11/11/2011
Etienne Tshisekedi le 9/8/2011 au stade des martyrs à Kinshasa.
Radio Okapi/ Ph. John Bompengo
Revue de presse de vendredi 11 novembre 2011
La Prospérité constate que l’attente aura été longue, jeudi 10 novembre à Kisangani, pour les partisans de l’UDPS et alliés à l’aéroport de Bangboka.
C’est au-delà des prévisions initiales, au-delà de 20 heures locales, précise le quotidien, qu’enfin, Etienne Tshisekedi wa Mulumba a posé les pieds sur le tarmac, à sa descente d’un Jet de sept places, un avion affrété, pour la circonstance, auprès d’une compagnie Sud-Africaine, juste pour de besoin de sa campagne électorale.
L’Avenir remarque qu’Etienne Tshisekedi a été expulsé d’Afrique du Sud suite à ses propos qu’il a tenus sur Radio France Internationale et Radio Lisanga Télévision.
D’après le confrère, c’est un coup dur pour le candidat n°11 qui attendait encore les fonds pour le financement de sa campagne.
D’où le titre que choisit le confrère : « Campagne électorale : Etienne Tshisekedi expulsé d’Afrique du Sud ».
L’Observateur titre: « Tshisekedi, enfin, à Kisangani ».
Selon le confrère, le voile vient enfin d’être levé sur le controversé dossier que d’aucuns ont dénommé Affaire : » Avions de Tshisekedi « .
Le quotidien soutient qu’aujourd’hui, la vérité est connue. L’UDPS a introduit mercredi seulement la demande d’autorisation de survol de l’espace aérien congolais et d’atterrissage d’un aéronef de 7 places de la Société sud-africaine Aéronautic Solutions.
Le Potentiel rapporte que pour le retour de Tshisekedi, il fallait une deuxième autorisation de survol à l’UDPS.
D’après le confrère, le secrétaire général de l’UDPS, a invoqué «des désagréments leur imposés par le cocontractant».
La demande d’autorisation de jeudi, précise le journal, concerne donc un nouveau type d’aéronef.
Concernant la mobilisation, Le Phare rapporte que c’était une mobilisation nocturne et spontanée qui a fait converger, vers l’aéroport de Bangboka, des milliers des personnes de tous les âges. Véhicules, motos et vélos étaient pris d’assaut par ceux et celles qui tenaient à vivre, de visu, le cérémonial d’accueil.
Selon les informations parvenues au Phare, les Boyomais refusent de « libérer » Etienne Tshisekedi pour Kinshasa, où il devait tenir un meeting au stade des Martyrs vendredi 11 novembre.
Compte tenu de la longue attente à laquelle ils étaient soumis, ils tiennent à ce qu’il épuise son agenda de travail et de visite avant d’aller ailleurs.
Il s’agit notamment des villes d’Isiro, Buta, Bunia… prévues dans l’agenda de Tshisekedi.
Ces populations ne veulent pas entendre parler d’un retour de Tshisekedi à Kinshasa dans l’immédiat, sans avoir rempli son contrat avec elles, précise le journal.
A MOINS DE JOUER A UNE COMÉDIE DE MAUVAIS GOUT A VISÉE LUCRATIVE (VENTE DU QUOTIDIEN), LE JOURNAL L'AVENIR DOIT FOURNIR DES PREUVES INDISCUTABLES DE SON TITRE DÉNIGRANT SUR L'EXPULSION DE TSHISEKEDI. TROP D'INCITATION A LA HAINE ET AU MÉPRIS DES AUTRES: CE N'EST PAS LE RÔLE DE LA PRESSE. LA MAJORITÉ DES MENTEURS AU POUVOIR ET DANS LA PRESSE, LE PEUPLE CONGOLAIS EN A MARRE. CESSEZ DE MANIPULER L'OPINION NATIONALE. POUR MA PART, J’APPRÉCIE L'EXPOSE PANORAMIQUE DES TITRES DES JOURNAUX SUR CETTE PAGE. MERCI
RépondreSupprimerMerci à vous.
RépondreSupprimerDommage que DigitalCongo ne fasse plus de revue de presse. Nous avions alors deux sons de cloches !
Digital Congo fait également un rapport circonstancié sur la soi-disant expulsion de Tshisekedi d'Afrique du Sud.
Voici le lien : http://www.digitalcongo.net/article/79586
Digital Congo est aussi reconnu être partisan de Kabila !
Nous saurons peut - être la vérité lors de la visite du Président Zuma.