Jeune Afrique
10/08/2016
par Christophe Le Bec
Christophe Le Bec est journaliste économique. Il couvre l'actualité des secteurs pétrolier, minier et industriels (automobile et aéronautique). Il s'intéresse aux questions de transparence et de gouvernance, ainsi qu'aux organisations patronales et syndicales. Il lui arrive aussi d'écrire sur des sujets religieux et sur la Guinée.
Le potentiel hydroélectrique des chutes d’Inga, sur le fleuve Congo – le plus puissant d’Afrique –, fait rêver les Congolais et les ingénieurs de toutes nationalités depuis les années 1950.
À disposition, à 400 km de Kinshasa, quelque 42 000 mégawatts, grâce à une pente d’une centaine de mètres entraînant un débit moyen de 20 000 m3 par seconde. De quoi électrifier la moitié du continent si l’on faisait partir du site de gigantesques autoroutes électriques reliant l’Afrique du Sud à l’Égypte, selon les plans les plus grandioses échafaudés dans les années 1960.
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