20/03/2014
Le chef de la Monusco Martin Kobler (ici le 25 janvier 2014) a vivement réagi aux critiques de la presse. Monusco/Myriam Asmani |
En RDC, alors qu’un rapport sur la lutte contre l’impunité en matière de violences sexuelles doit être rendu public la semaine prochaine, le bureau des Nations unies en charge de l’enquête et de sa rédaction, a subi de violentes critiques dans plusieurs journaux congolais.
La presse congolaise ne mâche pas ses mots pour décrire le travail du bureau des droits de l’homme des Nations unies en RDC. Une « mission de démolition en République démocratique du Congo », de « fausses légendes », une « absence de discernement », peut-on ainsi lire parmi les qualificatifs plutôt virulents employés.
En novembre dernier, après la publication d’un rapport sur les violences post-électorales en 2011, le bureau des droits de l’homme avait déjà subi le feu des critiques. Même chose en mai 2013, après une enquête sur des viols et pillages massifs commis dans la ville de Minova fin 2012. Le point commun de ces deux rapports : la mise en cause des forces de sécurité congolaises
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