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mercredi 19 décembre 2012

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19/12/12
Source: belga.be 

© belga. 
La rébellion congolaise du M23 a réclamé mercredi la signature d'un cessez-le-feu avec les autorités de Kinshasa, accusant le gouvernement de faire traîner les négociations à Kampala pour renforcer ses positions dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC).




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"Notre premier objectif est de signer un accord de cessez-le-feu, mais le gouvernement refuse de signer un cessez-le-feu", a déclaré le chef politique du Mouvement du 23 Mars (M23), Jean-Marie Runiga, par téléphone à l'AFP.

"Si on ne signe pas d'abord un accord de cessez-le-feu, il est difficile de continuer les négociations", a-t-il ajouté.

Les négociations entre le M23, groupe de mutins qui combat les Forces armées de la RDC (FARDC) depuis avril dans la riche province minière du Nord-Kivu (est), et Kinshasa ont débuté il y a dix jours à Kampala, la capitale ougandaise.

Les pourparlers avaient été promis aux rebelles en échange de leur retrait du chef-lieu du Nord-Kivu, Goma, prise le 20 novembre.


Mais depuis leur ouverture, les négociations piétinent, les deux parties n'ayant toujours pas vraiment abordé le fond de leurs divergences.

Le M23 est essentiellement composé d'ex-rebelles tutsis congolais qui avaient été intégrés à l'armée gouvernementale après un accord de paix signé avec Kinshasa le 23 mars 2009. Ils se sont mutinés car ils estiment que cet accord n'a jamais été pleinement respecté.

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"Le gouvernement ne cherche vraiment pas sérieusement à trouver une solution par la négociation, mais il essaie de gagner du temps pour renforcer ses positions sur le terrain ainsi que ses alliances avec des groupes comme les FDLR", a encore accusé M. Runiga.

 Les FDLR sont des rebelles hutus rwandais présents dans l'est de la RDC, où ils sont accusés d'exactions contre les civils. Le Rwanda voisin, accusé par Kinshasa et l'ONU de soutenir le M23, en recherche certains pour leur rôle présumé dans le génocide de 1994 contre les Tutsis, qui, selon l'ONU, a fait 800.000 morts.

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