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dimanche 29 avril 2012

Le ministre Luzolo Bambi défie l’ASADHO de prouver que la démocratie en RDC n’existe que sur le papier !

Digitalcongo 
 28/04/2012 

Vigoureuse réplique du ministre Luzolo Bambi en charge de la Justice et des Droits humains à l’Ong ASADHO dans sa virulente critique considérant que la pratique démocratique est inexistante en RDC et qu’elle ne se limiterait que sur du papier 

Le mardi 24 avril 2012, l’ONG ASADHO a publié un rapport sur l’Etat de droit sous la législature de 2006 à 2011 en République démocratique du Congo, rapport intitulé : « La démocratie sur papier, le peuple n’en veut plus ». Le ministre de la Justice et Droits humains, Luzolo Bambi Lessa, a donc réagi dans une conférence de presse tenue le jeudi 26 avril 2012 en posant cette question « Que devons-nous retenir de ce rapport et quelles leçons en dégager ? ». 



La communication du ministre de la Justice et Droits humain a été axée sur deux points : à savoir une brève introduction, ainsi que les questions de justice et droits humains évoqués dans ce rapport. Dans son introduction, le ministre Luzolo a souligné que c’est du travail normal, mais où il y a inobservance de la procédure. Et il a ainsi précisé : « Faire le bilan d’une législature est tout à fait démocratique et participé à l’exercice des libertés fondamentales dans un Etat de droit. La démocratie se vit en pratique en RDC, elle n’est pas sur papier. ASADHO elle-même est le fruit de la démocratie, car elle fait son travail en toute liberté ». 

Mais pour le ministre de la Justice, l’ASADHO a violé le principe de l’échange préalable d’informations comme principe de respect mutuel. Au-delà des critiques, a-t-il dit, le rapport ressemble à « conseil d’ami » destiné aux institutions, car il elle s’attaque pas aux hommes, mais aux institutions et personnes morales et toutes ces institutions restent ouvertes aux observations y formulées pour la bonne marche des affaires publiques. Par ailleurs, il a rappelé que chacune des institutions de la République a déjà eu à faire son propre rapport pour la législature 2006 2011. L’autoévaluation a donc déjà eu lieu en relevant les efforts accomplis, les limites rencontrées et les perspectives d’avenir en termes d’amélioration et de consolidation des acquis. 

De l’avis du ministre Luzolo, ASADHO a enfoncée une porte ouverte. S’agissant du président de la République, dit-il, il a eu à s’auto évaluer, notamment lors de la campagne électorale lorsqu’il s’est adressé directement à la population dans toutes les provinces de la République. En relevant les promesses faites, les actions réalisées et les actions qu’il compte poursuivre. Le ministre de la Justice a insisté : « je note que ce bilan a rassuré la population qui lui a de ce fait renouvelé sa confiance pour les cinq prochaines années. Ainsi, la preuve de son évaluation positive est sa réélection ». 

Quant au gouvernement, le ministre de la Justice et humains affirme qu’il a eu aussi à faire son propre son propre bilan interne à l’issue d’un séminaire ad hoc. S’agissant du Parlement a dit le ministre, il a eu à dresser son bilan lors des discours de clôture de la dernière session parlementaire par les présidents respectifs de deux Chambres, lesquels ont relevé les efforts fournis. 
Donatien Ngandu Mupompa/Le Potentiel

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