18/08/2015
Floribert Anzuluni. Photo Jeune Afrique |
Chers frères, amis et compatriotes,
Je tiens tout d’abord à remercier de tout mon cœur toutes les personnes qui, au pays comme à l’étranger, ont eu le courage de ne pas se taire, m’ont soutenu, et continuent à me soutenir, de près ou de loin, chacun à leur niveau, depuis les tristes événements du 15 mars 2015. Une mention spéciale à ma chère épouse ainsi qu’à mon fiston, qui en subit injustement les conséquences, à mes parents, à mes frères et sœurs, à mon frère et alter ego (qui se reconnaitra), à mes compatriotes et frères africains du Sénégal et du Burkina Faso… Aux autres, soyez rassurés, je ne vous en veux pas, je comprends.
Passionné du Congo depuis mon jeune âge, je mets depuis plusieurs années déjà mon engagement de diverses manières au service de notre copropriété le Congo en général, et de la jeunesse congolaise en particulier.
Pour rappel, le 15 mars 2015, à l’issue d’une conférence de presse organisé dans le cadre du lancement du mouvement citoyen FILIMBI auquel j’ai pris part, une trentaine de personnes ont été enlevées par des hommes lourdement armés en uniforme de la police militaire et d’autres en civil de l’Agence Nationale de Renseignement (ANR). Parmi les personnes enlevées, se trouvaient les quatre représentants des mouvements citoyens invités « Y’EN A MARRE » du Sénégal et « BALAI CITOYEN » du Burkina Faso, des membres du mouvement FILIMBI, des artistes, des journalistes tant locaux qu’étrangers, un diplomate américain et même de simples passants.
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