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mardi 14 juin 2016

Kinshasa: Médecins du monde met fin à son programme Santé pour les enfants de la rue

Radio Okapi 
14/06/2016

Quelques enfants de la rue passent sur la place du 30 juin 
ex-gare centrale ce 17/06/2011 à Kinshasa-Gombe. 
Radio Okapi/ Ph. John Bompengo 

Médecins du monde/France a clôturé lundi 12 juin son programme de 15 ans sur la promotion de la santé des enfants en situation de rue à Kinshasa. D’après l’ONG, ce programme lui a permis d’entrer régulièrement en contact avec près de 1500 enfants le mois. 

Dans le cadre de ce programme, Médecins du monde/France a travaillé avec des ONG membres du Réseau des éducateurs des enfants et jeunes de la rue (REEJER). Ces dernières ont été amenées à intégrer l’aspect des soins médicaux dans leur travail auprès de ces enfants. 

Médecins du monde/France a aidé certaines d’entre elles à développer des centres de santé, en accordant des primes aux infirmiers, des équipements et des médicaments pour soigner gratuitement les enfants récupérés dans la rue ou qui y vivent encore.

Et en cas de transfert d’un enfant malade vers une structure médicale plus grande, Médecins du monde/France prenait ces frais en charge. C’est le REEJER qui hérite de ce programme. Ce qui a amené des participants à la cérémonie à relever des difficultés financières et matérielles que ce départ risque d’entraîner. 

Patrick Lunzayiladio, coordonnateur médical de Médecins du monde à Kinshasa, estime que, pour faire face à ces difficultés, le REEJER devrait compter sur l’appui des bailleurs de fonds : 
«Le REEJER aura besoin de la société civile ou des autres bailleurs de fonds pour continuer à acheter des médicaments et surtout de l’appui du Gouvernement pour que les enfants continuent à avoir un lieu où ils sont soignés gratuitement. Ceci va manquer un moment, c’est vrai, quand le REEJER n’aura pas les moyens.» 
La contribution du gouvernement congolais au social a été par ailleurs jugée «minime jusque-là» par les participants. A ce sujet, Patrick Lunzayiladio reconnaît que le programme pourrait connaître des moments difficiles.

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