09/05/2012
(Agence Ecofin) - 40% des capacités industrielles installées en RD Congo sont sous utilisées par manque d’énergie électrique alors que le potentiel hydroélectrique du pays est estimé à 100000 MW, soit 13% du potentiel mondial et 37% du potentiel africain. Près de la moitié de ce potentiel, 44000 MW est à la portée du seul site d’Inga.
D’ici 2013, le gouvernement se fixe pour objectifs principaux l’accroissement du taux de desserte en électricité de 9% à 19% et la fin de la restructuration de la compagnie nationale, la SNEL. Pour cela, environ 2 % du PIB sera investi sur cette période, et renforcé par l’investissement privé et l’aide au développement. Est prévu également la construction de nouvelles centrales hydroélectriques : Zongo II (140MW), Katende (64 MW), Kakobola (9MW), Inga III (3000 MW), Bendera (17MW), Ivugha (2,5MW), Semuliki (72 MW), Busanga (240 MW), Nzilo II ( 120MW) et Kamimbi (60 MW).
En ce qui concerne les hydrocarbures, alors que le pays dispose de réserves considérables, depuis les années 70 la production pétrolière stagne en dessous de 30000 barils/jour et celle du gaz naturel n’a jamais démarré.
Selon le gouvernement , un audit sera imposé à l’ensemble des sociétés pétrolières agissant en RD Congo, le pays sera doté d’un cadre juridique pétrolier approprié et la prospection sera encouragée dans le bassin côtier, le bassin de la cuvette centrale, les Grabens Albertine, Tanganyika, Moëro et Upemba, de manière à parvenir dès 2014 à une production de 225000 barils/ jour.
Il s’agit également de démarrer la production de gaz naturel par la mise en exploitation du gisement du Lac Kivu. Le développement biocarburant notamment le ricin, la moringa, le maïs, le soja, le tournesol et le jatropha, devra, à partir de 2016, représenter 10% de la consommation du pays.
L’objectif est enfin d’accroître les capacités de transformation en construisant une raffinerie moderne à l’Ouest et en réalisant des études de faisabilité d’une autre à l’Est.
D’ici 2013, le gouvernement se fixe pour objectifs principaux l’accroissement du taux de desserte en électricité de 9% à 19% et la fin de la restructuration de la compagnie nationale, la SNEL. Pour cela, environ 2 % du PIB sera investi sur cette période, et renforcé par l’investissement privé et l’aide au développement. Est prévu également la construction de nouvelles centrales hydroélectriques : Zongo II (140MW), Katende (64 MW), Kakobola (9MW), Inga III (3000 MW), Bendera (17MW), Ivugha (2,5MW), Semuliki (72 MW), Busanga (240 MW), Nzilo II ( 120MW) et Kamimbi (60 MW).
En ce qui concerne les hydrocarbures, alors que le pays dispose de réserves considérables, depuis les années 70 la production pétrolière stagne en dessous de 30000 barils/jour et celle du gaz naturel n’a jamais démarré.
Selon le gouvernement , un audit sera imposé à l’ensemble des sociétés pétrolières agissant en RD Congo, le pays sera doté d’un cadre juridique pétrolier approprié et la prospection sera encouragée dans le bassin côtier, le bassin de la cuvette centrale, les Grabens Albertine, Tanganyika, Moëro et Upemba, de manière à parvenir dès 2014 à une production de 225000 barils/ jour.
Il s’agit également de démarrer la production de gaz naturel par la mise en exploitation du gisement du Lac Kivu. Le développement biocarburant notamment le ricin, la moringa, le maïs, le soja, le tournesol et le jatropha, devra, à partir de 2016, représenter 10% de la consommation du pays.
L’objectif est enfin d’accroître les capacités de transformation en construisant une raffinerie moderne à l’Ouest et en réalisant des études de faisabilité d’une autre à l’Est.
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