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mercredi 2 février 2011

Production artisanale du diamant: vers des coopératives minières à Mbuji-Mayi

Radio Okapi
02/02/2011

Diamant de la Miba

La Miba, Minière de Bakwanga, a cédé depuis quelques mois plus de cinquante carrés miniers à l’Etat congolais. Pour rentabiliser la production de ces espaces désormais accessibles aux exploitants artisanaux, le gouvernement préconise le regroupement de ceux-ci en coopératives minières. Une délégation du ministère des Mines du gouvernement central est en mission à Mbuji-Mayi à cet effet.
C’est à la demande de ce gouvernement que la Miba a renoncé à certains de ses carrés miniers situés, pour la plupart, en dehors du territoire de Tshilenge.
Ces espaces peuvent être exploités par d’éventuels investisseurs, mais aussi par des creuseurs artisanaux, pourvu que ceux-ci soient regroupés dans des coopératives minières.
«Le pays occupe actuellement la présidence du processus de Kimberley, il va de soi que l’encadrement soit obligatoire dans toutes les coopératives possibles pour raison de traçabilité», explique un expert de la SESCAM.
Mais pour certains experts en droit minier, pour une traçabilité réelle des pierres précieuses, l’exploitation industrielle est préférable à l’exploitation artisanale.
Alors, il faudra qu’au niveau du SESCAM, l’on soit en mesure d’identifier les exploitants artisanaux qui peuvent s’organiser dans des structures comme des coopératives minières en vue de faire évoluer la production artisanale vers la production industrielle.
L’idée des coopératives minières enchante les exploitants artisanaux de Mbuji-Mayi eux-mêmes.
Déjà, d’anciennes associations de creuseurs se sont engagées dans le processus de cette mutation.

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