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mercredi 14 décembre 2016

Le Potentiel : «Pourparlers du Centre interdiocésain. Un accord attendu au plus tard le 16».

Radio Okapi 
14/12/2016

Revue de presse de mercredi 14 décembre 2016

Des évêques membres de la CENCO 
lors de travaux du dialogue national inclusif à Kinshasa, le 09/12/2016. 
Radio Okapi/Ph. John Bompengo. 

La reprise des travaux des négociations directes au centre interdiocésain est le sujet principal que les journaux kinois abordent mercredi 14 décembre. 

Après une agitation de quelques heures à la reprise des travaux hier mardi au centre interdiocésain, les malentendus ont pu finalement être dissipés dans la soirée, écrit Le Potentiel qui annonce à la une : « Un accord attendu au plus tard le 16 [décembre]». 
Les participants ont été répartis en commissions avant la grande plénière de ce mercredi. 
Cet accord, fait savoir le journal, est attendu à cette date, parce qu’il faut calmer les esprits avant la fameuse date du 19 décembre 2016, date de la fin du mandat constitutionnel de l’actuel président de la République. 

« L’heure est grave, la population congolaise tout entière nous regarde », a affirmé Mgr Marcel Utembi, président de la CENCO. Les pourparlers du Centre interdiocésain sont donc ceux de tous les espoirs. C’est un forum de dernière chance pour épargner à la RDC un chaos généralisé après le 19 décembre 2016, écrit Le Potentiel. 
« Ce peuple attend principalement que les conclusions de ces travaux conduisent urgemment à la réconciliation entre les acteurs politiques, à la paix et à l’organisation des élections démocratiques, crédibles et apaisées afin d’ouvrir le chemin vers l’alternance politique pacifique comme l’exige la Constitution », a ajotué Mgr Utembi, cité par le quotidien qui conclut : « Jusqu’au vendredi, les délégués du Centre interdiocésain ont entre leurs mains l’avenir de tout un pays ». 

Trouver un accord d’ici vendredi parait un vrai défi pour les évêques, estime Forum des As qui titre : « CENCO. Le pari de ce vendredi ». Ce pari sera-t-il gagné ce vendredi ? 
Poser cette question, c’est y répondre, écrit le tabloïd. Les pères-évêques ont des atouts pour déplacer des montagnes. Ils en ont indiscutablement la capacité sur divers plans notamment des compétences scientifiques pour bien cerner la matière et surtout identifier les obstacles. En plus, ils ont une légitimité comme autorité morale reconnue dans les deux camps. On ne doit pas oublier l’aspect spirituel, par des prières avec lesquelles ils accompagnent ces négociations, fait remarquer Forum des As. 

Et pour ne pas perdre du temps, les participants sont repartis en commission fait savoir Le Phare, dans son titre : « Face à face Sessanga-Nkulu, Fayulu-Kamerhe et Kamitatu-T. Mwamba ». 
Ces commissions sont au nombre de trois : «Décrispation politique», «Processus électoral» et «Réforme institutionnelle». 
La commission « Réforme des institutions » se penchera sur l’avenir des institutions actuelles, qui seront réputées illégitimes et illégales après le 19 décembre 2016, note le journal. 
Dans cette commission siègent Christophe Lutundula et Delly Sessanga pour le compte du Rassemblement. Deux fervents défenseurs du « Régime Spécial » appelé à pallier la crise de légitimité qui devrait frapper bientôt l’architecture institutionnelle actuelle de la République Démocratique du Congo. Ces deux éminences grises de l’opposition non signataire de l’accord du Camp Tshatshi seront face à deux durs de la Majorité Présidentielle, Adolphe Lumanu et Me Nkulu Kilombo, fait observer Le Phare qui pense que le droit va être sérieusement secoué au sein de cette commission. 

En attendant un accord entre les participants au dialogue dit inclusif, La prospérité s’interroge sur le contenu du message annoncé d’Etienne Tshisekedi avant le 19 décembre. 
« RDC : Que dira Etienne Tshisekedi » ? s’interroge le journal à la une. 
« Que peut-il mieux dire en ce moment crucial de l’histoire où la RDC est partagée entre les partisans du maintien du Président Kabila dans ses fonctions et les catéchumènes de l’apocalypse qui, réclament, à cor et à cri, son départ au profit, semble-t-il, d’un régime spécial ou, simplement, d’un conseil de transition ? » 
La Prospérité ne donne aucune réponse concrète mais fait plutôt un plaidoyer au nom des Congolais « épris de paix ». « D’Etienne Tshisekedi, ils [les Congolais] n’attendent qu’un appel à l’apaisement, comme le lui avaient recommandé, d’ailleurs, les USA, l’UE, l’Onu, la SADC, lors de leurs dernières déclarations sur la situation délétère que traverse la RDC », écrit le journal qui signe : « la RDC n’est ni à vendre, ni à prostituer. Au-delà du 19 décembre, le pays doit vivre ».

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