08/12/2012
René Abandi, secrétaire aux Relations extérieures du M23 à Nairobi, le 7 janvier 2009. AFP /Tony KARUMBA |
La délégation du M23 est enfin arrivée à Kampala vendredi 7 décembre dans la soirée. Les délégués de Kinshasa les ont attendus toute la journée pour commencer les pourparlers qui sont désormais prévus pour dimanche.
Le secrétaire aux Relations extérieures du M23, René Abandi, a annoncé vendredi à 23 heures que la délégation du mouvement est bien arrivée à Kampala, et qu’elle sera présente à la négociation dont l’ouverture officielle a été prévue par les autorités ougandaises dimanche à 15 heures. Une annonce qui met fin à un long suspense.
Toute la journée de vendredi, on nous répétait que le M23 était en route, que leur autobus était tombé en panne. Puis ne voyant rien venir, une rumeur a pris le dessus disant que le M23 ne voudrait pas discuter en l’absence de Joseph Kabila. Ce qui effectivement pouvait poser problème puisqu’il n’a pas été prévu que le président congolais vienne à cette négociation.
Voici donc tout le monde plus ou moins rassuré sur la tenue de ces pourparlers. Mais c’est maintenant que le plus difficile commence : il va falloir établir un cadre de négociation, un ordre du jour, une date limite peut-être. Certains membres de la délégation congolaise pensent qu’il y en aura au moins pour deux semaines.
Le secrétaire aux Relations extérieures du M23, René Abandi, a annoncé vendredi à 23 heures que la délégation du mouvement est bien arrivée à Kampala, et qu’elle sera présente à la négociation dont l’ouverture officielle a été prévue par les autorités ougandaises dimanche à 15 heures. Une annonce qui met fin à un long suspense.
Toute la journée de vendredi, on nous répétait que le M23 était en route, que leur autobus était tombé en panne. Puis ne voyant rien venir, une rumeur a pris le dessus disant que le M23 ne voudrait pas discuter en l’absence de Joseph Kabila. Ce qui effectivement pouvait poser problème puisqu’il n’a pas été prévu que le président congolais vienne à cette négociation.
Voici donc tout le monde plus ou moins rassuré sur la tenue de ces pourparlers. Mais c’est maintenant que le plus difficile commence : il va falloir établir un cadre de négociation, un ordre du jour, une date limite peut-être. Certains membres de la délégation congolaise pensent qu’il y en aura au moins pour deux semaines.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire