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lundi 4 avril 2011

RDC: l’ONG Greenpeace plaide pour le maintien du moratoire sur de nouveaux titres forestiers

Radio Okapi
04/04/2011

 Des tas des grumes provenant de la forêt équatoriale en RD Congo,
stockées pour une exportation.
Radio Okapi / Ph. John Bompengo

Maintenir et renforcer le moratoire sur l’allocation de nouveaux titres forestiers et assurer la bonne gouvernance, c’est la grande recommandation au gouvernement de l’atelier sur la gestion des forêts de l’Equateur, organisé le 21 et 22 mars à Mbandaka par l’ONG internationale Greenpeace. Cette recommandation a été réitérée samedi 2 avril à Kinshasa lors d’une restitution des travaux de Mbandaka.

A l’issue de cet atelier, Greenpeace en collaboration avec la Commission Environnement de l’assemblée provinciale de l’Equateur et le Réseau ressources naturelles/Equateur a sollicité également l’implication effective de toutes les parties prenantes dans tout le processus de gestion forestière.

Pour l’ensemble des participants à l’atelier, le bilan de plus de 35 ans d’exploitation forestière industrielle dans cette partie du territoire congolais est largement négatif. Le président de la Commission environnement de l’assemblée provinciale de l’Equateur, Célestin Bolili, explique:

Les exploitants forestiers qui ont opéré il y a belle lurette à l’Equateur. Ces exploitants n’arrivent pas à apporter des solutions quant au développement et à l’éclosion de notre province. Notre bois ne profite jamais à nos populations, à nos communautés locales et peuples autochtones.

Selon ce député, une société exploite, à elle seule, un million cinq cent mille hectares. Ce qui est une violation des conditions pour détenir les titres.

Toujours selon Célestin Bolili, ceci a conduit le gouverneur de province à prendre des mesures coercitives en vue de contraindre les opérateurs économiques dans le secteur du bois de respecter les clauses. Malheureusement, ces opérateurs ne veulent pas adhérer à cette vision, souligne-t-il.

Les exploitants pas d’accord

Les exploitants forestiers ne partagent pas cet avis. Ils estiment que l’application des cahiers de charge de leurs entreprises s’effectue dans un programme qui est en train de s’appliquer lentement. Leur président , Gabriel Mola, soutient:


Les résolutions de cet atelier n’engage que Greenpeace parce qu’elle a été à l’Equateur et a oublié que d’importantes réalisations qui se font maintenant parce que nous sommes en plein processus de négociation des cahiers des charges. Elle devrait se rendre à Bikoro pour se rendre compte des réalisations de l’ITB au profit des communautés locales.

S’agissant des allégations de Greenpeace selon lesquelles les entreprises forestières ne font rien au profit de la population de l’Equateur, M. Mola répond:


Siforco vient de signer avec les communautés locales dans la province de l’Equateur, plus précisément vers le nord quatre cahiers des charges. Transem Bois vient de signer avec la population de Befale un cahier des charges. .. Nous avons été à Oshwe et avons signé avec la population locale quatre cahiers des charges. Donc, ça ne dit rien à Greenpeace.

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