27/06/2014
La lettre de Muyej Mangez a soulevé des montagnes. Premier à sortir du bois, l’Ucl Henri-Thomas Lokondo Yoka, élu de Mbandaka.
Muyej Mangez a réagi hier sur les antennes de la Radio Okapi. Il est étonné par les propos de Lokondo dans la mesure où sa lettre est une suite d’une réunion informelle tenue au Palais du peuple par le Président de l’Assemblée nationale avec les députés ressortissants de l’Equateur. C’est cela qui a été décidé. Concernant l’intérim au vice-gouverneur de l’Equateur, c’est comme ça que ça se passe dans toutes les provinces quand un gouverneur est empêché.
En analysant les propos du député Henri-Thomas Lokondo Yoka et du ministre de l’Intérieur Richard Muyej Mangez, on se rend compte qu’ils se recoupent et donc ne sont pas du tout en contradiction. Muyej reconnaît que tout est parti de la réunion informelle présidée par Aubin Minaku où il a été décidé de mettre fin à la honte qui a élu domicile au gouvernorat de l’Equateur entre le vice-gouverneur et le ministre provincial de la justice incapables d’assurer l’intérim leur confié à deux par Koyagialo.
Le levée de la suspension de l’Assemblée provinciale
A l’Equateur, l’opinion attend de pied ferme la levée de la mesure de suspension des activités de l’Assemblée provinciale par le gouvernement central qui tarde à venir. Il avait été dit que la décision serait prise au cours d’un Conseil des ministres. Pourtant, plusieurs conseils des ministres ont eu lieu sans la moindre levée de la mesure que les Equatoriens continuent à taxer d’illégale, avec raison.
Célestin Lutete/MMC/FAS
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