10/01/2014
Revue de presse du vendredi 10 janvier 2014
Des vendeuses des pains en panique le 30/12/2013 à Kinshasa,
lors de l’attaque de la station de télévision nationale(RTNC)
par des hommes non identifiés.
Radio Okapi/Ph. John Bompengo
Forum des As indique que plus d’une semaine après les événements du 30 décembre dernier, les Kinois ne se sont pas encore libérés de la psychose des attaques « terroristes » du 30 décembre dernier dans la ville.
Le quotidien rapporte que des racontars croisés d’origine diffuse faisant état de coups de feux entendus au centre-ville sont parvenus aux kinois des autres quartiers jeudi 9 janvier.
Par contre, ceux qui se sont retrouvé en plein Centre-ville ont appris que ça tirait à l’aéroport international de N’Djili.
In fine, tout se qui s’est raconté a fini par se révéler une rumeur, conclut Forum des As.
Et au sujet des attaques du 30 décembre, La Prospérité titre : « Affaire Mukungubila : un mandat d’arrêt lancé ! »
Le ministre de l’Intérieur, Richard Muyej a répondu jeudi 9 janvier à la question d’actualité du député Germain Kambinga sur ces événements survenus à Kinshasa et dans d’autres villes du pays, indique le journal.
Le député MLC voulait avoir du ministre la vraie version des faits, mais aussi, en avoir le cœur net sur des dispositions prises pour prévenir ces genres d’aventures aux conséquences lugubres, note La Prospérité.
S’agissant de l’identification des assaillants et de leurs commanditaires, les opérations menées ont permis d’arrêter certaines personnes. Pour ce faire, a-t-il (qui a révélé ?) révélé, le gouvernement a mis sur pied une commission, dont les conclusions détermineront le degré de responsabilité des uns et des autres, souligne La Prospérité.
De son côté, L’Avenir relève qu’au regard des engagements internationaux pris, « le Sénat adopte le projet de loi d’amnistie ».
C’est par respect aux engagements pris par l’Etat congolais aux termes de l’accord-cadre d’Addis-Abeba, des déclarations unilatérales de Nairobi (Kenya), que les élus des élus ont approuvé le projet de loi d’amnistie qui sera soumis à l’examen à la Chambre basse du parlement, affirme le quotidien.
Toutefois, toute personne victime des faits infractionnels commis par les bénéficiaires de la loi d’amnistie a la possibilité de saisir les juridictions étatiques territorialement et matériellement compétentes pour obtenir réparation, en vertu des articles 258 et 259 du Code civil congolais livre III, a precise le journal
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire