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jeudi 5 juillet 2012

Le dépôt des candidatures pour les provinciales reporté sine die

Digital Congo 
05/07/2012 

Se justifiant devant la presse, Matthieu Mpita, rapporteur de la CENI, dit que ce report se fonde par le fait qu’après avoir présenté son rapport annuel d’activités au Parlement, la CENI est en attente des recommandations. 

Le dépôt des candidatures pour les élections provinciales est reporté pour une date ultérieure. C’est ce qu’a indiqué hier, le rapporteur de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), Matthieu Mpita, lors d’une adresse à la presse. Selon le rapporteur de la Ceni, l’opération de réception et de traitement des candidatures aux élections provinciales, initialement prévue pour mercredi 4 juillet 2012, est renvoyée à une date ultérieure qui sera communiquée certes, par la Céni.


Se justifiant devant la presse, Matthieu Mpita a dit que ce report se fonde par le fait qu’après avoir présenté son rapport annuel d’activités à l’Assemblée nationale, conformément à l’article 28 de la loi organique, la Ceni est en attente des recommandations qui seront formulées par la Chambre basse du Parlement au regard des préoccupations exprimées lors du débat général en plénière par les députés nationaux. 

Ce n’est qu’après cette étape, qui va de la formulation des recommandations à leur intériorisation que l’institution électorale congolaise pourra se prononcer sur un nouveau calendrier des élections provinciales, dont le financement pose encore problème. A cet effet, soulignons que le gouvernement congolais va de nouveau mettre la main dans la poche pour financer les élections provinciales comme cela fut le cas pour la présidentielle et les législatifs du 2011, où plus de 80% de ces scrutins ont été pris en charge par l’Etat congolais. 

Pour leur part, les partenaires au développement avaient contribué à la hauteur de 20%. Cet effort patriotique de la Rdc, que tout le monde a loué, lui a valu une certaine indépendance dans l’organisation des élections du 28 novembre dernier. Et d’une manière ou d’une autre, les Congolais sont fiers de cette disponibilité politique du régime actuel, même si cela a coûté à la Ceni toutes les critiques du monde, du genre qu’elle a organisé des élections de la honte. 

Alors que, lorsqu’on compare les élections de 2011 à celles organisées au cours de cette année dans plusieurs pays d’Afrique, on réalise que le travail abattu par la Ceni n’est pas aussi noir comme on le fait croire. Cependant, plusieurs estiment que le vrai problème n’est pas dans la manière, dont ces élections étaient organisées. La bête noire est ailleurs. 

Soulignons qu’en finançant les élections, la République démocratique du Congo a voulu s’approprier de ce processus. Et en vrais partenaires, cela ne devrait pas irriter certains milieux politiques et diplomatiques. Mais pour la Ceni, le fait qu’un agent de la Mission des Nations unies pour la stabilisation de la Rdc (Monusco) ait donné au prélat catholique des chiffres différents de ceux qu’elle avait publié au lendemain du double scrutin du 28 novembre, ,étale au grand public l’intention cachée de nuire. Ainsi, la question qu’on se pose ici, c’est celle de savoir pour quelle intention un nommé Francis Saudubray, conseiller principal chargé de la réforme du secteur de la sécurité à la Monusco, a agi de la sorte. 

Pour la Monusco qui accompagne la Ceni dans son début jusqu’à présent, connaît pratiquement tous les contours de ce processus, qui a besoin d’un partenariat fort pour se corriger, devrait apporter des contradictions des chiffres s’il y en avait à qui de droit. Et dans le cas d’espèce, c’est à la Ceni que cela devrait être présenté certainement pour une confrontation et parvenir à une position commune, au lieu que cela finisse comme c’est le cas maintenant, où la Monusco s’affiche comme traîtresse. Yassa/L’Avenir

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