons constaté qu’il n’y avait pas de déploiement des troupes rwandaises le long de la frontière jusqu’à preuve du contraire, mais nous avons trouvé des éléments du M23, une dizaine ou une quinzaine qui étaient sur place », a affirmé le lieutenant-colonel Félix Prosper Bass. 

mardi 5 février 2013

Crise au Nord Kivu : Des accusations graves contre Didier Etumba

Congo Indépendant
05/02/2013

Le général Didier Etumba (à gauche)
en compagnie du général rwandais
James Kabarebe, alors chef
d’état-major de l’armée rwandaise.
 Dans son édition datée du vendredi 1er février, le quotidien bruxellois «Le Soir» publie, sous la plume de Colette Braeckman, un long dossier sur la situation sécuritaire et socio-économique au Congo démocratique. La journaliste belge revient sur la débâcle de l’armée congolaise (FARDC) face aux rebelles du M23. Il faut dire que des commandos congolais formés par des instructeurs belges ont participé aux combats. Deux officiers livrent leurs témoignages. Il s’agit des colonels Fabien Dunia et Olivier Hamuli respectivement commandant du bataillon para-commando basé à Kindu et porte-parole des FARDC. Chef d’état-major général de l’armée congolaise, le général Didier Etumba Longila est mis en cause. Il est présenté comme étant l’homme qui donnait des «ordres contradictoires» aux troupes déployées sur le théâtre des opérations. Des accusations graves qui appelent des éclaircissements de la part de l’intéressé. Au nom du droit de l’opinion à savoir la vérité. 

mercredi 30 janvier 2013

RDC : la justice prolonge la suspension du parti de Roger Lumbala jusqu’au 23 février

Radio Okapi 
30/01/2013

Roger Lumbala, député de l'opposition
Photo afriqueredaction.com 
Le Tribunal de Grande instance de la Gombe prolonge jusqu’au 23 février prochain la suspension des activités du Rassemblement des Congolais démocrates et nationalistes (RCDN), parti de l’opposant Roger Lumbala, décidée par le ministre de l’Intérieur, Richard Muyej, le 8 janvier dernier. Le ministre avait expliqué sa décision par le ralliement de Roger Lumbala à la rébellion du M23, reprochant aux cadres du RCDN de n’avoir pas dénoncé la démarche de leur chef.

Le président du Tribunal de Grande instance de la Gombe a déclaré à Radio Okapi ce mardi 29 janvier que le ministre de l’Intérieur a bien la compétence de suspendre un parti politique « dont les activités portent atteinte à l’ordre public ».


mardi 22 janvier 2013

Partage du gâteau : Gros risque à Kampala !

Congojet
21/01/2013
Les pourparlers de Kampala sont en passe d’atteindre leur vitesse de croisière. En témoigne l’adoption de l’ordre du jour et la succession de plénières, depuis la reprise, après la pause-fête de fin décembre dernier. 

Bien plus, le premier point inscrit dans le canevas de travail, est sur le point d’être complètement vidé de toute sa substance. En effet, des informations en provenance de la Capitale ougandaise indiquent que les délégués de Kinshasa et ceux du M23 viennent de finir l’évaluation de l’accord du 23 mars 2009, objet principal de ces négociations. Cependant, précisent-on, les conclusions de cette évaluation ne sont pas encore rendues publiques. 

lundi 21 janvier 2013

Cartographie des motivations derrière les conflits : le M23


Merci à Pierre de Montpellier



Voir en plein écran



IPIS/EURAC Anvers, novembre 2012

Pourparlers de Kampala: l’ONG Pole Institute s’oppose au «partage du pouvoir»

Radio Okapi
21/01/2013

(De g.à.d) Abbé Appolinaire Malu Malu, chef des experts
et Raymond Tshibanda, ministre des Affaires étrangères
de la RDC et chef de la délégation du gouvernement
aux pourparlers avec le M23. (Décembre 2012) 
L’Institut interculturel dans la région de Grand lacs, Pole Institute, s’oppose à l’idée d’un partage de pouvoir entre le gouvernement et les rebelles du M23 aux négociations de Kampala (Ouganda). Au cours d’un point de presse tenu dimanche 20 janvier à Kinshasa, le président de cette organisation citoyenne, Ka Mana, a invité les deux parties à respecter un cessez-le-feu sur la ligne de front.
«Les pourparlers de Kampala ne résoudront aucun problème, s’ils ne sont qu’un partage des postes au gouvernement, dans l’armée et dans l’administration», prévient-il. 

jeudi 17 janvier 2013

Pourparlers de Kampala: le gouvernement et les rebelles du M23 adoptent l’ordre du jour

Radio Okapi 
17/01/2013

Munyonyo, cadre qui accueille les pourparlers
entre le gouvernement et le M23 à Kampala
Photo Innocent Olenga-Radio Okapi. 
Le gouvernement de la RDC et les rebelles du M23 ont adopté mercredi 16 janvier l’ordre du jour des pourparlers qu’ils ont entamés à Kampala le 10 décembre 2012. Les deux parties ne s’accordaient pas depuis quelques jours au sujet de cet ordre du jour, bloquant les négociations pendant cinq jours. « Les parties vont désormais commencer les négociations des questions importantes du programme », indique dans un communiqué de Crispus Kiyonga, ministre ougandais de la Défense qui assure la facilitation. 

Les pourparlers vont donc porter sur quatre points : 

  • La revue de l’accord du 23 mars 2009 
  • Les questions sécuritaires 
  • Les questions sociales, politiques et économiques 
  • Le plan de mise en œuvre 

lundi 14 janvier 2013

Troublantes révélations : «KABILA» cède une partie du Congo à ses frères tutsi du M23

12/01/2013 05:47:00
KongoTimes! 

Paul KAGAME et Joseph KABILA 
Ce n’est pas un canular. Pas non plus une illusion. C’est plutôt une réalité. Le M23 aurait obtenu, des pourparlers de Kampala, une partie du territoire de la RDC, en plus de postes ministériels. C’est la presse ougandaise qui fait état de ce deal en échange d’un retour de la paix dans l’Est du pays. Même si aucune précision n’a été donnée sur cette portion, l’on suppose que l’objet du troc porte sur les territoires de la province du Nord-Kivu, actuellement sous contrôle du groupe armé à la solde de Kigali. Pour ceux qui suivent de près l’évolution de la situation d’insécurité dans l’Est, cette révélation est une lapalissade. Tous les spécialistes de la région des Grands Lacs connaissent les tenants et aboutissants de la guerre imposée en RDC depuis près de deux décennies. Si jamais l’information venait à être confirmée officiellement, le M23, une émanation du CNDP/RCD/RDF, aura obtenu ce qu’il recherche depuis belle lurette. 


Lire la suite sur Kongo Times !

RDC : la force internationale neutre sera intégrée dans la Monusco

Radio Okapi 
14/01/2013

Bunagana, Nord Kivu, le 16 mai 2012, le commandant de
la brigade de la Force onusienne au Nord Kivu, Arinder Singh,
arrive par hélico après les affrontements armés entre FARDC
et les mutins qui ont occasionné la fuite de la population
vers l'Ouganda voisin © MONUSCO/Sylvain Liechti 
La force internationale neutre qui doit être déployée à la frontière entre la RDC et la Rwanda sera intégrée au sein de la Monusco. Le conseiller militaire du secrétaire général des Nations unies, le général Babacar Gaye, l’a déclaré à Radio Okapi, dimanche 13 janvier. Pour lui, l’intégration de cette force à la mission de l’Onu en RDC va permettre notamment de répondre à la question de son financement. 

Le général Gaye revenait d’Addis-Abeba où il a participé à la réunion de ministres et chefs d’Etat major des pays des Grands lacs consacrée au déploiement de cette force. 
« Ce que les Nations unies apportent c’est une solution à trois problèmes. Tout d’abord une solution du problème de financement de cette force puisqu’elle sera au sein de la Monusco. Nous apportons également une solution aux problèmes récurrents des violences à l’Est [de la RDC] », a expliqué l’officier onusien. 

RDC: reprise des négociations entre les rebelles du M23 et le gouvernement

RFI 
14/01/2013

Rebelles du M23 lors de leur retrait
de Saké, à 42 Km de Goma (RDC),
 le 30 novembre 2012.
REUTERS/James Akena 
Un deuxième round de négociations débute ce lundi 14 janvier à Kampala entre les rebelles du M23 et le gouvernement de Kinshasa. En décembre dernier, le premier round n'avait rien donné. Mais aujourd'hui, rebelles et gouvernement congolais se sont entendus sur un ordre du jour. 

Le premier point à l’ordre du jour sera de vérifier si l’accord du 23 mars 2009 a été respecté à cette date. Le gouvernement congolais avait signé la paix avec le mouvement de rébellion CNDP. 


samedi 12 janvier 2013

Le gouvernement de RDC rappelle le caractère criminel du M23

RFI 
12/01/2013

Roger Lumbala, le député de l'opposition
congolaise qui a rejoint le M23. Wat.tv
 
Alors que les discussions reprennent à Kampala entre le M23 et le pouvoir de Kinshasa, le porte-parole du gouvernement congolais, Lambert Mende, a répété ce vendredi lors d’une conférence de presse qu’il ne serait pas question qu’un éventuel accord viole la Constitution, autrement dit l’ordre établi. Il est également revenu sur le cas Lumbala, ce député d’oppositon qui a rejoint le M23. 

Lambert Mende met en garde ceux qui voudraient suivre le parlementaire Roger Lumbala, qui s’est joint à la délégation du M23 à Kampala. Pour le ministre porte-parole, les discussions