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mardi 15 mars 2011

Rentrée parlementaire de mars

Radio Okapi
15/03/2011
Une vue des députés nationaux et sénateurs congolais
au palais du peuple
(siège du parlement), ce 8/12/2010 à Kinshasa.


Revue de presse du 15 mars
La reprise des activités parlementaires ce mardi 15 mars 2011 est à la une de la plupart des journaux parus ce jour à Kinshasa.
Le Phare parle d’une dernière session du quinquennat.
La session parlementaire qui s’ouvre ce mardi 15 mars 2011 à l’Assemblée nationale et au Sénat est la dernière du quinquennat que dirige Joseph Kabila, lit-on dans les colonnes de ce journal.
«A l’occasion de cette rentrée parlementaire, les Congolais aimeraient connaître le bilan de l’institution parlementaire ainsi que celui de chaque député et chaque sénateur. »
«Force est de constater que le Congolais de 2011 n’a pas obtenu les réponses qu’il attendait depuis 2006 au plan social, économique, sécuritaire, etc., » commente Le Phare qui ne manque pas d’arguments à cet effet.
Au plan social, par exemple, explique le quotidien, il y a plus de chômeurs en 2011 qu’en 2006, plus de difficultés de logement et de nourriture, plus de problèmes de santé et d’éducation, etc.»
«L’insécurité n’a pas quitté l’Est du pays. L’impression du moment est que les députés et sénateurs n’ont pas suffisamment exercé de pression sur l’exécutif national pour que celui-ci tienne ses engagements,» conclut le journal.

Du bilan de l’institution parlementaire, il en est également question dans L’Observateur.
Le journal constate dans son éditorial du jour, qu’avant l’ouverture de la campagne électorale, «nous assistons déjà à certaines opérations de charme des élus sortant envers la population. Et ce, pour s’assurer un électorat dans la perspective des élections prévues avant la fin de l’année en cours.»
«Si certains parlementaires étaient restés proches de la population et défendaient ses préoccupations lors dessessions, d’autres par contre n’ont plus revu leurs électeurs ni effectué des descentes dans leurs circonscriptions lors des vacances parlementaires.»
Et pour cela, L’Observateur invite la population congolaise à «s’interroger sur la prestation collective et personnelle de ses élus au Parlement.»

L’Avenir insiste pour sa part, dans le même registre, sur les enjeux que présente cette dernière session de la première législature de la 3e République et appelle les parlementaires absentéistes à s’amender.
C’est une session importante qui va déboucher sur les élection en novembre 2011, écrit-il. Et en prévision de ces scrutins, L’Avenir craint que certains parlementaires ne soient occupés par les préparatifs de ces échéances et sèchent ainsi les plénières où des lois essentielles doivent être débattues, telles la loi électorale qui doit être adaptée à la Constitution révisée ainsi que les lois relatives à la décentralisation.
Et concernant la nouvelle loi électorale, L’Avenir fait savoir que le président de la Ceni a prévenu en disant que la qualité des élections que cette institution va organiser sera fonction de la qualité de la loi électorale. Si celle-ci est juste et équilibrée, les élections seront justes et équilibrées.
Il va falloir donc que les parlementaires s’y mettent pour faire le nécessaire au cours de cette dernière session, plaide l’Avenir.

Le Potentiel annonce quant à lui la candidature de Matungulu à la prochaine présidence de la République.
«La course à la présidentielle 2011 est grandement ouverte depuis la mise en place du bureau de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) », écrit ce quotidien.
« C’est aussi l’occasion pour les potentiels présidentiables de se prononcer. Si, de l’intérieur, l’heure est aux tractations au sein de différentes formations politiques, dans la diaspora, les ambitions commencent à s’afficher. C’est le cas de Freddy Matungulu Mbuyamu Ilankir, ex-ministre des Finances et, actuellement fonctionnaire au siège de Washington du FMI. Sa candidature est une nouvelle donne dans la course à la magistrature suprême,» lit-on dans ce tabloïd.
Le Potentiel ajoute : «Plusieurs fois cité dans différents remaniements ministériels, notamment le gouvernement issu des élections de 2006, l’homme a joué aux abonnés absents. Finalement, selon les échos en provenance de Washington, son entourage rapporte qu’il est prêt à rebondir en 2011.»

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