15/05/2013
Un groupe d’habitantes de Bunagana ramène du bois de chauffe. REUTERS/James Akena Par RFI |
Une conférence sur la forêt du bassin du Congo débute ce mercredi 15 mai à Kinshasa, à l’initiative de la Banque Mondiale qui vient de produire un rapport et des recommandations pour préserver la forêt congolaise. Ce rapport dit qu’il est possible de développer l’agriculture en préservant la forêt.
La forêt congolaise, la deuxième plus grande du monde, est moins dégradée que la première, l’Amazonie et il est encore temps de bien la préserver, à condition de prendre des mesures immédiates.
C’est ce qui ressort d’un rapport de la Banque mondiale [consultable ci-dessous, en fin d'article, ndlr] qui préconise, entre autres, de développer l’agriculture en dehors de la forêt. Il serait possible de doubler les superficies cultivées sans toucher un seul mètre carré de forêt, uniquement sur les terres non boisées et inexploitées.
L’utilisation massive du charbon de bois, le principal combustible même dans les grandes villes, pourrait ne pas poser de problème, à condition qu’il soit produit dans un espace contrôlé et de manière raisonnée.
Cette conférence va tenter de convaincre les autorités de tout faire pour préserver la forêt. Il y a un bon exemple, à proximité de Kinshasa : le plateau du Batéké, où l’on produit à la fois du charbon de bois, du manioc, et où l’on fait pousser des arbres qui capturent le gaz carbonique.
La forêt congolaise, la deuxième plus grande du monde, est moins dégradée que la première, l’Amazonie et il est encore temps de bien la préserver, à condition de prendre des mesures immédiates.
C’est ce qui ressort d’un rapport de la Banque mondiale [consultable ci-dessous, en fin d'article, ndlr] qui préconise, entre autres, de développer l’agriculture en dehors de la forêt. Il serait possible de doubler les superficies cultivées sans toucher un seul mètre carré de forêt, uniquement sur les terres non boisées et inexploitées.
L’utilisation massive du charbon de bois, le principal combustible même dans les grandes villes, pourrait ne pas poser de problème, à condition qu’il soit produit dans un espace contrôlé et de manière raisonnée.
Cette conférence va tenter de convaincre les autorités de tout faire pour préserver la forêt. Il y a un bon exemple, à proximité de Kinshasa : le plateau du Batéké, où l’on produit à la fois du charbon de bois, du manioc, et où l’on fait pousser des arbres qui capturent le gaz carbonique.
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