************ QUI AURAIT SOUVENIR D'UN MAGASIN MAMPEZA A COQUILHATVILLE ? IL ETAIT TENU PAR UNE FAMILLE PORTUGAISE ! PRENDRE CONTACT AVEC LA WEBMASTER. EMAIL : tvcn156753@tvcablenet.be MERCI. ************ QUI AURAIT CONNU DANS LA PROVINCE DE L'EQUATEUR , FIN DES ANNEES 1940 ET JUSQUE 1960, DENIS GOUVRIER, AGRONOME. IL AURAIT TRAVAILLE PRINCIPALEMENT A MONKOTO, BOENDE ET PEUT-ETRE DANS LA REGION DE COQUILHATVILLE. PRENDRE CONTACT AVEC LA WEBMASTER. EMAIL : tvcn156753@tvcablenet.be. MERCI. ************

samedi 26 octobre 2013

Le Rwanda menace la RDC après un bombardement

Jeune Afrique 
25/10/2013

Le Rwanda menace la RDC
après un bombardement
Le Rwanda menace la RDC après un bombardement © AFP Les soldats rwandais sont prêts à mener "une opération chirurgicale" en République démocratique du Congo si de nouveaux engins explosifs tombent au Rwanda, a mis en garde l'ambassadeur du pays auprès de l'ONU vendredi. 

Vendredi, des engins explosifs sont tombés en territoire rwandais après la reprise des combats entre armée et rebelles du M23 en RDC, et un porte-parole de l'armée rwandaise a accusé l'armée congolaise de "viser des civils". 

"S'ils ne mettent pas un terme à cela, nous agirons sans attendre et cela fera mal", a déclaré à l'AFP Eugène Richard Gasana après des discussions du Conseil de sécurité sur la situation. "Nous le ferons avec une précision laser, nous savons d'où cela vient". 

Le Rwanda est actuellement membre du Conseil de sécurité et M. Gasana a expliqué avoir fait passer le message de son gouvernement auprès des 14 autres membres. Le Conseil a demandé une enquête sur l'origine des bombardements de vendredi, ont déclaré des diplomates.

"Nous leur demandons d'arriver à s'entendre. . . et de mener leurs combats loin de notre frontière. Nous avons déjà prévenu le gouvernement de Kinshasa", a poursuivi l'ambassadeur rwandais. "S'ils osent continuer, ça va faire mal", a-t-il ajouté, assurant que le Conseil avait reçu son message avec "beaucoup de compréhension". 

De violents combats opposaient vendredi l'armée congolaise et les rebelles du M23 dans l'est de la République démocratique du Congo, quatre jours après la suspension des pourparlers entre Kinshasa et la rébellion. Fin août déjà, plusieurs obus s'étaient abattus au Rwanda, provoquant une vive réaction de Kigali, qui avait menacé d'intervenir sur le sol congolais. L'ONU avait ensuite accusé le M23 d'être à l'origine de ces tirs. 

Le Mouvement du 23 Mars (M23) contrôle une zone de quelque 700 kilomètres carrés limitrophe du Rwanda et de l'Ouganda, deux pays que Kinshasa et l'ONU accusent régulièrement de soutenir la rébellion, ce que Kigali et Kampala démentent.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire