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mercredi 2 décembre 2015

COP21: les doléances africaines en matière de climat

RFI 
01/12/2015

Macky Sall, le chef d'Etat sénégalais, Alpha Condé, le président guinéen, 
Mohamadou Issoufou, le président du Niger 
lors du mini-sommet France-Afrique, le 1er décembre 2015. 
© RFI/Pierre René-Worms 

Du Cameroun au Zimbabwe, les chefs d’Etat africains ont appelé tous les participants à saisir l’opportunité offerte par la Conférence de Paris (COP21), avant qu’il ne soit trop tard. L’Afrique a en effet lancé un appel pressant et sans détour aux pays industrialisés, priés de répondre à toutes les difficultés qui se posent. 

Parmi ceux qui ont lancé un appel aux grands pollueurs, il y a Ismail Omar Guelleh, président de Djibouti. Ce dernier a appelé les pays développés à montrer l’exemple en réduisant leurs émissions. « Il est acquis que si rien n'est fait, dans moins d'un demi-siècle, en Afrique de l'Est et au Moyen-Orient, il sera impossible pour l'être humain de survivre du fait des températures extrêmes [...] Désertification, appauvrissement des sols, assèchement des puits, inondations [...] sont d'ores et déjà des aléas récurrents contre lesquels nos populations se battent à la hauteur de leurs moyens, souvent dérisoires », a alerté le chef d'Etat djiboutien lundi lors de la cérémonie d'ouverture de la COP21. 

L’Afrique, premier continent victime du réchauffement climatique, est confrontée à des problèmes d’adaptation et de transfert de technologies. Ali Bongo a donc demandé aux pays émetteurs de transférer aussi leurs savoir-faire dans le domaine de l’agriculture, l'agroforesterie et de l’énergie propre, et ce à des coûts soutenables. « Si nous n’agissons pas, le jugement de l’histoire sera sévère » a insisté le président gabonais.

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