************ QUI AURAIT SOUVENIR D'UN MAGASIN MAMPEZA A COQUILHATVILLE ? IL ETAIT TENU PAR UNE FAMILLE PORTUGAISE ! PRENDRE CONTACT AVEC LA WEBMASTER. EMAIL : tvcn156753@tvcablenet.be MERCI. ************ QUI AURAIT CONNU DANS LA PROVINCE DE L'EQUATEUR , FIN DES ANNEES 1940 ET JUSQUE 1960, DENIS GOUVRIER, AGRONOME. IL AURAIT TRAVAILLE PRINCIPALEMENT A MONKOTO, BOENDE ET PEUT-ETRE DANS LA REGION DE COQUILHATVILLE. PRENDRE CONTACT AVEC LA WEBMASTER. EMAIL : tvcn156753@tvcablenet.be. MERCI. ************

lundi 8 octobre 2012

La libre circulation dans l’espace francophone bientôt facilitée par un visa au sein de la communauté d’Etats qui le constituent

Digital Congo
06/10/2012 

Le projet d’établissement d’un visa de libre circulation dans les Etats membres de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) est loin de désintéresser les ténors de ce regroupement politico-culturel qui envisagent de plus en plus sa matérialisation. 

Le secrétaire général de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), Abdou Diouf, a estimé le mercredi 3 octobre 2012 à Paris que le «visa francophone», destiné à faciliter la libre circulation dans les pays membres de l'organisation, était un «beau projet» qu’il ne faut pas abandonner en dépit de nombreux obstacles. 


«La libre circulation est un problème très ancien. Il s’est posé autant pour les artistes, les chercheurs, les étudiants que pour les hommes d’affaires ou les techniciens», a-t-il reconnu lors d’un entretien accordé à la PANA à la veille du XIVème sommet de la Francophonie prévu du 12 au 14 octobre à Kinshasa, la capitale de la République démocratique du Congo. 

« Chaque Etat a des objectifs à la fois démographiques, politiques et économiques différents de ceux de ses voisins ou des pays éloignés », a souligné l’ancien chef de l’Etat sénégalais. Il a exhorté les pays membres de la Francophonie à ne pas abandonner leur rêve d’un « visa francophone », tout en rappelant que l’Europe a mis du temps pour parvenir à l’espace Schengen. 

« Le visa francophone est un beau projet, qu’il ne faut pas abandonner, mais la réalité lui imposera sa loi encore longtemps », a ajouté M. Diouf. 

Des hommes d’affaires, des artistes et des intellectuels entendent interpeller les chefs d’Etat et de gouvernement qui seront présents au sommet de Kinshasa sur les entraves à la libre circulation dans l’espace francophone. 
Plusieurs invités au Forum mondial de la langue français, organisé en juillet dernier à Québec (Canada), n’avaient pas pu venir à la rencontre, faute de visa, en dépit des lettres d'invitation dûment signées par les organisateurs. 
Pana/Le Potentiel

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire