************ QUI AURAIT SOUVENIR D'UN MAGASIN MAMPEZA A COQUILHATVILLE ? IL ETAIT TENU PAR UNE FAMILLE PORTUGAISE ! PRENDRE CONTACT AVEC LA WEBMASTER. EMAIL : tvcn156753@tvcablenet.be MERCI. ************ QUI AURAIT CONNU DANS LA PROVINCE DE L'EQUATEUR , FIN DES ANNEES 1940 ET JUSQUE 1960, DENIS GOUVRIER, AGRONOME. IL AURAIT TRAVAILLE PRINCIPALEMENT A MONKOTO, BOENDE ET PEUT-ETRE DANS LA REGION DE COQUILHATVILLE. PRENDRE CONTACT AVEC LA WEBMASTER. EMAIL : tvcn156753@tvcablenet.be. MERCI. ************

mardi 23 octobre 2012

Kinshasa: des hommes d’affaires congolais et néerlandais échangent sur les possibilités d’investir en RDC

Radio Okapi 
22/10/2012 

Le siège national de la FEC, à Kinshasa
Photo Radio Okapi.
 
L’ambassade des Pays-Bas en RDC a organisé, ce lundi 22 octobre matin, une rencontre d’échange entre les hommes d’affaires néerlandais et congolais. Elle entre dans le cadre de la visite, à Kinshasa, des patrons des vingt et une entreprises néerlandaises.

L’objectif de cette rencontre était de nouer des partenariats d’affaires entre les entreprises néerlandaises et congolaises dans différents secteurs.



Le président de la Fédération des entreprises du Congo (Fec), Albert Yuma a salué la venue de ces hommes d’affaires en RDC, un pays qui présente beaucoup d’atouts:
«Il y a la stabilité macroéconomique. Et la RDC est le seul pays où des investisseurs étrangers peuvent trouver, dans tous les secteurs d’activité, des opportunités d’investissement. Dans le secteur minier, le potentiel des réserves minières de la RDC est de plus de 24 trillions de dollars américains, soit les budgets réunis de toute l’Europe et des Etats-Unis. Le taux de croissance de la RDC prouve effectivement que vous pouvez y investir et gagner de l’argent.» 
Mais, selon lui, ce taux de croissance est insuffisant pour créer des emplois et réduire le taux de chômage et la pauvreté.

Tout en saluant l’adhésion de la RDC à l’Organisation pour l’harmonisation du droit des affaires (Ohada), Albert Yuma a plaidé pour l’amélioration du climat des affaires:
«Il faut améliorer sensiblement le climat des affaires et des investissements. Il y a eu des mesures courageuses qui ont été prises, mais c’est insuffisant. La preuve est que, dans le classement Doing business, nous restons toujours à la traine. » 
Il faut donc faire plus et plus vite sur le plan du climat des affaires, a-t-il poursuivi. «Il y a encore beaucoup de difficultés par rapport à la fiscalité et les contrôles économiques, qui sont actuellement considérés comme de la tracasserie», a précisé le président de la Fec.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire