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mardi 20 août 2013

Concertations nationales: le Renadhoc invite Joseph Kabila à gracier les prisonniers politiques

Radio Okapi 
20/08/2013

Le président Joseph Kabila Kabange
prononçant son discours sur l’état de la nation
le 15/12/2012 à Kinshasa, devant
les deux chambres du Parlement réunies
en congrès.
Radio Okapi/ Ph. John Bompengo
 
Le Réseau national des ONG des droits de l’homme (Renadhoc) invite le chef de l’État Joseph Kabila à gracier tous les prisonniers politiques et d’opinion ainsi que des leaders des groupes armés congolais actuellement détenus dans des prisons congolaises à l’occasion des concertations nationales. Pour ce regroupement d’organisations de la société civile, cette mesure permettrait de créer une meilleure cohésion nationale. 

Dans son cahier de charges publié le lundi 19 août, le Renadhoc propose plusieurs préalables pour décrisper le climat politique avant la tenue des concertations nationales convoquées par le chef de l’État pour créer la cohésion nationale. 

Le réseau d’ONG demande notamment à Joseph Kabila de signer une ordonnance garantissant à tous les participants aux concertations nationales qu’ils ne pourront pas être poursuivis, recherchés, arrêtés, détenus ou jugés en raison des opinions ou votes émis par eux durant ces assises.

Le Renadhoc plaide également pour que les concertations nationales n’aboutissent pas à la formation d’un gouvernement d’union nationale ni à la révision constitutionnelle ou à la remise en question des institutions légalement constituées. 

Opposé à la participation des « forces négatives et autres groupes armés étrangers dont le M23 », cette structure estime qu’un dialogue national inclusif et républicain est le seul moyen pour mettre un terme au cycle de violences que connaît la RDC depuis plusieurs années. 

Le Renadhoc plaide aussi pour une participation bénévole et volontaire. Pour ce réseau d’ONG, la liste définitive des tous les participants à ces concertations devrait être rendue publique officiellement avant la convocation de ces assises, « pour que l’opinion publique sache qui est qui et qui a fait quoi où et comment ».

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