************ QUI AURAIT SOUVENIR D'UN MAGASIN MAMPEZA A COQUILHATVILLE ? IL ETAIT TENU PAR UNE FAMILLE PORTUGAISE ! PRENDRE CONTACT AVEC LA WEBMASTER. EMAIL : tvcn156753@tvcablenet.be MERCI. ************ QUI AURAIT CONNU DANS LA PROVINCE DE L'EQUATEUR , FIN DES ANNEES 1940 ET JUSQUE 1960, DENIS GOUVRIER, AGRONOME. IL AURAIT TRAVAILLE PRINCIPALEMENT A MONKOTO, BOENDE ET PEUT-ETRE DANS LA REGION DE COQUILHATVILLE. PRENDRE CONTACT AVEC LA WEBMASTER. EMAIL : tvcn156753@tvcablenet.be. MERCI. ************

vendredi 27 juin 2014

Contrairement aux élucubrations de Lokondo : le ministre de l’Intérieur juge légal l’intérim accordé à Impeto à l’Equateur

Digital Congo
27/06/2014 

La lettre de Muyej Mangez a soulevé des montagnes. Premier à sortir du bois, l’Ucl Henri-Thomas Lokondo Yoka, élu de Mbandaka. 

Muyej Mangez a réagi hier sur les antennes de la Radio Okapi. Il est étonné par les propos de Lokondo dans la mesure où sa lettre est une suite d’une réunion informelle tenue au Palais du peuple par le Président de l’Assemblée nationale avec les députés ressortissants de l’Equateur. C’est cela qui a été décidé. Concernant l’intérim au vice-gouverneur de l’Equateur, c’est comme ça que ça se passe dans toutes les provinces quand un gouverneur est empêché. 

La difficulté avec l’Equateur est qu’il y avait une structure mise en place pour l’intérim, mais qui a bloqué le fonctionnement de la province car ceux qui la composaient ne parvenaient pas à s’entendre. Pour le reste, les instructions sont données au vice-gouverneur.

En analysant les propos du député Henri-Thomas Lokondo Yoka et du ministre de l’Intérieur Richard Muyej Mangez, on se rend compte qu’ils se recoupent et donc ne sont pas du tout en contradiction. Muyej reconnaît que tout est parti de la réunion informelle présidée par Aubin Minaku où il a été décidé de mettre fin à la honte qui a élu domicile au gouvernorat de l’Equateur entre le vice-gouverneur et le ministre provincial de la justice incapables d’assurer l’intérim leur confié à deux par Koyagialo. 

Le levée de la suspension de l’Assemblée provinciale
 
A l’Equateur, l’opinion attend de pied ferme la levée de la mesure de suspension des activités de l’Assemblée provinciale par le gouvernement central qui tarde à venir. Il avait été dit que la décision serait prise au cours d’un Conseil des ministres. Pourtant, plusieurs conseils des ministres ont eu lieu sans la moindre levée de la mesure que les Equatoriens continuent à taxer d’illégale, avec raison. 
Célestin Lutete/MMC/FAS

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire