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lundi 22 juillet 2013

L’Avenir : « Brazzaville : D. Sassou Ngouesso renvoie l’opposition aux études »

Radio Okapi 
22/07/2013

Revue de presse du lundi 22 juillet 2013

(De g.à.d): Le président congolais Joseph Kabila 
et son homologue du Congo Brazzaville 
Denis Sassou Nguesso, le 1er décembre 2012 
à Kinshasa. Ph. www.presidentrdc.cd 

L’Avenir revient sur l’entretien du vendredi 19 juillet à Brazzaville, entre le président Joseph Kabila Kabange et son homologue congolais, Denis Sassou Ngouesso, sur les questions brûlantes de l’heure en RDC. 
En clair, Denis Sassou Ngouesso a affirmé que c’est aux autorités de la RDC qu’il revient de l’inviter à assurer la médiation dans les problèmes politiques congolais “Et non pas à un quidam se réclamant de l’opposition. Fût-il Vital Kamerhe, Léon Kengo, ou un autre encore”, note le quotidien. 
L’Avenir ajoute que si les opposants se sont réjouis, ils sont allés trop vite en besogne sans avoir rien compris des déclarations du Chef de l’Etat du Congo/Brazza le vendredi, au terme d’entretiens de trois heures avec son homologue rd congolais, Joseph Kabila Kabange. 

A en croire le président de la RDC Joseph Kabila, toutes les options sont sur la table pour mettre fin à la crise politique qui sévit dans son pays, écrit le quotidien.

La Prospérité titre sur le même sujet : « Médiation des Concertations nationales : Sassou renvoie l’Opposition à Kabila ! »
Le journal précise qu’à ce stade, Kabila n’a ni accepté, ni pris acte de la disponibilité ainsi marquée par le Président du Congo-Brazzaville. Il s’est plutôt limité à révéler que toutes les propositions sont sur sa table. Autrement dit, tout est possible. 
La Prospérité fait aussi savoir que peu avant de s’envoler pour Brazzaville, Kabila avait rencontré Uhuru Kenyatta, (Président du Kenya) au Fleuve Congo Hôtel, et que sur place à Brazzaville, il s’est entretenu également avec Alpha Conde, Président de la Guinée-Conakry. 
Au-delà de Sassou, tous ces Chefs d’Etat africains ainsi consultés peuvent, chacun, bien assurer la médiation, si Kabila sollicitait leur concours, conclut Le quotidien. 

Autre article dans La Prospérité, « Jed appelle la presse congolaise à se ressaisir pour sauver une profession en voie de faillite ». 
Le journal note qu’à l’occasion de la célébration, lundi 22 juillet 2013, de la journée nationale dédiée à la presse, Journaliste en danger (Jed) tient à attirer l’attention de l’opinion et des autorités congolaises sur la persistance, en République Démocratique du Congo, des obstacles et pesanteurs qui empêchent les médias congolais de jouer efficacement leur rôle de « chien de garde » dans une société démocratique. 
Ces obstacles et ces pesanteurs ont pour noms : la peur de la prison qui enferme le journaliste dans l’autocensure et la recherche quotidienne de la survie qui réduit la profession journalistique en un simple exercice de communication et de propagande politique en faveur des pouvoirs politiques et d’argent, reprend La Prospérité. 
Jed affirme que cette journée nationale de la presse est célébrée alors qu’au moins quatre journalistes croupissent dans des prisons et autres lieux de détentions, et que des dizaines d’autres ont passé des plus ou moins longues périodes de détention au cours des derniers mois. 
Les différents cas cités dans le communiqué, sont repris par La Prospérité. 

Forum des As aussi relaie le communiqué de Jed dans l’article : «22 Juillet 2013 : journée nationale de la presse». 
Le quotidien reprends les écrits de Jed qui estime que derrière les chiffres sur la multiplication des cas de répression contre la liberté de la presse, se cache aussi la réalité d’une profession en voie de faillite qui a cessé d’être conforme à son idéal pour se transformer en plate-forme pour règlement des comptes, clientélisme politique et manipulation d’opinion en tout genre. En lieu et place des débats intelligents sur des questions brûlantes d’actualité et d’intérêt pour le public.

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