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samedi 29 septembre 2012

L’éducation nutritionnelle et les aliments traditionnels, clés pour la lutte contre la faim et la malnutrition

Site de la FAO
27/09/2012

La petite agriculture et la production locale ont un rôle important à jouer

La promotion des aliments traditionnels et une meilleure éducation alimentaire et nutritionnelle peuvent améliorer l'alimentation et contribuer à atténuer l'impact des prix mondiaux élevés des denrées alimentaires, a déclaré le Directeur général de la FAO, M. José Graziano da Silva aujourd'hui au cours d'une réunion de haut niveau sur la nutrition qui s'est tenue en marge de l'Assemblée générale de l'ONU.

L'événement, convoqué par le Secrétaire général des Nations Unies, M. Ban Ki-Moon, a rassemblé des dirigeants des mondes de la politique, des affaires, du milieu scientifique et de la société civile à New York pour passer en revue les progrès accomplis dans le cadre du Mouvement SUN (Scaling Up Nutrition Movement) au cours de l'année écoulée et examiner les engagements pris pour accroître les investissements dans la nutrition.



"La récupération des aliments traditionnels, tels que le manioc, le quinoa, les haricots, et d'autres aliments est une bonne stratégiepour faire face à l'envolée et à la volatilité des prix alimentaires internationaux", a déclaré le Directeur général. "Elle constitue une très importante opportunité de promouvoir la petite agriculture et la production locale".

A l'heure actuelle, seules trois principales cultures de base- le maïs, le blé et le riz- constituent 60 pour cent des apports énergétiques d'origine végétale à l'échelle mondiale. Avec la hausse des revenus dans les pays en développement, les populations se tournent de plus en plus vers des régimes alimentaires riches en viande, en produits laitiers, en matières grasses et en sucre, au détriment des aliments traditionnels.

"La promotion de l'éducation alimentaire et nutritionnelle est un enjeu dans les pays en développement comme dans les pays avancés", a précisé M. Graziano da Silva. "Si quelque 900 millions d'êtres humains sont sous-alimentés dans le monde, 2 milliards sont victimes d'une forme plus ou moins aiguë de malnutrition".

Le Directeur général a réaffirmé l'engagement de la FAO à collaborer avec ses partenaires des Nations Unies dans la lutte contre la faim et la malnutrition.

"Chacune de nos organisations apporte une contribution différente à ce problème. Et lorsque nous unissons nos forces, les résultats sont bien plus importants que la somme de leurs parties".

La Conférence internationale sur la nutrition21 ans après (ICN+21), qui sera organisée par la FAO et l'OMS en novembre 2013, permettra de mobiliser volonté politique etressources nécessaires à l'amélioration de la nutrition et à la promotion d'un cadre nutritionnel multi-sectoriel à l'échelle mondiale, a ajouté M. Graziano da Silva

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