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vendredi 23 mai 2014

RDC: 6 ONG exigent la libération de l’opposant Diomi Ndongala

Radio Okapi 
22/05/2014

Eugene Diomi Ndongala assisté de
ses avocats le 16/09/2013,
lors d’un procès à la cour suprême de
 justice à Kinshasa.
Radio Okapi/Ph. John Bompengo
Six ONG de défense de droits de l’homme exigent la libération de l’opposant Eugène Diomi Ndongala, condamné en mars dernier à 10 ans de prison pour viol sur mineures. Ces associations estiment que le président de la Démocratie chrétienne a été condamné à cause de ces opinions politiques. Pour lui manifester leur soutien à l’opposant, elles ont officiellement lancé jeudi 22 mai à Kinshasa le « Comité de soutien d’Eugène Diomi Ndongala, prisonnier politique ». 

Ces ONG sont : 
  • L’Association congolaise d’accès à la justice 
  • La Fondation Bill Clinton pour la paix 
  • La Ligue des électeurs 
  • La Nouvelle société civile 
  • La Voix de sans voix 
  • Anges du Ciel 

Les six associations de défense des droits de l’homme soutiennent que Diomi Ndongala a été condamné à cause de ses opinions politiques.

« Nous, en tant que défenseurs des droits de l’homme, nous devons nous battre contre ce genre d’emprisonnement qui n’honore pas la démocratie », indique Georges Kapiamba, le président de l’Association congolaise d’accès à la justice. 

Il affirme que pendant le procès, Domi Ndongala n’a pas pu se défendre correctement. 

« Tout a été fait de telle sorte qu’il ne soit pas en mesure de se défendre pour démontrer que ces faits n’étaient pas fondés et que c’était un montage utilisé [contre lui] pour justifier son emprisonnement actuel », soutient Georges Kapiamba. 

Pour le président de l’Association congolaise d’accès à la justice, le comité de soutien mis en place veut défendre les principes de la démocratie « qui voudraient que quelqu’un ne soit pas arrêté et emprisonné à cause de l’exercice de sa liberté d’expression ». 

La Cour suprême de justice a condamné le 26 mars dernier Diomi Ndongala à dix ans de prison ferme pour viol sur mineure. Des faits qui se seraient produits en juin 2012 à Kinshasa. 

Son parti, la Démocratie chrétienne, a toujours considéré cette affaire comme un procès politique intenté contre leur leader à cause de son soutien à l’opposant Etienne Tshisekedi qui a contesté en 2011 la réélection du président Kabila.

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