17/06/2016
Par Laurence Caramel
Deux braconniers tanzaniens devant le cadavre d’une girafe.
Crédits : Big Life Foundation
Ils n’ont pas la notoriété des icônes de la savane et ne figurent pas sur les listes internationales des espèces sauvages menacées d’extinction : les ânes africains sont néanmoins devenus en l’espace de quelques mois l’objet d’un nouveau trafic à destination de la Chine. Leur tort ? Posséder une peau qui, selon la rumeur, contiendrait une gélatine aux vertus anti-vieillissement. Fin février, à Molepole, au Botswana, la police a saisi 1 200 peaux dans un entrepôt et arrêté plusieurs personnes travaillant pour une société d’exportation chinoise, installée en Afrique du sud.
La suite sur Le Monde
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire