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jeudi 20 mars 2014

RDC: un rapport de l’ONU sous le feu de la presse par RFI media

RFI 
20/03/2014

Le chef de la Monusco Martin Kobler
(ici le 25 janvier 2014) a vivement
réagi aux critiques de la presse.
Monusco/Myriam Asmani
En RDC, alors qu’un rapport sur la lutte contre l’impunité en matière de violences sexuelles doit être rendu public la semaine prochaine, le bureau des Nations unies en charge de l’enquête et de sa rédaction, a subi de violentes critiques dans plusieurs journaux congolais. La presse congolaise ne mâche pas ses mots pour décrire le travail du bureau des droits de l’homme des Nations unies en RDC. Une « mission de démolition en République démocratique du Congo », de « fausses légendes », une « absence de discernement », peut-on ainsi lire parmi les qualificatifs plutôt virulents employés. 

A l’origine de cette levée de boucliers, un rapport sur les violences sexuelles au Congo et l’état des progrès pour lutter et punir ce phénomène. Pourtant, le document n’a pas encore été rendu public ; seules les autorités y ont eu accès pour relecture, comme le veut la pratique. Les fuites et les critiques dans la presse ont soulevé l’indignation du chef de la mission de l’ONU au Congo, Martin Kobler. « Nous avons le mandat d’observer très, très clairement la question des droits de l’homme, en particulier les violences sexuelles. Mais l’objectif de ce rapport est un objectif constructif. Nous voulons aussi assister le gouvernement dans son combat contre l’impunité », a rappelé Martin Kobler.

En novembre dernier, après la publication d’un rapport sur les violences post-électorales en 2011, le bureau des droits de l’homme avait déjà subi le feu des critiques. Même chose en mai 2013, après une enquête sur des viols et pillages massifs commis dans la ville de Minova fin 2012. Le point commun de ces deux rapports : la mise en cause des forces de sécurité congolaises

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