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mardi 13 mai 2014

Bousculade à Kinshasa: le gouvernement accuse les supporters

RFI 
12/5/2014

Le stade Tata Raphaël de Kinshasa,
 où s'est déroulé le drame.
capture d'écran youtube
Au lendemain de la terrible bousculade qui a fait quinze morts à l’issue d’un match de foot qui se tenait au stade Tata Raphaël de Kinshasa, le gouvernement a accusé les supporters d'avoir commencé à jeter des pierres provoquant ensuite un mouvement de panique. Plusieurs facteurs conjugués ont provoqué la bousculade meurtrière.Trois personnes blessées étaient toujours hospitalisés lundi. 

Un stade plein à craquer, des supporters agressifs, et des issues de secours manquantes. Voilà, selon les autorités, le cocktail qui a transformé un match de foot en nouveau drame. 

Entre 60 et 65 000 personnes étaient venues assister à la rencontre entre deux équipes particulièrement populaires : l’ASV, club de Kinshasa, et le Tout-Puissant Mazembe, plusieurs fois champion d’Afrique. Seulement, le stade n'a qu'une capacité d'accueil de 54 000 spectateurs.

Une fois le match terminé, des supporters de Kinhsasa, déçus, auraient commencé à jeter des pierres sur les joueurs, mais aussi sur la Croix-Rouge et les arbitres, affirme le porte-parole du gouvernement Lambert Mendé. 

Pour stopper la violence, la police aurait alors tiré des gaz lacrymogènes, puis des balles en l’air. Résultat : dans un mouvement de panique, tout le monde a voulu sortir en même temps. 

La panique est alors aggravée par le manque de sorties. Une seule porte était ouverte, a confirmé le gouvernement. La pression de la foule a été telle qu’un pan de mur s’est écroulé. Et une quinzaine de personnes piétinées. 

Au final, c’est bien à une responsabilité multiple que devrait aboutir l’enquête ouverte dimanche. Celles des clubs de supporters mais aussi celle des organisateurs de n’avoir pas prévu plus de sorties. Il y a quinze jours à peine, un autre drame du même genre avait eu lieu à Kikwit, où 21 personnes avaient perdu la vie dans un mouvement de panique à la fin d’un concert. Là aussi, il n’y avait qu’une porte de sortie

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