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lundi 22 décembre 2014

Invité Afrique : Georges Chikoti: «La brigade de l'ONU va se mobiliser contre les FDLR»

RFI 
22/12/2014 
Par Sonia Rolley

Georges Rebelo Pinto Chikoti, ministre angolais des Relations extérieures.
Photo: Chatham House, source: Wikipédia

Va-t-il y avoir des opérations militaires contre les FDLR ? Les rebelles hutus rwandais ont jusqu’au 2 janvier 2015 pour désarmer. C’est l’ultimatum que leur avaient fixé la CIRGL, l’organisation sous-région pour les Grands Lacs et la SADC, la Communauté économique des Etats d’Afrique australe. Mais, depuis six mois, leur désarmement n’a guère avancé. Pour en parler, Sonia Rolley reçoit Georges Rebelo Pinto Chikoti, ministre angolais des Relations extérieures, qui préside la CIRGL. Il était de passage à Paris ces derniers jours. L’occasion également d’évoquer le situation en Centrafrique où l’Angola envisage d’envoyer des casques bleus. 

mardi 28 octobre 2014

Martin Kobler: «Les FDLR ont deux mois et six jours pour déposer les armes»

Radio Okapi
28/10/2014

A l’occasion d’une réunion du Conseil de sécurité consacrée lundi à la situation en République démocratique du Congo, le Représentant spécial du Secrétaire général dans ce pays, Martin Kobler, a averti les rebelles des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR) qu’en cas d’échec du processus de désarmement d’ici le 2 janvier, « une action militaire » contre les éléments réfractaires de ce mouvement serait « inévitable ». 
« Les FDLR ont deux mois et six jours pour déposer les armes, et ce, de manière inconditionnelle », a dit M. Kobler
« Le 2 janvier, il n’y aura plus d’excuse pour expliquer des retards supplémentaires ». 

dimanche 5 octobre 2014

RDC: nouvel avertissement de l’ONU aux FDLR

04/10/2014
RFI

Reddition de militants du FDLR, à Kateku, dans l'est de la RDC, le 30 mai 2014. 
REUTERS/Kenny Katombe 

La communauté internationale se fait de plus en plus menaçante vis-à-vis des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR). Actives dans l'Est du Congo, les FDLR avaient entamé un processus de reddition volontaire. Un délai de six mois avait été accordé le 2 juillet par les chefs d'Etat de la Communauté d'Afrique Australe (SADC) et la Conférence internationale sur la région des Grands lacs (CIRGL). Or depuis, aucun nouveau rebelle ne s'est rendu. A mi-parcours, le Conseil de sécurité de l'ONU menace de nouveau d'employer la force. 


jeudi 2 octobre 2014

RDC : plus 100 ex-combattants et leurs dépendants sont morts à Kotakoli, selon HRW

Radio Okapi 
01/10/2014

Des ex-combattants le 11/09/2014
dans la localité de Kotakoli qui abrite
 l’un des plus grands centres
d’entrainement commando dans la
province de l’Equateur, lords de la
 visite du représentant spécial
du secrétaire général de l’Onu
pour la RDC, Martin Köbler,.
Radio Okapi/Ph. John Bompengo
Dans un communiqué publié mercredi 1er octobre à Kinshasa, Human Rights Watch (HRW) indique que plus de cent personnes parmi les combattants démobilisés, leurs femmes et leurs enfants sont morts de faim et de maladie au centre de cantonnement de Kotakoli où ils sont regroupés depuis plus d’une année. L’ONG accuse les responsables du gouvernement d’avoir négligé de leur fournir la nourriture et les soins de santé appropriés. 
« Lors de l’enquête menée par Human Rights Watch à Kotakoli en septembre, nous avons documenté que plus de 100 personnes parmi les combattants démobilisés, leurs femmes et leurs enfants qui avaient été envoyés à Kotakoli sont morts de faim et de maladie après que les responsables du gouvernement ont négligé de leur fournir la nourriture et les soins de santé appropriés », explique Ida Sawyer, chercheuse de Human Rights Watch sur la RDC. 
Citant ces ex-combattants, elle affirme qu’ils n’ont reçu des provisions de nourritures du gouvernement pendant leurs premiers trois mois dans ce centre. 

jeudi 4 septembre 2014

RDC: Martin Kobler évoque les «blocages» des opérations militaires contre les FDLR

Radio Okapi 
03/09/2014

Martin Köbler, représentant spécial du
secrétaire général de l’Onu pour la RDC
le 28/08/2013 à Kinshasa,
lors de la conférence de l’Onu.
Radio Okapi/Ph. John Bompengo
Le patron de la Monusco, Martin Kobler, a évoqué mercredi les «blocages» des opérations militaires contre les rebelles des Forces démocratiques pour la libération du Rwanda (FDLR) dans l’Est de la RDC, au cours de la conférence de presse hebdomadaire des Nations unies.
«Nous avons un mandat de neutraliser les groupes armés. Les FDLR doivent arrêter sans condition. Entre 2002 et maintenant, on a rapatrié 11 117 FDLR au Rwanda. Cette année, on avait un blocage. La première raison, c’est l’offre de la CIRGL et la SADC de dire [aux FDLR]: vous avez six mois. si on dit qu’ils ont six mois [pour désarmer], alors la pression militaire s’arrête. et puis on fait la réddition volontaire. On a le temps jusqu’au mois de janvier de l’année prochaine. C’est ce qui bloque», a déclaré le patron de la Monusco. 

mercredi 20 août 2014

Retour des FDLR au Rwanda: Kobler choque l’opposition

RFI 
20/08/2014

Le chef de la Monusco et représentant spécial du secrétaire général de l’ONU en RDC, 
Martin Kobler (ici au Katanga en janvier 2014) a demandé 
aux FDLR de rentrer au Rwanda et de vivre «paisiblement». 
Monusco/Myriam Asmani 

L'opposition politique rwandaise se dit indignée après les propos tenus sur notre antenne par le patron de la Monusco. Martin Kobler disait encourager les ex-combattants FDLR et leurs familles à rentrer au Rwanda pour y mener une vie paisible. Interrogé sur la réaction de l'ancien Premier ministre - devenu opposant - Faustin Twagiramungu, sur le fait que l'absence de respect pour les droits de l'homme et d'ouverture de l'espace politique empêchait les réfugiés de rentrer chez eux, le représentant onusien a répondu qu'il ne pouvait pas confirmer que la situation soit difficile pour ceux qui rentrent. Des mots qui ont provoqué l'ire de tous les opposants. 

vendredi 15 août 2014

Un ultimatum lancé aux FDLR à l’issue du sommet des Grands Lacs

RFI 
15/08/2014

Des rebelles hutus rwandais du FLDR, en 2009, près de Pinga, à 150 km au nord-ouest de Goma. 
AFP PHOTO/ LIONEL HEALING 

Les rebelles hutus rwandais du FDLR ont jusqu’au 31 décembre pour désarmer. C’est la conclusion du sommet – restreint – des chefs d’Etat de la Conférence internationale pour les Grands Lacs qui s’est clôt jeudi à Luanda. Les présidents angolais, congolais et ougandais étaient présents, mais Sassou Nguesso, Paul Kagame et Jakaya Kikwete, attendus, n’ont finalement pas fait le déplacement. 

Après les chefs d'état-major et les ministres, ce sont les chefs d'Etat de la Conférence internationale pour les Grands Lacs (CIRGL), qui se sont réunis ce jeudi à Luanda, en Angola. 

samedi 9 août 2014

RDC: échanges musclés entre les FDLR et Martin Kobler

RFI 
09/08/2014

Des éléments de la force onusienne en RDC inspectent les armes rendus par les FLDR, 
à Kateku, dans l'Est, le 30 mai 2014. REUTERS/Kenny Katombe 

En République démocratique du Congo, alors qu’environ 1500 rebelles hutus rwandais des FDLR sont encore présents dans l’est du territoire, une joute verbale oppose depuis ce jeudi le porte-parole de ce mouvement rebelle à Martin Kobler, le représentant de la Mission des Nations unies en RDC. Tout cela autour de la question du désarmement de la milice. 


mercredi 4 juin 2014

Des rebelles FDLR déposent les armes au Kivu : reddition ou communication ?

France24 
Les Observateurs 
03/06/2014

Toutes les photos ont été prises le 30 mai par notre Observateur Charly Kasereka. 

Depuis la fin des années 2000, les rebelles des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR) terrorisent les populations du Nord-Kivu. Mais le mouvement, qui se trouve dans le viseur de la communauté internationale et de l’armée congolaise, semble s’essouffler. Une centaine de rebelles ont choisi de déposer les armes dans la région de Walikale, dans l’est du Congo. Un début de reddition qui peine toutefois à convaincre. 
Contributeur
Charly Kasereka
Cette reddition avait été annoncée dès le 18 avril par les FDLR, mouvement constitué de rebelles hutus rwandais [voir en bas de l’article pour plus de détails]. Le groupe avait affirmé dans un communiqué vouloir stopper la lutte armée pour "se consacrer à la lutte politique au Rwanda". Une décision saluée par l’ONU et l’Union africaine qui ont insisté sur une reddition totale du mouvement.