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mercredi 19 octobre 2016

Comment notre cerveau fabrique des préjugés

Slate Afrique
18/10/2016


Black Sheep surrounded. Crédit photo: Leon Riskin via Flickr. 
CC BY

Selon notre couleur de peau, nous n'aurons pas la même réaction face à une personne noire ou blanche qui frappe à notre porte. Et tout cela de manière inconsciente. 

Les humains sont des créatures sociales très perfectionnées. Nos cerveaux nous ont permis de survivre et de prospérer au milieu d’environnements sociaux complexes. Ainsi, les comportements et les émotions qui nous permettent d’évoluer au sein de notre sphère sociale sont enracinés au sein d’un réseau de neurones à l’intérieur de nos cerveaux.

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vendredi 15 juillet 2016

Mali : la ville de Djenné classée patrimoine en péril par l'Unesco

RFI 
15/07/2016

Le Comité du patrimoine mondial réuni depuis le 10 juillet à Istanbul (Turquie) 
a inscrit les Villes anciennes de Djenné (Mali) sur la Liste du patrimoine mondial 
en péril du fait de l'insécurité dans la région, a indiqué l'Unesco le 13 juillet 2016. 
© François Xavier MARIT / AFP

Au Mali, la ville de Djenné vient d'être classée patrimoine en péril par l'Unesco. Djenné a perdu son « grade » de patrimoine classé, notamment en raison de l'insécurité, qui affecte les sites.

Le Comité du patrimoine mondial de l'Unesco réuni à Istanbul a exprimé « sa préoccupation » en raison de sa situation « dans une région affectée par l'insécurité ». Il estime que « ce contexte ne permet pas de lutter contre les menaces qui affectent le site, notamment la détérioration des matériaux dans la ville historique, la pression urbaine et l'érosion des sites archéologiques ».

Le site de Djenné avait été inscrit en 1988 sur la Liste du patrimoine mondial de l'Unesco.

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mardi 12 avril 2016

La 10è édition du festival de jazz fixée en juin prochain

Radio Okapi 
11/04/2016 

L’initiateur du Festival de jazz de Kinshasa, Paul Ngoy Le perc. 
Radio Okapi/Ph. Jean-Marc Matwaki 

La dixième édition du Festival de jazz de Kinshasa (JazzkiF) est annoncée du 1er au 4 juin prochain, à l’Institut français de Kinshasa. L’initiateur de ce festival, Paul Ngoy Le perc l'a confirmé, samedi 9 avril, à Radio Okapi. «En gros, on est déjà en route pour la 10è édition du Jazzkif. Cette édition met en valeur les musiciens congolais évoluant à l’étranger», a-t-il affirmé.

La suite sur Radio Okapi

mardi 5 avril 2016

Seydou Keïta, premier photographe africain au Grand Palais

RFI 
01/04/2016 
Par Siegfried Forster

Seydou Keïta, sans titre (détail), 1956. Tirage argentique moderne 
réalisé en 1995 sous la supervision de Seydou Keïta et signé par lui. 
60 x 50 cm. Genève, Contemporary African Art Collection (CAAC). 
© Seydou Keïta / SKPEAC  

C’est une véritable consécration. Avec la plus grande rétrospective jamais dédiée à l’œuvre du photographe malien, décédé en 2001, à l’âge de 80 ans, le Grand Palais à Paris rend hommage à l’un des meilleurs portraitistes du XXe siècle. L’exposition Seydou Keïta vient d’ouvrir avec plus de 200 photos de l’un des pères de la photographie africaine, dont une centaine de tirages argentiques d’époque, une première.

La suite sur RFI

Lire et écouter aussi

RENDEZ-VOUS CULTURE - Exposition: Seydou Keïta, photographe malien au Grand Palais

jeudi 4 février 2016

Chocolat clown nègre - L'histoire oubliée du premier artiste noir de la scène française

de Gérard Noiriel

Lu pur vous sur Lectures

Le livre peut-être commandé chez Decitre

Compte rendu de Igor Martinache, publié le 05 avril 2012

Présentation de l'éditeur

Footit et Chocolat, c'est le plus célèbre duo de clowns de la Belle Epoque qui a inventé la comédie clownesque centrée sur deux personnages, le clown blanc et l'Auguste. Leurs numéros mettaient en scène de façon comique les relations de domination entre blanc et noir. Amis des peintres vivants à Montmartre, les deux clowns ont été immortalisés par Toulouse-Lautrec et ont été les premiers acteurs du cinéma muet. Le clown Chocolat, esclave noir cubain ayant fui en Europe, fut le premier artiste noir à susciter un tel engouement populaire, célébré comme un " monument national ". L'affaire Dreyfus mettra brutalement un terme à ce succès, le rire provoqué par les clichés racistes étant devenu gênant. Malgré son talent, Chocolat se trouvera exclu du monde du spectacle et mourra dans la misère. 

A travers lui, c'est l'histoire de l'esclavage et du devenir des affranchis que Gérard Noiriel étudie, les stéréotypes raciaux d'une époque et la mémoire qui en a été conservée : Chocolat fut enterré dans le quartier des indigents et aujourd'hui encore, aucune notice ne lui ait consacrée dans les ouvrages sur le cirque. Footit, lui, a sa tombe au Père Lachaise et apparaît dans tous les livres. A travers le monde du cirque, qui n'a jamais été regardé comme un objet historique, et plus largement celui du spectacle vivant, Gérard Noiriel poursuit ici son travail sur le racisme. Et réhabilite enfin un de ceux qui fut " chocolat " dans notre histoire nationale.

Lire aussi :

Le retour en grâce de Chocolat, premier artiste noir en France

France Culture
03/02/2016
Texte de Sarah Leduc

Chocolat © BNF 

Premier artiste noir en France, Rafael Padilla alias "Chocolat" a été longtemps oublié. Objet d’un film, d’une exposition, d’une pièce et d’un livre, ce clown et danseur, né esclave et adulé à la Belle époque, retrouve le haut de l’affiche. 

Rafael "tout court" est né esclave à Cuba et il est mort dans l’oubli en France, à peine 50 ans plus tard, en 1917. Mais de son vivant, cet homme au destin hors du commun a connu la gloire : bien avant Joséphine Baker, il fut le premier artiste noir en France, célébré par le Tout Paris et adulé par la presse sous le nom de "Chocolat".


Oublié du monde du spectacle, il aura fallu presque 100 ans pour le remettre sur le devant de la scène. En 2016, l’artiste est de toutes les affiches : celle du film de Roschdy Zem, "Chocolat", interprété par Omar Sy, qui sort en salle le 3 février, de l’exposition "On l’appelait Chocolat" à la maison des Métallos à Paris et de la pièce de théâtre "Le Blues de Chocolat" de Gérard Noiriel, historien qui lui consacre également un ouvrage, "Chocolat, la véritable histoire d’un homme sans nom", publié en janvier chez Bayard.


La suite sur France Culture

Lire aussi :

Chocolat, La véritable histoire d’un homme sans nom

Chocolat clown nègre

vendredi 21 août 2015

Les Sénégalais ont rendu un dernier hommage à Doudou Ndiaye Rose

RFI 
20/08/2015


Le percussionniste Doudou Ndiaye Rose 
à Dakar le 14 octobre 2010. AFP/Seyllou Diallo 


Le musicien Doudou Ndiaye Rose a été enterré ce jeudi en milieu de journée à Dakar. Une figure sénégalaise et internationale respectée par toutes les générations. 

Entre les tombes blanches du cimetière musulman de Yoff, les hommes chantent doucement des prières autour de la sépulture de Doudou Ndiaye Rose. Plusieurs centaines de personnes, proches, amis ou simples admirateurs sont venus dire adieu au célèbre griot. 

vendredi 6 février 2015

La mosaïque linguistique africaine : carte des langues parlées sur le continent

Jeune Afrique 
05/02/2015 
Par Sarah El Makhzoumi et Trésor Kibangula

L'enseignement et la reconnaissance
officielle sont les clés de l'avenir
des langues africaines. AFP
L'enseignement et la reconnaissance officielle sont les clés de l'avenir des langues africaines. © AFP En décembre dernier, le Parlement sénégalais s’est doté d’un système de traduction simultanée permettant aux députés de s’exprimer dans leur langue natale. Une innovation qui répond à la volonté de promouvoir la diversité linguistique. De ce point de vue, tous les pays africains ne sont pas logés à la même enseigne. 

Le Sénégal est l’un des rares pays africains à investir pour le développement de ses langues vernaculaires (locales). Un effort pour la mise en valeur de la culture linguistique de ce pays longtemps occupé par la France, mais où près de 80% de la population parle et comprend le wolof - qui emprunte lui-même largement à l'anglais, à l’arabe et au français. Même si la langue de l'ex-colonisateur (parlé par un peu plus du quart de la population) y est toujours l'unique langue officielle, la reconnaissance du wolof est de plus en plus importante. 

La prédominance des langues coloniales sur le continent africain 
L'Afrique, compte un peu plus de 2 000 langues différentes. En dépit de cette mosaïque linguistique, la majorité des pays ont conservé pour langue officielle celle du colonisateur. Ce qui n'empêche pas d'autres langues, africaines celles-ci, d'être souvent reconnues officiellement par la Constitution d'un État même si elles ne sont presque jamais nommées. Souvent appelées "nationales", elles ne doivent - en théorie - pas être utilisées par l'administration et bénéficient la plupart du temps d'un statut juridique assez flou. 

samedi 6 septembre 2014

RDC: Serge Kakudji parraine une plate-forme de musique opéra à Kinshasa

Radio Okapi 
05/09/2014

Serge Kakudji,
chanteur lyrique évoluant en Europe.
Photo Facebook
Le chanteur lyrique et contre-ténor congolais, résidant en France, Serge Kakudji parraine une plate-forme internationale de musique opéra dénommée «Africa Opéra». Dans ce cadre, il a animé fin août dernier un master class sur la formation musicale, la technique vocale et l’interprétation. 

Cette activité a aussi été organisée en prélude du "Festival Congo chœur d’Afrique" prévu du 26 au 30 décembre à Kinshasa. 

Serge Kakudji s’entretient avec Jean-Marc Matwaki:

mercredi 4 juin 2014

Africains d'Inde : Les Sidis du Gujarat : L'intégration par le Soufisme

Africultures
02/06/2014
Hélène Ferrarini 

Jubina s'occupe du mausolée de Mai Mishra © Hélène Ferrarini -

Sidi : c'est le nom porté par les 70 000 Indiens d'origine africaine, une diaspora peu connue et très diverse. Une diversité ancrée dans le nom même de Sidi, dont l'origine étymologique est incertaine. Il pourrait venir de l'arabe sayyidi signifiant seigneur, ou de saydi prisonniers de guerre. Deux sens aux antipodes, à l'image des Sidis indiens dont les communautés actuelles sont le fruit de différents processus historiques, avec pour seul lien cette origine africaine commune. Dans cette série Africultures choisit de faire un focus sur quatre d'entre elles, les plus significatives en termes de nombre de personnes qui s'en réclament. Après les Sidis de Janjira, les cavaliers africains du Nizam d'Hyderabad, ceux de Karnataka, cette semaine direction le Gujarat.


jeudi 29 mai 2014

La poétesse américaine Maya Angelou est morte

Libération 
28/05/2014 
Elisabeth Franck-Dumas avec AFP

« Les hommes ont peur de la mort, comme les enfants du noir ; chez les enfants cette peur est due aux histoires qu’on leur raconte, chez les hommes aussi. » de Maya Angelou

La poétesse et militante Maya Angelou, après s'être exprimée à 
la Convention nationale démocrate de Boston, en juillet 2004. 
(Photo Brian Snyder. Reuters) 

DISPARITION - La militante des droits civiques, auteur notamment de «Je sais pourquoi chante l'oiseau en cage», avait 86 ans. 
La poétesse et mémoiriste américaine Maya Angelou, militante des droits civiques pour les Noirs, dont le premier volume de mémoires, Je sais pourquoi chante l’oiseau en cage (1969), encore étudié dans les écoles aux Etats-Unis, fut le premier ouvrage autobiographique écrit par une Afro-Américaine à rencontrer un succès planétaire, est morte le 28 mai à l’âge de 86 ans, a annoncé mercredi l’université de Wake Forest de Winston-Salem (Caroline du Nord, sud-est) où elle enseignait.


vendredi 16 mai 2014

Abderrahmane Sissako pose la question «Timbuktu»

RFI 
15/05/2014 
par Siegfried Forster « Timbuktu

Le Chagrin des Oiseaux », d'Abderrahmane Sissako. Le Pacte 

L’œuvre d’Abderrahmane Sissako ouvre ce jeudi 15 mai la compétition du Festival de Cannes. Avec Timbuktu, le réalisateur mauritanien nous plonge dans la terreur de l’occupation djihadiste de Tombouctou. Ainsi il pose la question universelle de nos valeurs dans le monde actuel. Sissako est un habitué du Festival de Cannes où il a présenté plusieurs films, mais c’est la première fois qu’il est en lice pour la Palme d’or. 


jeudi 6 février 2014

Mort du photographe nigérian J.D. Okhai Ojeikere

Le Temps 
04/02/2014 
AFP

Courte biographie
Tout en bas de l'article, après le texte rédigé en anglais, vous trouverez un portfolio de 52 photographies de l'artiste sur son thème principal "Hair style". A voir absolument !

Le photographe nigérian J.D. Okhai Ojeikere, rendu célèbre par ses clichés en noir et blanc de coiffures de femmes africaines, est décédé dimanche à Lagos à l’âge de 83 ans 

«Mon père a eu une maladie qui l’a emporté très rapidement, c’est un choc pour nous tous. Mes frères étaient avec lui, dimanche, à l’hôpital, et il est mort peu après leur départ», a déclaré Amaeize Ojeikere, un de ses cinq enfants. 

La dépouille du photographe doit être transportée dans son village natal d’Ovbiomu-Emai dans l’Etat d’Edo (sud), où il sera enterré, a précisé son fils. 

lundi 6 janvier 2014

RDC - Rachel Mwanza : à Kinshasa, "des enfants des rues se font violer par de vieux messieurs"

Jeune Afrique
06/01/2014 
Par Trésor Kibangula

Rachel Mwanza, Ours d'argent en 2012 à Berlin. © AFP 

Livrés à eux mêmes, les enfants des rues de Kinshasa sont souvent à la merci de nombreux criminels, notamment des violeurs. Une situation que veut aujourd'hui dénoncer Rachel Mwanza, la jeune actrice congolaise du film "Rebelle", qui a elle même été "abusée" à l'époque où elle tentait de survivre dans la capitale congolaise. 

vendredi 27 décembre 2013

Protection du patrimoine culturel et immatériel : la RDC veut appliquer la Convention de 2003 de l’UNESCO

Digital Congo 
26/12/2013

La mise sur pied d’une «Coalition pour la protection et la sauvegarde du patrimoine culturel et immatériel » (CPI) figure parmi les objectifs poursuivis au cours de l’atelier organisé les 17 et 18 décembre 2013 sur la promotion et la vulgarisation de la Convention de 2003 de l’UNESCO. 

Les « amis de la culture de Kinshasa » a organisé, les 17 et 18 décembre 2013 au centre Béthanie à Gombe, un séminaire sur la promotion et la vulgarisation de la Convention de 2003 de l’organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO). 

Ces assises poursuivaient plusieurs objectifs notamment ceux de permettre le partage des informations entre les professionnels et les amateurs de la culture ; échanger les points de vue et visions par rapport à la protection et à la sauvegarde du patrimoine culturel et immatériel (PCI) ; contribuer au développement culturel de la RDC ; donner des alertes et sensibiliser l’opinion sur des cas sensibles. 

vendredi 8 novembre 2013

Abd al Malik écrit "une fiction pour en contredire d'autres"

LeMonde.fr
07/100/2013

Après s'être fait connaître comme rappeur, compositeur puis essayiste, Abd al Malik est désormais romancier. Dans son dernier ouvrage L'Islam au secours de la République, il fait le choix d'un récit à mi-chemin entre la fable et le roman pour interroger le rejet de l'islam, "une fiction pour en contredire 
d'autres". Rencontre


mardi 30 juillet 2013

L’histoire de la Rdc de 1906 à 1990 contée dans une pièce de théâtre

Digital Congo
29/07/2013

Présentation samedi par un groupe théâtral et folklorique au centre culturel Boboto, d’une pièce théâtrale retraçant l’histoire politique de la Rdc de l’année 1906 qui rappelle le début de l’Etat indépendant du Congo (Eic)à celle de 1990 relative à l’avènement de la démocratisation du pays. 

Les groupes théâtral et folklorique de l’Association « Mémoire et dignité du Congo (MDC) ont présenté samedi, au Centre culturel « Boboto », dans la commune de la Gombe, une pièce de théâtre sur l’histoire politique de la RDC de l’année 1906 marquant le début de l’Etat indépendant du Congo « EIC » à celle de 1990 de l’avènement de la démocratisation du pays. 

La secrétaire générale de cette association, Mme Emilie Efenda qui a circonscrit le cadre de la rencontre, a fait savoir que cette activité culturelle vise à amener les différentes générations de ce pays à s’imprégner de leur histoire. 

Elle a révélé l’engagement de son association à faire prendre conscience aux Congolais de leur devoir de mémoire afin de forger en eux l’esprit du patriotisme lié par un passé commun. Mme Emilie Efenda s’est dite déterminée à faire passer le message de l’histoire de la RDC, à travers des pièces de théâtre didactique afin d’atteindre un plus grand nombre des Congolais pour souder l’unité nationale. 

L’association qui a organisé une pièce analogue en 2012, rappelant l’histoire de ce pays de 1885 à 1990, prévoit de présenter l’année prochaine, une autre pièce relatant cette histoire de 1990 à nos jours, indique-t-on. 
ACP

vendredi 5 juillet 2013

L'édition célèbre le centenaire du poète rebelle

RFI 
25/06/2013 
Par Tirthankar Chanda 

Aimé Césaire en 2006, avec Kora Véron,
l'auteur des Ecrits de Césaire,
une Biobibliographie commentée
DR
 
A l’occasion du Centenaire de la naissance d’Aimé Césaire, le grand poète martiniquais disparu il y a cinq ans, de nombreuses manifestations ont lieu tout au long de cette année. Colloques et publications célèbrent l’œuvre du poète qui jouit d’une reconnaissance universelle. 

2013 a été décrété l’année Césaire. Aimé Césaire qui s’est éteint en 2008, aurait eu cent ans cette année. L’homme qui chanta la négritude est né le 26 juin 1913, à Basse-Pointe, au nord de la Martinique. Issu d’une famille de classe moyenne antillaise (son père était comptable et sa mère couturière), Césaire a grandi dans son île natale caribéenne avant de venir poursuivre ses études à Paris où il va se nourrir de la pensée humaniste et s’inventer poète et pourfendeur de l’ordre colonial. Ses écrits - poésie, théâtre et essais - s’inspirent de la modernité d’un Baudelaire et d’un Rimbaud, et chantent les heurs et malheurs de l’homme noir, aliéné par de longs siècles de servitude.


Dieudonné Niangouna, premier artiste africain associé au Festival d’Avignon

RFI 
05/07/2013 
Par Muriel Maalouf

Le metteur en scène congolais Dieudonné 

Niangouna sera entre le 5 et 26 juillet 

le premier artiste africain associé au 
Festival d’Avignon. 
AFP / ANNE-CHRISTINE POUJOULAT
Le Festival d'Avignon s'ouvre ce vendredi 5 juillet au soir avec un grand feu d'artifice. Il fait aussi la part belle à l'Afrique. Dieudonné Niangouna, auteur, acteur et metteur en scène congolais à la langue foisonnante est le premier artiste africain associé au prestigieux festival de théâtre. Niangouna créera sa pièce épique « Shéda » ce dimanche 7 juillet dans l'un des plus beaux lieux d'Avignon, la carrière de Boulbon. Il sera aussi entouré tout le long du festival de toute une jeune génération d'artistes venus autant de l'Afrique francophone qu'anglophone. Entretien. 

Comment voyez-vous votre rôle d’artiste associé au Festival d’Avignon ? 
C’est une belle opportunité pour faire un certain nombre de spectacles que j’avais envie de faire, notamment créer Shéda, et aussi chercher à faire entendre des textes d’autres amis auteurs d’Afrique que j’aime bien et dont, évidemment, j’estime le talent et qui méritent aussi à cet endroit d’être entendus.


samedi 15 juin 2013

La tour Eiffel s'illumine aux couleurs de l'Afrique du Sud

RFI 
28/05/2013

L’un des évènements estampillés « Saison de l’Afrique du Sud » : 
« Swan Lake » de Dada Masilo, programmé au Théâtre du Rond Point, à Paris, 
du 10 septembre au 6 octobre prochain. 

Le plus célèbre monument de Paris scintille à partir de ce mardi soir 28 mai aux couleurs du drapeau sud-africain : le jaune, le vert, le bleu, le rouge et le noir. L'évènement se poursuivra tous les soirs de cette semaine. Il s'accompagnera d'un spectacle de danse gratuit présenté sur le parvis du Trocadéro. Et c'est ainsi qu'est lancée la Saison sud-africaine en France qui se déroulera toute l'année.