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mardi 6 mars 2012

Brazzaville : 3 000 sans-abri après la série d'explosions

LEMONDE.FR avec AFP
05.03.12- 21h11

Près de 1 500 sinistrés se sont réfugiés devant la cathédrale du Sacré Cœur à Brazzaville.
AFP/GUY-GERVAIS KITINA

Les explosions dans un dépôt de munitions à Brazzaville qui ont fait près de 150 morts, dimanche, ont laissé quelque 3 000 personnes sans-abri, a indiqué, lundi 5 mars, l'ambassadeur de France. 

La France a déployé vingt tentes pouvant accueillir un total de 200 personnes à la cathédrale du Sacré-Cœur où se trouvaient près de 1 500 réfugiés. Un avion d'aide affrété par la France devait arriver dans la nuit à Brazzaville avec à son bord "une équipe médicale de vingt-cinq personnes et cinq tonnes de matériel", a précisé l'ambassadeur. "Il s'agit de répondre à une priorité du ministère de la santé pour traiter les cas des blessés les plus graves et notamment les cas de fractures", a ajouté l'ambassadeur, Jean-François Valette. 



La série d'explosions survenue dimanche a fait 150 morts à Brazzaville. 
Les autorités estiment que 3 000 personnes sont sans-abri.
AFP/MARC HOFER 

UN AUTRE DÉPÔT MENACÉ
À Brazzaville, une source militaire a indiqué – sous couvert d'anonymat – qu'un autre dépôt de munitions près de celui qui a explosé pourrait être atteint par le feu. Les deux dépôts "souterrains" sont "à quelque cent mètres l'un de l'autre", dans le régiment de blindés au quartier Mpila, dans l'est de la capitale. Selon cette source, des "techniciens" se sont rendus lundi sur les lieux du sinistre. 

"La priorité c'est vraiment d'éteindre" des petits foyers d'incendie qui couvent toujours au dépôt de munitions qui a explosé dimanche, a déclaré le ministre de l'intérieur, Raymond Mboulou. 

Un court-circuit serait à l'origine de l'incendie. Dimanche, le président Denis Sassou Nguesso a "insisté sur l'obligation de délocalisation" des casernes militaires à l'extérieur de la capitale. 

Lundi, au moins six corps ont été retrouvés dans les décombres du quartier sinistré. "Nous sommes à plus de 150 personnes décédées, c'est provisoire (...). On compte plus d'un millier de blessés", a précisé lundi matin le ministre de l'intérieur.

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