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mercredi 17 octobre 2012

Encore quelques bons commentaires sur le Sommet de la Francophonie 2012 qui nous sont donnés par Madame Colette Braeckman, Journaliste au Journal "Le Soir" et grande spécialiste de la RDC.

14 octobre 2012
Francophonie: occasion manquée pour DI Rupo 
Alors qu’à l’Assemblée générale des Nations Unies, Elio Di Rupo a été écouté poliment par moins de dix personnes, à Kinshasa, les chefs d’Etat et de gouvernement qui se sont succédé à la tribune se sont adressés aux représentants de 70 pays, à des délégations venues des cinq continents, réunies par l’usage de la langue française mais aussi par l’attachement à des valeurs communes de démocratie, de droits de l’homme, de respect des identités culturelles de chacun. Des valeurs qui forment le socle de cette Belgique fédérale que le Premier Ministre incarne. Mais il n’était pas là pour les rappeler. 
A Kinshasa, dans ce Congo qui émerge lentement des années de guerre et de désordre, où la population acquiert peu à peu une réelle culture démocratique (en dépit des dérapages, des durcissements et des écueils), la Belgique demeure une référence, elle garde un capital de sympathie et de respect dont peu d’anciennes puissances coloniales peuvent se prévaloir. Mais le Premier Ministre belge n’était pas aux côtés des Congolais lors de cette plus grande rencontre jamais tenue sur le sol de leur pays, une rencontre qui marque le retour de leur pays sur la scène internationale. 


Le sommets de la francophonie, jadis voués aux questions institutionnelles, aux ronronnements diplomatiques, deviennent, de plus en plus, des lieux d’échange où l’on discute de gouvernance mondiale, où les partenaires abordent avec franchise des crises majeures et suggèrent des pistes de solution. Le rôle du français dans le monde, langue de la diversité culturelle, langue d’une Afrique émergente, a été réaffirmé. Dans le passé, aucun Premier Ministre belge –flamand-n’avait manqué le rendez vous. Mais le premier chef de gouvernement francophone depuis Edmond Leburton (à l’époque la francophonie n’existait pas encore…) avait renoncé à faire le voyage. 
Certes, il y a Mons. Il y a Anvers. Mais l’absence de Di Rupo à Kinshasa, en dépit de la présence positive de Reynders et de Demotte pour la fédération Wallonie-Bruxelles représente, au minimum, une occasion manquée.

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