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mercredi 25 mai 2011

La promotion de la culture du manioc à l’ordre du jour à Kinshasa

Le Potentiel
25/05/2011
Il est possible de permettre à la RDC de reprendre, sur le marché international, sa place de premier producteur du manioc. Pour y parvenir, il est impérieux « d’assurer la promotion de la culture du manioc sur toute l’étendue du pays, accroître la production et productivité de ce tubercule ».

Il faut également « améliorer le rendement de transformation et la qualité sanitaire des produits du manioc consommé en RDC et promouvoir la création d’une industrie congolaise de production des farines de manioc et des dérivés répondant aux normes internationales ». C’est du moins ce que soutient, la coordinatrice de l’association des producteurs et transformateurs du manioc (APTM) en RDC. Marie Claire l’a indiqué au cours d’un point de presse animé, hier mardi 24 mai, à Kinshasa.

Elle estime, par ailleurs, que l’on doit « assurer la surveillance de la qualité des produits vendus au niveau national et à l’étranger afin de garantir la sécurité nutritionnelle contre les consommateurs ». Sans oublier de « lutter contre la pauvreté chez les paysans par la création des débouchés des produits transformés localement ».

La déchéance de la RDC dans la production du manioc, s’explique « par le fait qu’elle est encore artisanale et rudimentaire, peu hygiénique et à faible rendement, réduite aux tâches ménagères et entre les mains des petits paysans », déplore-t-elle. Avant de suggérer la création d’« une synergie autour de la filière du manioc pour valoriser des produits du manioc et ses dérivés par la vulgarisation de l’utilisation des variétés améliorées et la protection contre les maladies, la promotion de la farine panifiée et d’autres produits locaux scientifiquement standardisés ».

L’occasion lui a été également favorable pour rappeler l’importance de la culture du manioc.

Selon la coordonnatrice Marie Claire, la culture du manioc est la source de revenu et permet d’assurer un environnement durable, contribue à l’amélioration des sols, la culture des champignons et l’utilisation de la biomasse des épluchures fermentées comme fumure.

Elle s’est, enfin, planchée sur l’utilisation du manioc ferment. Marie Claire soutient que l’utilisation du manioc ferment permet, entre autres, de standardiser le processus de transformation du manioc en RDC, éliminer les cyanures dans tous les produits du manioc. Et ce, afin de garantir la qualité sanitaire des produits à base du manioc.

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