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vendredi 13 juillet 2012

La venue de François Hollande au sommet de la Francophonie en RDC divise les dirigeants africains

RFI 
13/07/2012

L'Assemblée parlementaire de la Francophonie, instance qui regroupe 
font-size: x-small;">près de 34 pays francophones, s'est achevée jeudi 12 juillet à Bruxelles. 
AFP PHOTO/GEORGES GOBET 

L'Assemblée parlementaire de la Francophonie, instance qui regroupe près de 34 pays francophones, s'est achevée jeudi 12 juillet à Bruxelles. Dans les couloirs, il était question de la participation ou non du chef de l'Etat français au sommet de la Francophonie de Kinshasa en octobre prochain. Plusieurs associations ont demandé à François Hollande de ne pas se rendre en RDC pour ne pas cautionner le régime de Joseph Kabila. 


Avec notre correspondante à Bruxelles, Joana Hostein 

Même si la participation du président français au sommet de la Francophonie semble de plus en plus acquise, le sujet reste quelque peu délicat pour les parlementaires africains. Certains ont d’ailleurs préféré ne pas s’exprimer. 

Pour les autres, François Hollande doit se rendre à Kinshasa pour confirmer l’engagement de Paris en faveur de la francophonie. C’est l’avis du président de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie, le Burkinabè Roch Marc Christian Kaboré : « Il est bon, quand même, que tous les Etats soient là pour que nous puissions montrer notre engagement vis-à-vis de la francophonie et continuer véritablement, dans un contexte de crise générale au plan économique, à défendre notre outil commun ». 

Pour le président de l’Assemblée nationale gabonaise, Guy Nzouba-Ndama, il faut que François Hollande privilégie le dialogue avec les autorités congolaises : « Monsieur Hollande aura en face de lui le représentant d’un Etat souverain. Donc, à lui de trouver les mécanismes qui conviennent pour parler aux autorités congolaises ! ». 

Ne plus y aller serait même un affront, affirme pour sa part Hama Amadou, le président de l’Assemblée nationale au Niger : « Ne pas y aller et continuer à considérer qu’on est dans une sorte de Françafrique ne me paraît pas être conforme à l’esprit de la nouvelle politique française qu’on nous a fait comprendre ».

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