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vendredi 27 juillet 2012

En RDC, le gouvernement Matata veut relancer l’agriculture

RFI 
27/07/2012 
Le Premier ministre de RDC Augustin Matata Ponyo
s'adressant à la presse à Kinshasa en avril 2012.
AFP / Junior D. Kannah 
En République démocratique du Congo, le gouvernement Matata rêve de l'auto-suffisance alimentaire pour son pays, et promet de relever le défi de la relance de l'agriculture. Le Premier ministre Augustin Matata Ponyo et le ministre de l'Agriculture et du développement rural Jean Chrisostome Vahamwiti, qui procédaient jeudi 26 juillet au lancement de la campagne agricole 2012-2013, ont promis d'y investir 32 millions de dollars. 

La campagne agricole 2012-2013 a été lancée ce jeudi 26 juillet à partir du Centre agricole de Dumi, dans la commune de Maluku, dans la partie rurale de l’est de la capitale Kinshasa. Le Premier ministre Augustin Matata Ponyo a dit ici sa volonté de travailler dur pour que la RDC, avec ses 80 millions d’hectares de terres arables, cesse de dépendre de l’étranger. 


Le ministre de l’Agriculture et du développement rural, Jean Chrisostome Vahamwiti, a de son côté révélé que le pays importe entre 200.000 et 250.000 tonnes de produits alimentaires par an. Alors quelle est la stratégie pour réussir la relance agricole ? « L’agriculture dans ce pays de plus de 110 millions d’habitants ne doit pas être une affaire de partenaires extérieurs, a déclaré Jean Chrisostome Vahamwiti. La volonté politique ne doit pas aussi être théorique. C’est ainsi que pour la première fois, on est passé d’une simple volonté politique vers un engagement financier. Ca fait 32 millions que le gouvernement va injecter dans la campagne pour des actions concrètes et à impact durable ». 

Pour sa réussite, ce plan de relance agricole devra compter sur les animateurs du secteur agricole. « Tous les points d’accompagnement de ces coûts de la production ont des problèmes terribles, selon l’ingénieur Kasanda, président national de l'Union syndicale des professionnels de l'Agriculture (USYPA). Regardez, même des écoles polytechniques agricoles, elles sont en perte de vitesse. Toute cela pose un problème ».

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