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jeudi 6 octobre 2011

REVUE DE LA PRESSE CONGOLAISE DE CE JEUDI 06 OCTOBRE 2011

Digital Congo
06/10/2011

Les tractations autour de la désignation du candidat commun de l’Opposition demeurent le sujet dominant d’actualité dans la presse congolaise.

« Tshisekedi- Kengo- Kamerhe : des intérêts divergents ».
C’est le titre que propose LE POTENTIEL dans sa livraison de ce jeudi. Le quotidien de l’avenue Bas – Congo rapporte que les négociations se poursuivent autour de la désignation d’un candidat commun au sein de l’Opposition. Elles seraient même très avancées.
Preuve : ces rencontres de Bruxelles, de La Haye et de Washington.
Mais, souligne LE POTENTIEL, l’énigme demeure la distribution des cartes dans l’hypothèse d’un consensus. En plus de leurs divergences sur le plan d’idéologie politique. En effet, tout pourrait se compliquer avec les ambitions de l’un ou l’autre candidat. Dans toutes ces déclarations, Tshisekedi est suffisamment clair. Seule la présidence de la République l’intéresse pour couronner ainsi ses 30 ans de parcours politique, d’éternel opposant. Il l’a redit et souligné dans l’interview qu’il a accordé dernièrement à Colette Braeckman. Sur le plan idéologique, le tiercé de l’Opposition à la présidentielle ne partage pas les mêmes convictions. Tshisekedi est un socio-démocrate, Kengo demeure un libéral tandis que Kamerhe se présente comme un élève du Brésilien Lula, socialisant tourné vers la recherche appliquée. L’Opposition, estime LE POTENTIEL, n’est pas encore au bout de ses cogitations.

LE PALMARES décline les exigences de la base de l’UNC, le parti politique de Kamerhe avant d’accepter que leur leader désiste en faveur de Tshisekedi. Les militants de l’UNC exigent que leur leader reçoive des garanties sûres de la part du Sphinx de Limete. Ils réclament concrètement la plénitude du pouvoir à la tête du gouvernement pour Kamerhe. Et question de mettre leur leader sous pression, ils formulent quelques réserves. Tshisekedi et Kamerhe doivent se préparer à déjouer ces manœuvres, suggère LE PALMARES.

Dans le même registre, LA PROSPERITE signale qu’à la veille du face-à-face Tshisekedi- Kamerhe, l’UNC monte les enchères et conditionne le désistement de son candidat en échange de la Primature. Même s’il n’est pas la voix autorisée, M. Guillaume Bonga de l’UNC qui intervenait mercredi sur les antennes de RFI, a déclaré que si les discussions de Washington aboutissaient au désistement de Kamerhe au profit du lider maximo, il va falloir que le président de l’UNC en ressorte avec la ferme assurance d’être le vrai patron de l’Exécutif national, si Tshisekedi triomphe. « Qu’il soit le chef de l’Exécutif avec un pouvoir réel, un véritable chef du gouvernement ».

« Le ciel ne tombera pas si l’Opposition remporte les élections de novembre 2011 », a déclaré Lambert Mende, ministre de la Communication et des médias lors d’un point de presse. Le journal L’AVENIR, qui rapporte ces propos, précise que le porte-parole du gouvernement répondait à une question d’un journaliste sur la leçon à tirer des élections zambiennes. Loin de vouloir mystifier les choses, Lambert Mende, pense que la victoire de l’Opposition n’est pas quelque chose d’extraordinaire. Si lui-même était hier dans l’Opposition et aujourd’hui au pouvoir, et donc, il n’y a rien d’impossible que les choses changent. Cependant, si elles changent réellement, Lambert Mende relativise et estime qu’il faudra accepter le changement.

Pour LE PHARE, « La CENI joue avec les nerfs des candidats ». Alors que le feuilleton de la non transparence du fichier électoral n’est pas encore vidé entre la CENI et l’Opposition, un nouveau contentieux s’est invité sur la table des deux protagonistes : la non-conformité de certaines listes des candidats des partis politiques aux dispositions légales. La Loi électorale, rappelle le confrère, exige en effet que le nombre de candidats à aligner par un parti politique dans une circonscription électorale donnée corresponde avec le nombre de sièges à pourvoir. Et LE PHARE de se demander, pourquoi la CENI n’a-t-elle pas pris ses responsabilités pour invalider non seulement les listes du PPRD mais également celles d’autres partis et regroupements politiques jugées non-conformes aux prescrits de la loi.

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