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mercredi 4 juin 2014

Kinshasa et Brazzaville signent une convention sur la circulation et l’établissement des personnes

Radio Okapi
04/06/2014

De gauche à droite; échange des dossiers
entre le Ministre congolais de l’Intérieur,
Zéphirin Mbulu et son homologue de la RDC,
Richard Muyej, lors de la clôture
des travaux de la commission mixte
entre Kinshasa et Brazzaville le
3/03/2014 à Kinshasa. Radio
Okapi/Ph. John Bompengo
Les travaux de la commission mixte défense et sécurité entre la RDC et le Congo-Brazzaville se sont achevés mardi 3 juin à Kinshasa. Principale retombée de ces assises : la signature d’une convention sur la circulation et l’établissement des personnes et des biens entre les deux pays. 

Lire aussi: Kinshasa-Brazzaville : ouverture des travaux de la commission mixte sur les expulsions 

Les experts ont déclaré à l’occasion que les huit textes réglementaires existants sur la circulation et l’établissement des personnes entre les deux rives du fleuve Congo sont caducs car ils n’avaient jamais été ratifiés. La convention signée mardi à Kinshasa devra être ratifié « urgemment » par les parlements des deux États. 

Les deux pays ont aussi convenu de mettre sur pied une équipe mixte RDC-République du Congo. Elle examinera au cas par cas les allégations relatives aux violations des droits humains commises lors des expulsions des Congolais de la RDC de Brazzaville dans le cadre de l’opération « Mbata ya Bakolo », [gifle des aînés, NDLR].

Autre avancée obtenue : les représentations diplomatiques et consulaires concernées devraient désormais être informées au avant toute opération d’expulsion massive, ont préconisé les deux parties en discussion. 

Les deux parties sont tombées d’accord sur les chiffres des personnes concernées par ces opérations d’expulsions lancées en avril dernier, soit cent trente six milles personnes dont cinquante-sept mille enfants. 

En revanche, rien n’a clairement été dit sur la nécessité de disposer d’un passeport avec visa ou d’un simple laissez-passer comme avant pour circuler entre les deux Congo. Les représentants de deux pays ont cependant reconnu le droit de chacun d’appliquer sa règlementation nationale en matière d’entrée et de séjour des étrangers.

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