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lundi 14 novembre 2016

RDC : la Banque mondiale évalue son apport dans le secteur agricole

Radio Okapi 
11/11/2016

Siège de la Banque mondiale 

Au cours d’une conférence de presse vendredi 11 novembre à Kinshasa, le bureau de représentation de la Banque mondiale en RDC a évalué son engagement au pays dans le secteur de l’agriculture. 

Selon le directeur des opérations de cette institution financière, Ahmadou Moustapha Ndiaye, l’apport de la Banque mondiale pour la RDC est évalué à 450 millions de dollars américains, soit 15 % du cout global.

La suite sur Radio Okapi

mardi 27 septembre 2016

Des sites maraîchers spoliés au profit de lotisseurs et de tenanciers de bars dans la ville de Kinshasa

La Voix du Paysan Congolais 
27/09/2016

Depuis quelques années, des maraîchers de la ville de Kinshasa sont confrontés au phénomène de spoliation de leurs terres agricoles. Face à ce phénomène, ils perdent leurs espaces ou ils exercent les activités agricoles au détriment des lotisseurs qui érigent soit des hôtels ou des bars.

La suite ici

mercredi 20 juillet 2016

Nourrir l’humanité sans détruire de nouvelles forêts

Le Monde 
20/07/2016 
Par Laetitia Van Eeckhout

Deforestation pour planter des palmiers à huile 
dans la forêt de Lofa au Nigeria le 28 avril 2016. 

L’agriculture est la principale cause de déforestation dans le monde ; pourtant il est possible de nourrir l’humanité sans détruire de nouvelles forêts, démontre l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), dans un rapport sur la situation des forêts du monde publié lundi 18 juillet.  

La suite sur Le Monde

samedi 14 mai 2016

Les nouveaux résilients (5/7) : le marchand de carbone

(Crédit photo : Belgian FPS Foreign Affairs) 

En République démocratique du Congo, Olivier Mushiete Nkole s'est lancé dans un vaste programme d'agroforesterie. Et pour financer les investissements initiaux nécessaires, il a fait appel au marché carbone. 

Ici, le changement climatique n’est encore qu’une épée de Damoclès. Là-bas, il sévit déjà. Sécheresse, dégradation des sols, insécurité alimentaire… Du Togo au Congo, en passant par les Philippines et la Papouasie-Nouvelle Guinée, des populations sont, dans leur quotidien, aux prises avec les conséquences du dérèglement. Pour s’en prémunir ou s’y adapter, des porteurs de projets rivalisent d’inventivité. Ils imaginent de nouvelles sources d’énergie, redécouvrent des plantes, réapprennent à cultiver en milieu aride. Le Centre de coopération international en recherche agronomique pour le développement (Cirad) et l’Agence française du développement (AFD) a lancé le concours Challenge Climat pour récompenser ces initiatives. Terra eco est allé à la rencontre de ces nouveaux résilients

La suite sur Terraeco

Lire aussi : 

- « Les nouveaux résilients (1/7) : le gardien des sols »

- « Les nouveaux résilients (2/7) : la planteuse d’arbres » 

- « Les nouveaux résilients (3/7) : le VRP du hanza mal-aimé »

- « Les nouveaux résilients (4/7) : la militante antibrûlis »

- « Les nouveaux résilients (6/7) : le sourcier indien »

- « Les nouveaux résilients (7/7) : l’ingénieur lumineux »

mercredi 13 mai 2015

RDC : la Banque mondiale accompagnera le gouvernement dans le secteur agricole

Radio Okapi 
11/05/2015

Madame Sri Mulyani indrawati,
Directrice générale du Groupe de
la Banque mondiale
lors d’une interview accordée à Radio Okapi
/Ph. John Bompengo
 
La Banque Mondiale dit être disposée à accompagner le Gouvernement de la RDC dans l’implantation du Parc agroindustriel et sur le plan financier. La directrice générale du Groupe de la Banque Mondiale, Mme Sri Mulyani, l’a déclaré mardi 12 mai dans une interview exclusive accordée à Radio Okapi lors de son séjour à Kinshasa. 
« Le Premier ministre nous a expliqué ce projet de développement de parc agro industriel qui va être étendu de 22 à 26 sites et la Banque mondiale et la SFI (Société financière international) sont prêtes à apporter leur appui en fonction des besoins du gouvernement et apporter l’expertise nécessaire pour développer ce secteur important », a affirmé Mme Sri Mulyani. 
Elle a encouragé la RDC à amplifier la relance du secteur agricole, qui selon elle, est très prometteur pour le développement du pays. 

lundi 23 février 2015

Des hydroliennes envisagées sur le fleuve Congo pour développer l'agriculture

Jeune Afrique 
22/02/2015 
Par AFP 

Des pirogues au bord du fleuve Congo
à Ngamanzo, le 21 juillet 2011.
© Junior Kahnna/AFP
Sur les rives du Congo, des centaines de paysans produisent des fruits et légumes mais trop souvent, une partie pourrit sur place, faute de stockage réfrigéré. Pour stopper ce gâchis et développer l'agriculture, des hydroliennes pourraient bientôt jalonner le fleuve. 

"C'est pas compliqué, c'est un frigo qu'il faut installer" dans les villages au bord du fleuve au Congo-Brazzaville, lance Maguelonne Loubelo, fermière sur une île au milieu du Congo et ancienne travailleuse humanitaire dans des zones rurales d'Afrique centrale. 

vendredi 20 février 2015

L'aventure de Songhaï, ferme bio au Bénin

France TV INFOS
Geopolis
Article publié le 25/08/2014
Par Laurent Ribadeau Dumas (avec AFP) 

Le fondateur et directeur de Songhaï, Godfrey Nzamujo, 
sur les lieux de l'exploitation qu'il a fondée en 1985.
© AFP - Charles Placide 

Tossou Songhaï est le nom d’une ferme bio fondée en 1985 à Porto-Novo au Bénin par un prêtre dominicain américain d’origine nigériane, Godfrey Nzamujo. Au départ, elle ne dépassait pas un ha. Aujourd’hui, elle s’étend sur 24 ha. Désignée «centre d’excellence pour l’agriculture» par l’ONU, l’exploitation s’est développée au Nigeria, au Liberia et au Sierre Leone. Récit. 

En fondant Songhaï (du nom de l'empire qui, à son apogée au XVIe, régnait sur une partie de l'Afrique de l'Ouest) il y a près de 30 ans, Godfrey Nzamujo avait un projet ambitieux : lutter contre la pauvreté et l’exode rural sur le continent noir. Aujourd’hui, un bâton à la main et un panama sur la tête, il parcourt d'un pas alerte les allées de la ferme bio, qui s’étend sur 24 ha. Une ferme qui est devenue un projet-pilote pour le reste de l'Afrique.

 


Merci à Pierre de Montpellier pour la video !

jeudi 19 février 2015

La Banque mondiale encourage le projet du parc agro-industriel en RDC

Radio Okapi 
18/02/2015

Des engins pour la relance agricole en
RDC le 15/07/2014 à Bukanga-lonzo
dans la province de Bandundu, lors du
lancement des travaux du parc agro
industriel par le président Joseph Kabila.
Radio Okapi/Ph. John Bompengo
Le projet du parc agro-industriel qu’entreprend le gouvernement de la RDC est une approche très prometteuse qui met en interaction les investisseurs publics et privés. Le directeur sectoriel de la Banque mondiale chargé de l’agriculture en Afrique centrale et Australe, Séverin Kodderitzach, l’a affirmé mercredi 18 février dans une interview accordée à Radio Okapi. 

En RDC, le président de la République Joseph Kabila, a officiellement lancé en juillet dernier le projet de construction du parc agro-industriel à Bukanga Lonzo (Bandundu). Ce projet vise à offrir à la population congolaise une variété de produits alimentaires à des prix abordables. 

Selon lui, ce projet va développer les infrastructures en vue d’une production, transformation et commercialisation des produits agricoles. 

lundi 26 janvier 2015

RDC : l’UE présente son « programme environnement » axé sur le développement de l’agriculture

Radio Okapi 
26/01/2015

( De gauche à droite) le ministre provincial
de l’agriculture de Kinshasa, Noël Botakile
et la directrice de l’USAID en RDC,
Diana Putman, lors du lancement
du projet FPPM au plateau de Bateke.
Ph. Ambassade des USA à Kinshasa.
20/03/2012
L’Union Européenne a présenté vendredi 24 janvier son « Programme environnement » à la République démocratique du Congo (RDC), dans le cadre des futurs projets de coopération entre les deux partenaires. Ce programme vise le développement global au bénéfice de toutes les populations implantées dans des régions possédant des aires protégées notamment Upemba, Virunga, Garamba, Yanga et Salonga. 

Le coût total pour la matérialisation de ce programme est évalué à 120 millions d’euros. 

Présent à la présentation de ce programme, le ministre de l’Agriculture, pêche et élevage a indiqué que ce financement prendra en charge à la fois la protection de l’environnement et le développement durable axé sur l’agriculture et surtout, l’agriculture familiale jugée bénéfique pour toute la population. 

L’ambassadeur de la délégation de l’Union Européenne en RDC a expliqué que le choix de la RDC n’est pas un hasard. « Ce pays est le 2e bassin forestier du monde et est également l’un des dix pays les plus menacés au monde par le changement climatique », ajoute la même source. 

Pour les environnementalistes, les coupes massives et incontrôlées des arbres et des forêts en RDC entraîne la perturbation des saisons avec comme conséquence l’absence des pluies. Parfois le climat est déréglé et il fait extrêmement chaud. 

La RDC avec son massif forestier est la solution au changement climatique qui touche l’humanité en ce moment, insistent les environnementalistes.​

mardi 28 octobre 2014

Les communautés locales ont droit à des concessions forestières mais sans aucune sécurité foncière

La voix du paysan congolais 
28/10/2014

En RDC, il y a toujours ce conflit récurrent entre les communautés locales qui se disent propriétaires de terres en vertu de la coutume et le gouvernement qui affirme qu’en vertu de la loi, le sol et le sous sol appartiennent à l’état. Avec le nouveau décret, les communautés locales peuvent obtenir des concessions forestières, mais quid de la sécurisation de ces espaces ? Le décret est téléchargeable ci-dessous.

Les communautés locales de la RDC peuvent désormais acquérir des concessions forestières sur les terres qu’elles occupent en vertu du décret numéro 14/018, signé par le Premier Ministre le 2 Août 2014. Ce nouveau décret fixe les conditions préalables d’attribution d’une concession forestière aux communautés locales, mais reste muet sur la sécurisation de ces espaces. Ce qui fait que le problème de la sécurisation des terres ou forêts des communautés locales demeurent entier.

Continuer la lecture

Lire aussi :

Le programme des Parcs Agro-industriels, risques ou opportunités pour l’agriculture familiale ?

Changer l’agriculture congolaise en faveur des familles paysannes

mardi 15 juillet 2014

Lancement ce mardi 15 juillet par le Chef de l’Etat du Parc agro-industriel de Bukanga Lonzo promis par le Premier ministre Matata Ponyo

Digital Congo
15/07/2014

Pour la matérialisation du projet d’érection des parcs agro-industriels à essaimer dans toutes les provinces pour servir de pool d’activités multisectorielles de développement, tels que prévus par le gouvernement qui y investit des fonds estimés à plus de 80 millions USD, le président Joseph Kabila s’est présenté en personne pour lancer à Bukanga Lonzo le premier Parc agro-industriel pilote de la série 

Le Premier ministre, Matata Ponyo Mapon, aura tenu la promesse de concrétiser le projet du Parc agro-industriel de Bukanga Lonzo dans la province du Bandundu. Un projet que le gouvernement promet d’étendre sur l’ensemble du territoire national. Projet inscrit dans la vision de la « Révolution de la modernité », le chef de l’Etat a accepté de bousculer son calendrier pour assister personnellement à l’accomplissement de ce qui hier n’était qu’un rêve, mais qui devient une réalité à partir de ce mardi 15 juillet 2014. « Le temps est venu pour transformer l’agriculture congolaise d’un secteur de subsistance à un puissant moteur de développement économique global », assurait déjà le chef de l’État, Joseph Kabila Kabange. 

La RDC lance un ambitieux programme de parcs agro-industriels

Belga 
15/07/2014 

La République démocratique du Congo a lancé mardi le premier d'une série de parcs agro-industriels destinés à doper le développement du pays et à mettre en valeur l'énorme potentiel de terres arables dont elle dispose. 

Le chef de l'Etat, Joseph Kabila, a inauguré le site de Bunkanga Lonzo, à environ 220 km à l'est de Kinshasa, aux manettes d'un tracteur tirant un système d'épandage, a constaté un photographe de l'AFP. 

mardi 12 novembre 2013

Business Meeting : plus de 1,5 milliards de dollars pour financer le secteur agricole en RDC

La Voix du paysan congolais 
12/11/2013

C’est un pari gagné pour le Ministre de l’Agriculture, Pêche et élevage, Jean Chrysostome Vahamwiti qui a obtenu des engagements des investisseurs et bailleurs de fonds de plus de 1,5 milliards de dollars pour le financement du Plan National d’Investissement Agricole, PNIA pour la période de 2013-2020. A ces engagements, s’ajoutent les intentions non chiffrées des partenaires et bailleurs traditionnels de la RDC qui appuient le secteur agricole. 

C’est le principal résultat du Business Meeting sur le financement du Plan National d’Investissement Agricole qui a réuni près de 400 investisseurs et représentants de bailleurs de fonds du 07 au 08 Novembre 2013 au Salon Congo du Grand Hôtel Kinshasa. 

Cette réunion a permis aux bailleurs traditionnels de la RDC de confirmer leurs engagements pour les projets et programmes déjà en cours, mais aussi d’annoncer de nouveaux investissements dans le secteur agricole. C’est le cas de la Banque Mondiale qui s’est engagée à accorder un financement de plus de 100 millions dans le secteur agricole de la RDC dans le cadre du plan d’aide de 1,250 milliards de dollars pour la région des grands lacs. Elle participe déjà à la hauteur de 110 millions de dollars au projet de développement des pôles de croissance à l’Ouest de la RDC, initié par le gouvernement. 

dimanche 11 août 2013

Le riz, nouvel espoir de prospérité pour les fermes soudanaises:

AFP 
11/08/2013 

Un homme montre les grains de riz cultivés à Wad Medani, au sud de Khartoum, le 25 juillet 2013 
( AFP / Ashraf Shazly) 

Les jeunes pousses de riz n'ont pour l'instant l'air que de minuscules brins d'herbe perdus dans une région en déliquescence au sud de Khartoum, mais ils symbolisent l'espoir de faire renaître l'un des plus vastes systèmes d'irrigation du monde. 

Etabli dans les années 1920 pendant la colonisation britannique et égyptienne pour permettre la culture de centaines de milliers d'hectares de coton, le schéma d'irrigation de la Gezira, entre le Nil bleu et le Nil blanc, a longtemps été loué comme un modèle de développement africain. 

vendredi 9 août 2013

Huile de palme en Sierra Leone: des ONG dénoncent la mainmise des entreprises étrangères sur les terres

RFI 
09/08/2013 
Par Jean-Pierre Boris

Le Cameroun (photo) et la Côte d'Ivoire
 sont parmi les pays d'Afrique où le palmier
à huile est cultivé.
Marco Schmidt/ Wikimedia Commons
Un groupe d'ONG vient de publier un volumineux rapport pour dénoncer l'accaparement d'un quart des terres agricoles de la Sierra Leone par des entreprises privées étrangères. Sur ces milliers d'hectares, l'agro-industrie développe de grandes exploitations d'huile de palme ou de canne à sucre. 
Dans ce rapport intitulé «A qui cela profite-t-il», les ONG s'en prennent au manque de transparence qui a entouré l'attribution de ces concessions. Surtout, elles soulignent l'appauvrissement des paysans sierra-léonais, là où ces grandes exploitations se développent. La Canadienne Joan Baxter est la principale auteur de ce dossier à charge. « La pauvreté, dans cette communauté, a augmenté, souligne-t-elle. Les gens nous ont dit qu’avant, après les récoltes, ils mangeaient deux ou trois fois par jour, des grands repas. Maintenant, ils disent que c’est une ou deux fois par jour et la nourriture n’est plus aussi riche qu’avant parce qu'elle a perdu en diversité. Ils n’ont pas la terre pour produire tout ce qu’ils mangeaient avant. » 


dimanche 4 août 2013

Accaparement des terres africaines: «La question foncière devrait être une opportunité»

RFI
04/08/2013 
Par Anthony Lattier


Des agriculteurs maliens manifestent
contre l'expropriation dont ils ont
fait l'objet en 2010. RFI/David Bache
Plus de 90% des terres rurales agricoles africaines ne sont pas officiellement enregistrées, ce qui favorise l'accaparement des terres. La Banque mondiale propose un plan d'action en dix étapes pour améliorer la gestion des terres et la gouvernance foncière. L'enjeu est d'accroître la productivité agricole, d'accélérer la croissance et de réduire la pauvreté. Jamal Saghir, directeur du développement durable pour la région Afrique de la Banque mondiale, expose l’importance de mener d’urgence des réformes foncières profondes dans les pays du continent. 

RFI : quels avantages auraient les pays africains à s’engager dans d’importantes réformes foncières ? 
Jamal Saghir : Il faut savoir à qui appartient la terre. Quand vous êtes un petit fermier, ou un commerçant, ou un ouvrier agricole, il faut que vous sachiez que cette terre vous appartient. Il faut s’assurer que les terres ne soient pas exploitées sans dédommagements adéquats. Et c’est pour cela que nous, en tant que Banque mondiale, dans des pays comme le Ghana, le Malawi, le Mozambique, la Tanzanie, nous avons parmi nos opérations des plans d’action qui pourraient contribuer à révolutionner la production agricole.
 

Lutte contre la mosaïque du manioc au Congo

RFI
03/08/2013
Par Sayouba Traoré 

La mosaïque du manioc est une maladie qui envahit les champs, causant des faibles rendements et par conséquent la diminution des revenus des paysans. 

La question est importante parce que le manioc est la première source de revenu des paysans congolais et le premier aliment de base de l'ensemble de la population du pays. 

Depuis 2004, le Proder ou Projet de développement rural, qui relève du ministère de l’Agriculture, s’est attaqué à ce problème. 

Dans les districts du département du Kouilou, dans le sud de la République du Congo, c’est le Proder sud qui encadre les producteurs dans cette lutte

(02:57)

mercredi 26 juin 2013

R. D. Congo : la culture du café considérée comme une source potentielle de revenus agricoles

Digital Congo 
25/06/2013

L’Office national du café (ONC) est en phase de la relance de la filière café. Pour matérialiser ce vœu, le Directeur général de l’Office national du café, Albert Kasongo, a appréhendé une projection d’activités pouvant être réalisées à court, moyen et long termes. 

Parmi ces activités, il y a celle qui peut concourir au développement du secteur agricole dans le but d’atteindre les meilleurs résultats socio-économiques en République Démocratique du Congo. 

Il a organisé, à cet effet, une journée de réflexion dans le but de déceler les épineux problèmes qui entravent la mise en œuvre de la relance d’une filière aussi importante que celle du café. Les questions d’ordre économique, financier, normatif, agronomique et technique qui sont à la base d’énormes difficultés qui rongent l’ONC ont trouvé des réponses circonscrites dans le document de stratégies que cette journée a doté à la République Démocratique du Congo. 

lundi 17 juin 2013

Huile de palme : les Africains se mobilisent contre le "dénigrement"

La Croix 
16/06/2013
Merci à Julien Loposso

Les producteurs africains d’huile de palme se mobilisent contre le "dénigrement" visant cette culture, accusée de détruire les forêts et de menacer la santé humaine, s’inquiétant que le succès d’un label "sans huile de palme" ne condamne à terme les planteurs. 


Répliquer aux accusations : c’était le grand objectif du premier Congrès africain de l’huile de palme (APOC) qui s’est tenu du 10 au 13 juin à Abidjan à l’initiative du gouvernement ivoirien et de l’Association interprofessionnelle de la filière en Côte d’Ivoire (AIPH). 

mercredi 8 mai 2013

Un fonds de 67 milliards de FC est débloqué par le gouvernement pour financer l’agriculture

Digital Congo 
07/05/2013

Signe fort de la détermination du gouvernement de relancer le secteur agricole : l’organe exécutif vient de décider à sa structure restreinte de la Troïka économique le décaissement de 67 milliards appelés à financer l’agriculture à revaloriser désormais dans le pays 

Comme chaque lundi, le Premier ministre Augustin Matata Ponyo a réuni autour de lui les membres de la Troïka stratégique. A trois jours de la présentation du bilan du Gouvernement, la réunion d’hier a mis l’accent sur la croissance, sans oublier la création des richesses pour faire reculer la pauvreté. « Le Chef du Gouvernement lui-même parle beaucoup plus de l’an deux du Gouvernement Matata et le point d’honneur de l’an deux du Gouvernement Matata, c’est le social », a indiqué Daniel Mukoko, Vice-Premier ministre et ministre du Budget, avant d’ajouter, que pour agir sur le social, il faut plus de richesses.