13/07/2017
Par Khadija Sharife et John Grobler
Pour assouvir sa passion, le président congolais n’hésite pas à faire venir de Namibie des centaines de bêtes sauvages en mobilisant tous ses réseaux d’affaires.
Le printemps austral de Joseph Kabila, toujours président de République démocratique du Congo malgré la fin de son mandat le 19 décembre 2016, aura été particulièrement étouffant. L’Union européenne et les Etats-Unis multiplient les sanctions contre les barons de son régime, à qui elle interdit l’entrée sur leur territoire et dont ils gèlent les comptes bancaires. La communauté internationale accentue les pressions pour accélérer le processus électoral. Et le conflit aux Kasaï, provinces du centre du pays, qui a fait près de 3 000 victimes et 1,3 million de déplacés est désormais inscrit à l’agenda de l’ONU.
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